Épisode 4: je me préparais pour l’enfer sans le savoir.

1975 Words
Nous étions assise toute les deux sur le lit à ce regarder j’attendais sa nouvelle et elle finit par m’annoncer qu’elle était en couple. J’étais assez choquer je ne vais pas le cacher elle n’as jamais vraiment été ce style de fille, qui ont des petits copains avant le mariage c’était les traditions et si son père venait à apprendre cette nouvelle elle serais alors dans un gros pétrin. Quand à moi les garçons je n’y avait jamais vraiment prêter attention je suis tellement loin de ce monde d’ado, ma vie et mon enfance on plus été une période sombre et douloureuse donc nan un petit ami ? Sa ne m’as jamais traverser l’esprit. Je la regarde bouche bée elle devait sûrement attendre une réaction de ma part mais honnêtement je ne pouvais rien lui dire c’était sa vie et je ne pouvais la séparer de quelqu’un qu’elle aime et qu’il aime peut être que c’était un bon garçon après tout il ne sont sûrement pas tous pareils je suppose. La seul vraie chose que je pouvais lui dire par contre était de faire très attention et c’est ce que je fit entre meilleure amie on ce doit de s’entraider et encore plus avec tout ce que elle elle m’avait fait. Elle fini par ce lever pour allez ce préparer, j’étais à la fois impatiente mais aussi toute stressée de rejoindre le lycée et cela ce voyais surement sur mon visage puisque Leila revient vers moi pour m’enlacer et me consoler. Je me préparais à sortir quand tout à coup elle me retient par mes poignées et me regarde de haut en bas. - Leila: tu crois que je vais te laisser sortir comme sa - Moi: ouii je ne vais pas me changer tu peux rêver. Elle me tire dans la chambre et va chercher un jean dans son armoire, et elle finit par m’obliger à le mettre, mais pas de chance le vêtement était beaucoup plus large que moi. J’en essayais alors plusieurs autre mais le constat était le même rien ne m’allait. Mon corps me complexais énormément et cette série d’essayage sans résultat me chuta le moral au plus bas. J’avais de nouveau cette sensation en moi de tout vouloir lâcher de tout abandonner pour allez me cacher dans ma chambre mais maintenant cela m’était impossible car j’avais fait la promesse à ma mère de changer et la plus belle des choses pour moi était de voir son visage rayonner de bonheur alors je devait me tenir à ma promesse. Après tout ce temps perdu a essayer des jeans beaucoup plus grand que moi les uns après les autres nous finissions par sortir sa mère lui donna un peu d’argent à Leila et on s’en alla pour le centre commercial. Ont ce dirigeait vers l’arrêt de bus quand d’un coup une fille surgit de nul part m’attrape le poignet et me retourna à ce que je puisse être face à elle. Elle: je te connais toi nan Moi: nan je ne crois pas Elle me relâcha le bras et parti en sens inverse, cette fille était tellement bizarre mais tellement belle aussi, ces cheveux était châtains et il devait lui arriver en bas du dos, son visage tailler en diamant était parfait, bouche pulpeuse, yeux de biche, vraiment rien à commenter elle devait sûrement en faire tomber plus d’un. Mais je ne la connaissais ni d’Adam ni d’Ève mais pourtant sa façon de me parler et de me regarder était comme si je l’avais déjà vu quelque part mais où je ne savais pas. - Leila: c’est qui cette meuf tu la connais - Moi: nan c’est bizarre Leila hausse les épaules et ont finis par monter dans le premiers bus laissant cette incident loin derrière nous. Une fois dans le véhicule ont s’installa dans les place du fond pour moi tant que j’étais bien loin du regard des gens je ne pouvais me sentir que bien. Ont ce mit à parler de tout et de rien moi et Leila, ont ce remémorait nos souvenir d’enfance. Je sais que à chaque fois que je parlais d’avant sa me fait tordre le cœur au fin fond de ma poitrine mais ces années ont été les plus belle de ma vie alors je ne pouvais les laisser mourrir dans une partie de mon cerveau, les remémorer me faisait certes du mal et me faisait penser à mon père, mais je me devait d’aller de l’avant et laisser le passer derrière moi. J’étais vraiment heureuse au fond de moi de passer une journée comme celle là elle était vraiment très spéciale et sa faisait tellement longtemps que je ne me suis pas senti aussi libre au fond moi je voulais réellement profiter de ma vie, enfin. Je voulais être libre de moi même et de mon passer. Je voulais me séparer de tout ce qui appartenait à avant. Et j’espérais réussir. Le bus s’arrête juste en face du centre commerciale, les immeuble avait tellement changer depuis ma dernière visite sur les lieux c’était impressionnant, limite c’était comme si j’avais totalement changer de ville. Mais nan j’étais toujours à Marseille. Leila me donne la main et moi je contemplai bouche ouverte la