Une heure plus tard, on est tous confortablement installé à la plage, on s'est un peu isolé de la foule pour pouvoir profiter de ce moment de repos tranquillement. Cela m'arrange un peu, disons que depuis que l'on est arrivé Ken, comme je l'imaginais, s'est trop dénudé à mon goût, et j'ai du mal à rester loin de lui. J'essaye de garder un minimum de discrétion, je pense à mon père, il serait capable de me faire suivre et je n'ai pas envie qu'il apprenne que j'ai un homme dans ma vie par le biais d'un étranger. Et puis mon excitation est toujours au maximum je dirais même que mon corps ne cesse d'avoir des bouffées de chaleur, bien évidemment la température de l'air y est pour beaucoup mais Ken aussi, qui ne cesse de me chercher depuis que nous avons quitté le bus. Heureusement, Framal,