3 Je plaquai une main sur ma bouche. Ce n’était pas les toilettes des femmes. Je ne savais pas où je me trouvais, mais je restai là, clouée à l’endroit où je m’étais arrêtée en entrant dans la pièce. Lorsque je regardai autour de moi, je remarquai que je me trouvais dans un bureau, mais un bureau qui appartenait clairement à un homme avec des goûts particuliers. Il contenait ce qui ressemblait à un divan dans un coin, le trône où était assise la fille au collier, et un énorme bureau en acajou au centre de la pièce. Il semblait y avoir des fenêtres, mais elles étaient obscurcies, et le peu de lumière qui aurait pu filtrer depuis l’extérieur était étouffé avant de pouvoir pénétrer dans la pièce. Il était en train de la l****r, se délectant de chaque goutte. J’avais beau savoir qu’il fallai