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1569 Words
la dot était terminée monsieur Aaron a donné un million de dollar sans compter les autres trucs qu’il avait donné, ce monsieur avait l’air de bien trop compter sur son argent peut être à ses yeux on pouvait acheter les gens comme les objets bien que de nos jours c’est vrai qu’on achète presque tout avec de l’argent. Je regardais juste sans broncher tout ce qui se passait  papa avait l’air heureux c’est tout ce qui comptait en fait. Papa:  je vous remercie pour tout ceci, maintenant à quand la date du mariage Aaron: le plus tôt possible parce que je dois bientôt m’en aller Papa: d’accord disons dans une semaine nous ferons le mariage traditionnel, et je ne sais pas vous signerez l’acte une fois chez toi Aaron: non pas de mariage traditionnel juste nous signerons l’acte de mariage Papa: mais ça ne se peut pas Aaron Grand père: nous ferons le mariage traditionnel comme prévu et il signerons les papiers  Aaron: mais grand père... Grand père: tout ne peut pas se passer comme tu le  veux ici c’est leur village et il croit en certaine réalité donc il faut les respecter Aaron: les traditions euh est ce différent d’un mariage religieux ? Parce que si on parle de tradition on ne parle plus de religieux ou je me trompe je le redit il n’y aura pas de mariage traditionnel, nous signerons les papiers de mariage reconnu par l’Etat et c’est tout, excusez moi monsieur Outché mais je ne veux absolument pas de ces choses si vous refusez ma demande alors il n’y aura pas de mariage. Papa se retourna vers moi me regarda sérieusement tout en ayant l’air de réfléchir. Papa: d’accord, l’essentiel c’est le mariage,  et le bonheur de ma fille si annule tout alors les gens se moqueront de ma Nina et ça lui fera encore plus une mauvaise image. Moi: papa tu n’as pas à t'inquiéter pour moi, si monsieur Aaron veut tout annuler qu’il le fasse. Aaron: rien n’est annulé et nous nous marierons plus tôt que prévu et après l’on partira, pour qui te prends tu pour oser me rejeter, personne ne veut de toi mis à part moi. Maintenant vous pouvez vous en allez bonsoir Moi: papa n’est ce pas mieux qu’on abandonne tous ces plans de mariage monsieur Aaron Grand-père: non ma fille n'annule pas ce mariage moi je suis heureux de t’accueillir dans ma famille heureux que tu sois ma belle fille. Moi: monsieur je Papa: rien ne sera annulé, on fera comme il le désire.                                                   Deux semaines plus tard Pendants les deux semaines passées mon destin et celui de monsieur Aaron on été scellé et demain on devait partir, je devais laisser ma famille et cela me donnait une boule au coeur, j’habitais toujours avec ma famille, depuis notre mariage j’avais revue monsieur Aaron une seule fois je me demandais qu’elle genre de relation on avait et quelle genre de relation l’on aura dans le futur, je ne sais pas pourquoi ce dernier s’est tellement entêté à vouloir cette union à ce que j’ai pu constater il déteste être rejeté, il déteste qu’on lui dise non. Néma: Nina, Nina que fais tu assise ainsi ? Moi: je réfléchie rien d’autre Elle: je me pose la question de savoir ma soeur si tu changeras un jour Moi: uh et qu’est ce que j’ai fais ? Elle:  tu n’es pas allé voir une seule fois voir ton mari etes vous sure que vous êtes marié, aujourd’hui on va faire une chose tu vas te laver, t’appreter et nous irons voir ton beau Aaron après nous reviendrons et tu t'apprêtes pour ton mariage de demain. Moi: euh non et tu sais je n’ai pas trop de chose à emporter donc ça ira reston ici s’il te plait Elle: si tu ne viens pas, alors je dirais à papa  que tu as refusé d’aller voir ton mari Moi: soeur ne dérange pas mon père avec des futilités Elle: futilité tu dis ?  Tu ne le sais peut etre pas mais c’est la femme qui doit diriger son foyer, emerveiller son mari, l’amener à l’aimer plus que tout  Moi: soeur, il y’a des gens pour qui même si tu sacrifies ta vie ils ne t’aimeront jamais on y peut rien  Elle: Nina on parle de ton mari ok au moins essaye hein Moi: d’accord on ira                                                                  Aaron Mikaelson Nous allons nous en aller demain, moi, père grand et cette idiote de Nina, depuis notre mariage qui était plutôt humiliant car ne ressemblant pas vraiment à un mariage je ne suis jamais allé voir cette Nina, elle devrait comprendre que ça sera l’on ne partagera rien et elle ne