La semaine s'écoula différemment pour chacun. Plus les jours passaient, plus l'inquiétude de Luca grandissait, se demandant à chaque fois : "Si une semaine suffira au directeur et à M. Kim pour réunir assez de preuves ?"
Angel soutenait et encourageait son petit frère, lui disant : "Ne t'inquiète pas, tu as pris la bonne décision." Mais Luca n'était pas sûr que ce soit le cas. Chaque fois qu'il y repensait, il se disait : "De toute façon, il est déjà trop tard pour faire machine arrière. Je ne peux qu'avancer, même dans les ténèbres, et peut-être que le ciel m'aidera."
Les jours succédèrent, et arriva le jour du conseil. Dans la salle de réunion, un ensemble de professeurs avait été choisi pour être juge et témoin de l'affaire. Parmi ces juges, il y avait M. Kim et le professeur Fabrice. Luca était présent avec sa sœur ; les parents des harceleur étaient absents, mais chacun d eux avait envoyé un représentant. Carle était présent avec M. Joress, le secrétaire personnel de son père. Max était accompagné d'Albert, son grand frère.
Lorsque tout le monde fut présent, la réunion put débuter. Luca commença à raconter tout ce qui lui était arrivé jusqu'à présent. Un silence remplissait la salle, et Angel ne pouvait pas croire tout ce qu'elle entendait. Les horreurs que son frère subissait au quotidien, que ce soit de la part de Carle & Max ou des autres élèves de l'école.
Après que Luca eut fini de parler, la salle devint encore plus calme. Soudain, un grand bruit retentit, et tout le monde se tourna pour voir Albert claquer des mains. Il applaudissait en disant d'une voix supérieure : "Quel récit émouvant ! J'ai failli pleurer !" Luca le regardait d'un œil perplexe.
Albert reprit : "Monsieur le directeur, y a-t-il des preuves de ce qu'il avance ?" Le directeur hésita avant de répondre : "Non, durant l'enquête, nous n'avons rien trouvé. Les élèves interrogés disent ne rien savoir." Albert poursuivit : "Ces accusations peuvent être considérées comme des calomnies, des mensonges.
Le directeur rétorqua : "Certes, il n'y a pas de preuve, mais nous avons constaté une dégradation rapide de ses notes, ce qui montre qu'il y a forcément un problème." M. Joress ajouta : "Nous devons nous baser sur des preuves et non des affirmations ou des stipulations non fondées."
Angel, après avoir attendu cela, se leva précipitamment : "Depuis le début, j'étais présente, j'ai vu les changements que subissait mon frère dans ses attitudes, ses comportements. Je me demandais ce qui lui arrivait, mais il ne voulait pas en parler. Je voulais savoir ce qui se passait, mais il ne voulait pas s'ouvrir à moi. Aujourd'hui, il a enfin eu le courage de parler, et devant tant de monde ! Et vous avez le courage de dire qu'il ment ?!"
Luca demanda à sa sœur de se calmer et dit : "Vous voulez des preuves ?" Il avança au milieu de la scène et retira ses vêtements. Tout le monde fut horrifié en voyant les marques de coups et de brûlures qui traversaient tout son corps
Angel ne pouvait pas en croire ses yeux. Max et Carle se regardèrent sans rien dire. Angel se leva et se rapprocha de Luca, le saisissant la main. Ils sentirent une chaleur qu'il n'avait jamais ressentie auparavant, ce sentiment sans savoir pourquoi ou comment le réconforter et lui donner confiance en lui.
Albert, regardant la scène, se leva de son siège : "Ces marques ne signifient rien. N'importe qui aurait pu les infliger, même sa propre famille, pour nous faire pression en échange d'argent."dit Il avec un sourit.
Angel, se voyant accusée de façon indirecte, laissa précipitamment la main de son frère et se dirigea vers Albert, debout devant lui, le regardant avec indifférence ,malgré la différence de taille et de carrure. Elle souleva la main et le gifla. Le bruit de la gifle résonna dans toute la pièce.
"Pour qui vous vous prenez pour nous parler ainsi ?", demanda-t-elle.
Albert, la main sur sa joue, était encore sous le choc et n'arrivait pas à y croire : "Et toi, qui es-tu pour oser me toucher ?"
"Je suis la sœur de mon frère, et ce titre est suffisant", rétorqua-t-elle tout naïvement.
