Chapitre 10. LA GRANDE SAUVAGE, C’EST LA TEMPÊTE

1177 Words

Chapitre 10. LA GRANDE SAUVAGE, C’EST LA TEMPÊTE Cependant le patron avait saisi son porte-voix. – Cargate todo, hombres ! Débordez les écoutes, halez les cale-bas, affalez les itaques et les cagues des basses voiles ! mordons à l’ouest ! reprenons de la mer ! le cap sur la bouée ! le cap sur la cloche ! il y a du large là-bas. Tout n’est pas désespéré. – Essayez, dit le docteur. Disons ici, en passant, que cette bouée à sonnerie, sorte de clocher de la mer, a été supprimée en 1802. De très vieux navigateurs se souviennent encore de l’avoir entendue. Elle avertissait, mais un peu tard. L’ordre du patron fut obéi. Le languedocien fit un troisième matelot. Tous aidèrent. On fit mieux que carguer, on ferla ; on sangla tous les rabans, on noua les cargue-points, les cargue-fonds et les c

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