nouvelle beauté et innovation des lieux c’était GIGANTESQUE. - Leila: sa fait longtemps que n’est pas venu - Moi: ouais tropppp des années je crois que je n’ai pas remis les pieds ici depuis l’année dernière. - Leila: Ba allez dépêche tu vas redécouvrir le mondeeeeee ma coupine Ont rigola ensemble et ont ce mit à marcher. Nous entrons dans le premiers magasin, il n’y avais que des fournitures scolaires, je prit ce qu’il me fallait et je vais payer à la caisse. Puis juste à côté des caisses je vis un livre qui attira mon attention. Leila n’était pas ce style de fille qui passait leur temps à lire mais moi si dans notre génération j’étais un peu la fille facho mais cela ne me dérangeait pas au contraire ou est le mal à s’instruire. Le livre m’attirais réellement les filles étaient attirée par les « mecs » et moi par les livres, je devait vraiment être une fille bizarre vu de loin. Je pris le livre et le mis dans mon cadis et je part payer une fois pour toute cette fois si. Une fois fini Leila m’emmena essayer quelque tenu et je fini par trouver ma taille dans quelque vêtement mais rien de bien beau ni éblouissant mais par contre pour ce qui était de Leila elle avait rempli tout un sac de vêtement et acheta aussi une nouvelle paire de chaussure. Nous venions de finir nos courses, j’avais acheter tout ce dont j’avais besoin et Leila aussi alors elle me proposa d’aller manger un petit truc, je n’avais vraiment pas faim mais elle SI alors je l’accompagne chez le fast-food le plus proche, nous nous installâmes et elle pris commande quant à moi je n’ai demander qu’un verre d’eau ouais bizarre mais c’est la vie. Le menu est prêt je vais le chercher pour mon amie mais un homme me percute et je fini par chuter, heureusement que le menu était bien emballer sinon on aurais dû en commander un autre, là personne qui m’as bousculer ne prend pas la peine de s’excuser et m’insulte d’handicapés, me faisait passer pour la personne à tord dans cette histoire. Je devrais sûrement en rire ou en pleurer mais je n’arrivais pas à rire ni même à répondre, un début de crise d’anxiété pris alors possession de mon corps, un tremblement des mains puis une boule au ventre, je voulais partir d’ici car le monde était mauvais avec moi, ou peut être était ce moi qui méritait tous ce mal. J’ai fini par poser ce foutu plateau repas à ma coupine et je me suis barrer en courant, je l’entendais crier mon nom mais je ne voulais plus être avec elle je voulais me retrouver toute seul. Je courait avec toute les forces de mes muscles, je sort de cette endroit superficiel ou seul le matériel dominait et je couru, couru jusqu’a ce que mon souffle ne me le permettent plus, je m’arrête alors dans une ruelle sombre. Au bout je vis un petit garage, je m’approche alors et je vis que sa n’était qu’une salle de sport, je rentre pour pouvoir demander de l’eau car je venais de vider l’entièreté de mon corps de tout son liquide mais il n’y avait personne pour m’aider dans la salle, je vis un petit distributeur à eau et je vais me servir. Je fini de boire et au lieu de m’en aller je fût curieuse d’observer le matériel en plastique qu’il utilisait pour vider leur colère pour certains. Des sacs. Je m’approche alors d’un des sacs accrocher au plafond et je fit mine d’y mettre une patate mais mdrrr rien ne bouge d’un centimètre sauf les os à l’intérieur de ma main, alors je recommence, je voulais que ce p****n de sac bouge, je voulais vider ma colère moi aussi, comme le faisait les gens dans les films. Je retape une nouvelle fois mais c’est un échec puisque je me fais mal au pain plus qu’autre chose. Et une nouvelle fois je me remet à essayer de frapper jusqu’au ce que j’entende une voix d’homme raisonner derrière moi et à ce moment la seul question qui tourne dans ma tête c’est mais qu’est ce que tu fait la ? L’homme: tu sais si tu veux réussir à faire bouger ce sac tu dois manger un peu je ne pense pas que tu ais la force En entendant sa phrase je me suis précipité de sortir je ne voulais en entendre plus, mon poids, mon corps, le visage, la beauté les gens ne regarde donc que ces détails éphémère qui s’envole au file du temps. Quelle génération d’abrutie. Je n’avais même pas vu le visage de cette homme mais je le détestait déjà. La nuit commençais à tomber et Leila va s’inquiéter si elle ne me voit pas rentrer elle devait être en train de m’attendre devant l’arrêt de bus a faire des aller et retours alors je me dépêcha de la rejoindre mais au moment où je me mis à traverser une voiture me coupa la route et à la vue du conducteur je compris que j’étais dans la muerdeeee. .........................SUITE DEMAIN............. Si vous aimez n’hésiter pas a liker ?? a partager et à commenter kisssssss ????
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