Dans la peau de Rosalie: Les jours qui suivant, était tout aussi merveilleux, mon loup s'appliquait à me rendre heureuse, ne serais se qu'une attention de sa part ou alors me couvrant de présents et d'amour. Malheureusement chaque bonne chose à une fin et cette fin prit de l'ampleur lorsqu'il est devenu très tendu, s'enfermant plus régulièrement dans son bureau, percevant l'écho de ses hurlements haineux du jardin, ou alors de la bibliothèque. L'impact de sa colère reflétait clairement sur la meute, où l'instabilité de ses loups se faisais ressentir à plein nez, agressant ainsi mes oreilles de leurs couinements, la détresse dans leurs regard se faisait plus visible, et l'angoisse envahissait la toile qui les relies. Le refus catégorique d'Alexandre de m'en parler est certainement la ch