Quelles que puissent être les conditions définitives de la paix, nous espérons vivement que les 40 000 prisonniers mâles ne seront pas rapatriés de droit et sans aucune garantie qu’ils vivront en paix et en concorde à l’avenir. Il est aussi fort à désirer que le patois bâtard taal, qui n’a pas de littérature, et qui est presque aussi inintelligible pour les Hollandais que pour les Anglais, ne soit plus reconnu officiellement. Ces deux omissions pourraient nous dédommager, au bout du compte, des longs mois de guerre inutile, puisque, sur le refus de Botta, le gouvernement retira ces propositions, et l’aiguille continua à marcher sur le cadran du sort pour ne plus retourner en arrière. De Wet avait dit, à propos des conditions de paix posées par lord Kitchener : – « À quoi bon discuter chaq