J'ai regardé dans ses yeux. Ce n'était pas un défi pour les vampires comme ça l'était pour les loups-garous. C'était un signe de confiance, surtout avec le haut conseil.
Soudain, j'étais dans une pièce sombre attaché à une table. Une silhouette sombre est entrée et a pris un couteau. Je ne pouvais pas bouger, ne pouvais pas parler, je ne pouvais rien faire d'autre que regarder le couteau trancher mon corps et commencer à dépecer ma peau.
La douleur me traversait le corps. La silhouette travaillait rapidement et consciencieusement. Les vampires ne s'évanouissent pas. Nous ne perdons pas connaissance avant que le soleil nous emmène au repos. Mis à part un potion très puissante, il n'y avait rien pour me donner un peu d'inconscience.
Une fois mon abdomen ouvert, le boucher a commencé à
