Chapitre 7 : petite dévergondée

1032 Words
Cristal Sa voix est roque , je sens son souffle dans mon cou , sa poitrine collée à mon dos, j'ai le souffle coupé . Je ferme un instant les yeux....Son souffle est dans mes oreilles : - j'espère qu'une bonne copine ne te donne pas ce genre de frissons dans le dos ! - Je ne vois pas de quoi vous parlez ! - Bon dieu , tu me fais chier avec tes vourvoimants tu peux arrêter ça ? Où penses-tu que je suis trop vieux pour que tu me tutoies ? - Je le fais juste par respect pour vous monsieur . Dites-moi , vous avez quel âge ? Si ce n'ai pas indiscret ! Il arrête de me pommader le dos, puis, brutalement me retourne vers lui, et je me retrouve étalée sur sa poitrine pendant que ses lèvres se posent sur mes miens , Son baisé est brutal , envahissant , il pousse un grognement étouffé par notre baisé . - Que ce soit la dernière fois que tu joues à ce jeu avec moi ! Je n'ai pas assez de patience pour les petites dévergondées de ton espèce . Je me demande avec combien d'hommes tu as dû coucher , J'ai horreur des petites manipulatrices . Et toi tu n'en fais pas l'exception . Je suis tellement en colère pour ses paroles blessantes à mon encontre . L'apparence est tellement trompeuse pour ce genre de personne ! Je lève la main pour le gifler quand ma main est attrapée en plein vol . Il me tord les deux bras dans le dos , - Sale voleuse, qui crois-tu être pour oser poser tes sales mains sur moi ? Hum ? Il presse contre lui ma poitrine qui malgré la situation est bien érigée . D'une main, il sert bien mes deux bras pendant qu'avec l'autre , il me presse durement le téton, me faisant mal . Il me murmure à l'oreille : - Tu as dû oublier qui j'étais , pour te rafraîchir la mémoire, tu vas m'accompagner tout à l'heure quelque part , rhabille-toi rapidement, je t'attends devant la porte . Il me jette sur le lit, puis sort de la chambre . Espèce de monstre , diable, je te déteste de plus en plus . Je suis morte de honte. J'aurais ma revanche, je ne suis pas pressée . Je m'habille et sors le retrouver devant la porte . Comment peut-on être aussi beau et aussi cruel ? Je ne vous ai même pas dit comment il est . Il mesure approximativement 1m95 . Il a les cheveux blonds colorés avec des yeux verts , c'est un homme assez imposant . Il est tout en muscles, il est tellement beau ! Mais si mechant ! Moi, je mesure 1m65 , oui je suis bien petite à côté de lui . Mais, je sais que je suis aussi très belle , avec une belle poitrine qui donne envie à n'importe quel homme sain d'esprit de vouloir la s***r. Mais cet imbécile n'est pas sain d'esprit il est aussi malade qu'un psychopathe . - Suis moi , Je me contente de le suivre , nous prenons un long chemin qui nous conduit vers un ascenseur qui descend au quatrième étage du sous-sol . Plus nous descendons, plus l'air change , l'air est devenu plus lourd , nous arrivons à destination . l'ascenseur s'arrête et nous en sortons . Tous est sombre ici , des mauvaises odeurs nous accueillent , c'est vraiment écoeurant . Je vois des cellules vides , nous avançons, jusqu'à une cellule où est ligoté un homme à une chaise, Il est nu comme un ver . Il a des blessures partout , en plus il sent vraiment mauvais ! Il y a des gardes qui nous attendent, ils sont arrêtés en mode militaire ! - Alors, mon cher ami , j'espère que tu as passé une bonne nuit ! Nous arrivons devant la personne , il a le visage amoché , et malgré cela il sourit je remarque qu'il a des dents en moins. Je promène mon regard sur l'homme ,il a des coupures partout . - Qu'est ce qu'il vous a fait ? - Je t'ai dit d'arrêter de me vouvoyer . - Il a fait quoi pour mériter celà ? - Il a voulu me trahir ! N'est-ce pas vaurien ? J'ai l'impression qu'avec lui personne n'a de nom ! - Avez-vous fait ce que je vous ai demandé ? - Oui monsieur. - Apportez-moi ça ici . Ils apportent un gros fourneau avec plusieurs, long fers qui sont insérés dans un grand feu de bois . Il retire l'un des fers rougis par le feu et je regarde horrifiée le fer pénétrer dans le bras de l'homme . Il pousse un cri de douleur , le ténébreux le retire puis le remet dans le feu avant d'en retirer un autre, qu'il plonge dans ses orteils , je ferme les yeux et les oreilles pour ne pas voir cela et ne pas entendre le cri de l'homme . Qui commence à supplier pour qu'il le tu maintenant . - Pourquoi es-tu pressé de nous fausser compagnie ? On s'amuse bien ensemble N'est-ce pas ? L'homme continue de pleurer et de supplier , l'odeur de brûlé s'élève dans les aires ! J'ai envie de vomir . Il remet le fer à sa place puis, prend un autre, qu'il enfonce cette fois-ci dans son abdomen , l'homme s'évanouit sur le coup . - Réveillez le . Ses soldats, lui jettent un seau d'eau glacée à la figure . Il se réveille en hurlant - Je suis sûr que tu es allé voir en enfer si j'y suis ! Mais malheureusement pour toi , je suis encore ici . Il reprend un autre fer, je vois qu'il porte des gants pour que la chaleur émanant du fer ne l 'atteigne pas . je me suis recroquevillée contre le mur derrière lui pour ne pas être aux premières loges de cette torture abominable . - Sale voleuse où es-tu ? Viens ici ! - Non , je suis bien ici, je vois très bien d'ici .
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