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XVI Mari et femme Le premier désagrément de M. Bounderby, en apprenant son bonheur, fut causé par la nécessité où il se trouvait de communiquer cette nouvelle à Mme Sparsit. Il ne savait pas comment s’y prendre, et ne se faisait pas une idée nette des conséquences d’une pareille démarche. S’en irait-elle tout de suite, avec armes et bagages, chez Lady Scadgers, ou bien refuserait-elle obstinément de quitter la place ? Se mettrait-elle à gémir ou à dire des gros mots ? Pleurerait-elle toutes les larmes de ses yeux, ou lui arracherait-elle les siens ? Se laisserait-elle briser le cœur, sans casser les vitres ? C’est ce que M. Bounderby ne pouvait nullement prévoir. Cependant, comme il fallait que la chose se fît, il fallut bien aussi se résoudre à la faire, de sorte qu’après avoir commencé