VII Comment Florence entend les affaires des autres. Suite des malheurs de M. Bauman Florence, quand elle fut recoiffée et eut passé légèrement sur ses joues sa houppe à poudre de riz, vint à un secrétaire en bois précieux. Elle ouvrit un tiroir, se munit de plusieurs cahiers de papier blanc, reprit sur la table le paquet de documents qu’elle y avait posé et passa dans un petit bureau contigu à son boudoir. Là, Florence s’assit à une table sur laquelle se trouvait une machine à écrire. Elle nota au crayon le brouillon d’une lettre et se mit avec activité à en faire de nombreuses copies à la machine. À ce moment Mary, la gouvernante, entra familièrement chez celle qu’elle considérait un peu comme sa fille. Elle entendit le bruit de la machine et, surprise, allant à la porte qui communi