Malya Toujours au-dessus de moi, Malon me fixe pour savoir si je suis sûr de ce que je fais. Dans ma tête, c’est le brouillard. Je serais bien incapable de lui dire si je suis folle ou non d’accepté une telle torture… Au bout de quelques secondes, il ressortit de quelques centimètres, pour mieux rentrer d’un seul coup et se, jusqu’à la garde. J’en poussai un cri de douleur si aiguë que j’en eu le souffle coupé. Les larmes perlées telles qu’on aurait pu croire à une vague d’océan. Du poing, je frappais l’épaule de Malon, lui suppliant de me libérer. J’étais très certainement ouvert en deux. J’allais saigner abondamment, c’était obliger. _ Arrête !!! Libère-moi !!! Malon !!! _ Chute, chute, chute… Calme-toi… Laisse la douleur disparaître d’elle-même. _ Elle ne disparaîtra pas tant que tu