sera jamais libéré de ce mariage. Je finissais de ranger mes  affaires avant d’aller m’asseoir au balcon avec un verre de jus entre les mains. Je regardais le paysage de ce village et il était agréable je dois l’avouer pendant les un mois que j’avais passés ici je m’y étais un petit peu habitué mais je devais rentrer j’avais beaucoup de travail à rattraper. J’étais dans ma comptemplation quand j’aperçus deux filles j’avais cette impression de les connaitres mais biensur oui c’était mon imbecile de femme et sa soeur, je les regardaient marcher au loin je devais l’avouer elles étaient belle si avec toute cette pauvreté elle ressemblaient à ça je n’osais imaginer à quoi elles  ressembleraient en prenant soin d’elle, mais dommage je ne pouvais me permettre de succomber à son charme ni à sa fausse douceur toutes les femmes sont juste des actrices toujours entrain de faire semblant. Elles entraient dans la propriété alors je descendais. Père grand  était au salon et elles étaient déjà installées je restais un moment à écouter leur discussion. Père grand: mes filles soyez les biens venue que nous vaut cette visite, en temps normal vous devriez être en train d'apprêter les sacs de Nina n’est ce pas Néma: oui grand père, mais Nina se languissait de voir mon beau frère sérieusement ? Nina: uh non ce n’est pas vrai en faite c’est Néma qui a insisté pour qu’on vienne Lui: tu n’as pas besoin d’avoir honte ma fille c’est maintenant ton mari euh tu as tout à fait le droit  Nina: uh d’accord Moi: oui c’est exacte tu as tout à fait le droit de vouloir me voir Nina Ils se retournèrent tous à la fois en ma direction  Néma: ah bonjour beau frère  Moi: bonjour belle soeur alors comme ça tu m’as emmené ma femme ? Elle: oui c’est cela  Moi: d’accord, alors si vous le permettez ma femme et moi nous allons nous retirer dans ma chambre. Nina suit moi Néma: oui bien sûr Nina: non uh on pourrait rester ici s’il te plait euh ? Moi: non nous avons des choses à faire Néma et Nina: quelle chose ? Moi: des choses privées  Père grand: Aaron ait un peu honte devant moi quand même Moi: pourquoi donc. Nina vient Elle se levait nonchalamment et me suivit on montait dans ma chambre arrivé à l'intérieur je me retournais vers elle et la regardait Moi: pourquoi baisse tu les yeux ? Elle: ah euh pour rien Moi: pourquoi sembles-tu nerveuse ? Elle: je ne le suis pas  Moi: pourquoi restes-tu loin ? approche Elle: non euh je suis bien ici je vous assure monsieur Aaron Moi: j’ai dit approche toi Elle s'exécuta  Moi: maintenant tu  lèves la tête et tu me regarde dans les yeux  Elle:   monsieur ne vous fâchez pas je vous prie  Moi: pourquoi je devrais me fâcher tu ne m’as rien fait. Ou pas encore. Tu as l’air si si fragile,  si gentille mais ce n’est qu’une apparence et je ne me laisserai pas tromper Elle: d’accord je suis désolé Moi: uh viens assis toi là sur le lit  Elle: uh ce n’est pas.... Moi: bien ? Il n’y a aucun mal à cela tu es mienne, tu es ma femme Elle s’assis tout doucement, joignit ses mains, et baissa les yeux, je m’assis près d’elle et je la regardai attentivement, il y avait comme une force qui m’attirait vers elle, cette idiote était belle. Moi: tu veux combien d’enfants ? La questionnais je pour voir sa réaction Elle: ah euh je n’en sais rien vous vous en voulez ? Moi:  oui très sûrement  Elle: ah d’accord Moi: on pourrait s’y mettre tout de suite  Elle ouvrit grandement ses yeux en me regardant choqué Elle: non on ne peut pas Je me mis à rire fortement puis je repris un air sérieux et je la regardais dans les yeux je me mis à son niveau en la forçant à me regarder droit dans les yeux     Moi: Nina je vais te dire un truc essentiel et ne tache pas d’oublier mes mots, jamais je ne te toucherai, jamais je ne voudrais avoir des enfants avec toi, jamais je ne te considèrerai comme ma femme, tout ce que je faisais là c’était du cinéma, je suppose que toi aussi tu sais jouer tout comme moi, tu n’es pas désirable,  il faudrait être fou pour vouloir s’accoupler avec une femme comme toi, maintenant je te demande de sortir de ma chambre                         Elle me regardait sans vraiment comprendre ce changement, elle semblait être blessée, elle se levait et sortait de la chambre. Tu n’as encore rien vu ma petite Nina tu regretteras de m’avoir connu.                                                                 A Suivre..........
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