Albert : "Alors j'espère qu'il acceptera de porter ton péché avec toi."
Angel ne comprit pas le sens de cette phrase, mais Luca, inquiet, demanda à sa sœur de ne pas se mettre dans le problème pour lui. Elle rétorqua immédiatement qu'il ne devait pas s'inquiéter.
Le directeur, perplexe, demanda à tout le monde de se calmer et regarda les professeurs murmurer entre eux. Enfin, ils donnèrent leur verdict : "En l'absence de preuve concrète, nous ne pouvons pas punir des élèves sur la base de simples stipulations."
Angel, prise de colère, cria sur les professeurs : "Quoi !! Vous êtes sérieux ?"
Ensuite, elle regarda son frère et dit : "Tout ira bien." Les yeux remplis de larmes, les pleins de douleur. Max et Carle regardèrent Luca, essayant de l'intimider, et étonnamment, Luca paraissait très calme.
Après le conseil, de retour à la maison, Angel parla à Luca : "Bien que nous n'ayons pas gagné, je pense qu'ils ne t'embêteront plus."
Luca ne dit rien, il hocha simplement la tête en signe d'approbation et alla dans sa chambre.
Luca était retourné à l'école trois jours après, et quand il marchait dans les couloirs, il rencontra parfois le groupe d'harceleurs, mais il n'y eut aucune confrontation. Après une courte période d'inactivité, ils revinrent à la charge.
Luca était dans sa classe, perdu dans ses pensées, lorsqu'il entendit une voix l'appeler, ce qui le ramena à la réalité. C'était Stéphane, le bras droit de Max.
"Rejoins-nous sur le toi, Max veut te voir", dit Stéphane.
Luca resta assis sans bouger et sans rien dire, ce qui mit Stéphane en colère. "Hé ! Tu m'entends ?" demanda-t-il.
Luca "Je n'irai nulle part."
Tu peux t'en aller maintenant", ajouta-t-il.
Stéphane, vraiment en colère, se rapprocha de lui et dit : "Ce n'était pas une demande, mais un ordre."
Luca se leva pour le confronter. "Je n'irai nulle part", répéta-t-il d'un ton confiant.
Stéphane, ayant perdu patience, frappa le bureau de Luca et déclara : "Je t'amènerai de force."
Luca se leva pour le confronté. "J'aimerais bien voir ça", dit-il.
Stéphane ne comprenait pas ce qui arrivait à Luca. Au paravent, il l'aurait suivi sans broncher, et maintenant il osait lui tenir tête.
Stéphane, debout devant Luca, décida de relever le défi. Il jeta le bureau de Luca qui les séparait d'un geste et attrapa Luca par son uniforme, le frappant puis le trainant sur le toit avec une grande violance
Arrivé sur le toit, Stéphane raconta tout ce qui s'était passé, ce qui surprit Max. Il commença à rire, puis, après être calmé, demanda : "Qu'est-ce qui te prend ces derniers temps ?"
Luca sourit et dit : "J'ai pris une décision."
"Quelle décision ?", demanda Max.
"CELLE DE VOUS POURRIR LA VIE", répondit Luca.
Carle, surpris, demanda : "Comment vas-tu faire ? J'aimerais bien le savoir", tout en souriant.
Luca, qui était au sol, se leva et dit "ces simple" en se rapprocha des limites du toit. Il grimpa dessus et étendit les bras, puis arrêta de bouger.
Le groupe était inquiet et demanda à Luca de se calmer et de descendre pour qu'ils puissent discuter tranquillement. Carle, en regardant les actions de Luca depuis une période, comprit qu'il essayait de les piéger depuis le début.
Le groupe avança doucement vers lui, essayant de l'arrêter avant qu'il ne chute. Luca les regardait : "Je vous déteste à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Sale monstre ! Et toi, Léa, tu es là, pire !"
"QUI SERA LE COUPABLE" se demanda luca
Lorsqu'il était entrain de parlé Carle sorti du groupe a une vitesse incroyable et tant dis la main pour essayé de le rattrapé en cria "je tes eu ".Luca sourit et dit "tu es le coupable " en se j etant dans les aires ".
Le cri de Luca résonna dans tout l'établissement, et les élèves accoururent pour voir ce qui se passait. Les enseignants arrivèrent rapidement sur les lieux et constatèrent la scène.
Carle en regardant en dessous la foule au tour du corps de luca qui le regardait compris qu il venait de se faire piégé .