Ravil Je garde Lucy au bord de l’o*****e pendant près d’une heure. Je la pénètre avec un plug anal, lui s**e le c******s, colle un vibromasseur à son point G. Je lui donne une fessée. Lui s**e les orteils. Je continue jusqu’à ce qu’elle soit au bord des larmes tant elle a besoin de jouir, puis je mets fin à ma propre torture en libérant mon sexe pour m’enfoncer en elle. C’est tellement bon de ne pas avoir à mettre de préservatif ! De savoir qu’elle porte déjà mon enfant. Que c’est ma seule partenaire, et que je suis son seul amant. Je suis obligé de fermer les yeux et de respirer profondément pour ne pas é******r à l’instant où je la pénètre. — C’est trop bon d’être en toi, chaton, dis-je d’une voix rauque, mon accent aussi prononcé qu’à mon arrivée aux États-Unis. — Oui, Ravil, s’il t