Prise entre 2 hommes

Chapitre 9 : le diable t'a fait fuir

Lisa

- Depuis que je t'ai vu tout à l'heure je ne fais que penser à la saveur de tes lèvres.

Il se penche, voulant poser ses lèvres sur les miennes, je m'échappe rapidement et sors du bureau, je prends mes affaires et cours comme si j'étais pourchassé par le diable.

Je retrouve Miranda, déjà dans la voiture.

- Tu en à mis du temps, qu'est-ce qui te fait courir ainsi ?

- Le diable.

- Comment ça le diable ? Le diable t'a fait courir ?

- Je parle plus patron, j'ai fuis son bureau sans demander mon reste.

- Pourquoi ? Qu'est ce qui c'est passé ?

Elle me demande en démarrant son véhicule.

- Il a essayé de m'embrasser. Et je l'ai laissé planté dans son bureau. Depuis qu'il m'a vu ainsi cet après-midi. Il a changé de comportement, il est devenu plus gentil, je crois qu'il veut me mettre dans son lit.

- Je crois que tu as raison, fais très attention à toi, ne te prête pas à son jeu

Il saute sur tout ce qui bouge. Et dès qu'il finit mettre cette personne dans son lit, il passe à autre chose . Alors un conseil petite sœur, ne tombe pas sous son charme .

Il ne peut pas faire du sérieux, je veux pour toi quelqu'un qui veut faire du sérieux, et non un plaisantin, comme lui.

Tu sais ce que nous allons faire ?

- Non

- Nous allons rentrer à la maison, demain ou le weekend, nous irons dans ton ancienne maison pour chercher les choses dont tu as besoin comme des souvenirs de tes parents.

- D'accord, nous allons faire comme tu dis, et tu me parleras de toi et de ta sœur

- Tu vas me parler aussi de toi.

Elle roule jusqu'à chez nous, ma nouvelle maison, je n'arrive pas encore à croire que j'ai changé de maison aussi facilement, et cohabiter avec une période si gentille. Je regarde avec étonnement

cette belle duplex si élégante, si luxueuse, je remercie mon seigneur, pour

sa miséricorde envers moi.

Nous descend du véhicule, et Montons

elle m'emmène dans sa chambre.

- J'ai des habits ici qui tirons très bien

regarde .

Elle me montre des jupes, des culottes, des pantalons, des chaussures, des sacs à main, des rouges à lèvres, des chapeaux, des boucles d'oreilles, des bracelets, des montres, des bagues, des foulards, et tout est de marque.

Elle me dit

- Tu ne sais pas tout le service que tu me rends en me débarrassant de tout ça, car je ne savais pas comment faire pour m'en débarrasser. Merci beaucoup.

- Tu te moques de moi, n'est ce pas ?

C'est à toi le merci, tu ne sais pas l'oxygène que tu apportes dans ma vie, tu es comme une ange venue du ciel par mon seigneur pour m'aider à sortir de ce trou dans lequel je suis. Merci et sache que c'est dieu qui te remerciera pour, tout ce que tu fais et que tu vas continuer de faire pour moi .

Je voulais te dire aussi que, je sais que la cohabitation sera difficile , mais je tiens à te dire que je ferai tout pour qu'on

puis bien s'entendre.

- Ne t'en fais pas, ma chérie, je sais que nous allons nous entendre.