Le cobra
Je m'imagine , lui faisant une grande surprise et la léchant dans son sommeil . Elle adore ça . Je marche lentement vers notre chambre , mais , des bruits suspects me font ralentir . Ça peut être qui dans ma chambre ? Qui oserait aller faire l'amour dans notre chambre ? Les employés évidemment ! Qui d'autre ? Ils passent leur temps à se vautrer dans nos fauteuils et nos lits à notre absence .
Je prends mon arme , je vais trucider cette personne sans gêne dans mon lit .
J'ouvre la porte doucement et je reste le premier surpris par ce que je vois : ma dulcinée , mon cœur est en train de coucher avec un autre que moi dans mon lit . La prunelle de mes yeux , les cuisses bien écartées est en train de recevoir les coups de reins de quelqu'un d'autre .
Je suis tellement surpris et...si déçu . Il est tellement à fond à la prendre sauvagement et elle est tellement concentrée à gémir de ses coups de rein .
- humm mon chéri , tu me ba(i)se tellement bien , vas-y plus vite , hummmmoui , oui .
- Je vais bien te ba(i)ser , que tu oublieras ce con de patron , est-ce qu'il te ba(i)se mieux que moi ?
- Non , mon chéri , tu es meilleur que lui .
Le coup de feu part sans que je m'en rends compte . La balle pénètre les fesses du malotru , du voleur de femme .
Il crie en sautant du lit , il se retourne et...il constate que c'est moi . Automatiquement , il se met en genoux , me suppliant de l'épargner .
- Je vous en supplie monsieur , ne me tuez pas !
Ma maîtresse qui est tellement surprise qu'elle est devenue une statut dans le lit .
Une deuxième balle part se loger dans ses cuisses . Il pousse un autre cri .
Je les regarde tous nus , et la situation me fait rire , je laisse éclater un rire mortel , je rie à me tordre en deux . Pendant cinq minutes , je ris sans arriver à m'arrêter . Les deux fautifs me regardent , surpris . Ils ne comprennent pas pourquoi je ris . À force de rire j'ai des larmes aux yeux . Je ne sais pas si c'est des larmes de peine ou de joie
Pendant que je riais , ma maîtresse , s'est mise à genoux à côté de son amant , les mains jointes , elle me supplie silencieusement .
- Mon bébé , je te jure que ce n'est pas ce que tu crois , je peux tout t'expliquer .
- Hé bien , j'ai tout mon temps , tu peux m'expliquer ce que tu veux . Je t'écoute .
- C'est lui qui m'a obligé , ce n'est pas de ma faute .
- Je vois , donc, il t'a obligé ?
- Oui , mon cœur .
- En quoi faisant ?
- Je...je....
- Ne dis plus rien , j'ai compris .
Elle me regarde avec une lueur d'espoir dans les yeux .
- C'est vrai ?
- Bien sûr que je te crois , tu me prends pour un idiot ? Levez-vous tous les deux ,
et sortez , nous allons dans la cave .
La cave , c'est là où je mets ceux que je vais torturer . Quand , ils entendent celà , ils se mettent tous les deux à trembler .
ma maîtresse commence à pleurer en me suppliant .
- Mon chéri...
- Tu l'a ferme , si tu ne veux pas mourir maintenant , sale p**e .Tu avais tout à ta disposition . Qu'est-ce qui te manquais ?
Ils avancent tout doucement , elle voulait se couvrir , mais , je ne l'ai pas laisser faire .
- Tu es une p**e alors , de quoi as-tu honte ? Les putes comme toi n'ont honte de rien . Si tu as été capable d'amener ton amant dans notre lit conjugal , je ne sais pas de quoi tu as honte , Avance .
Ils avancent vers le sous-sol , je les suis avec mon arme à la main .
Une fois au sous-sol , j'attache mon employé , puis , j'ouvre l'un des placards contenant mes couteaux de différentes tailles . Je prends un couteau , et j'avance vers elle .
- Si tu veux avoir la vie sauve , tue-le .
Elle ne me comprends pas , où elle refuse de comprendre ce que je veux dire .
- N'as-tu pas compris ? Tue-le .
- Je ne peux pas , je n'ai jamais tuer quelqu'un de toute ma vie .
- Ce n'est mon problème , tu le tue ou ....je te tue .
Elle prend le couteau en pleurant .
- Je compte jusqu'à cinq et tu lui plante la larme en plein cœur . Sinon , je te mets une balle dans les pieds et ensuite , nous allons reprendre le processus , jusqu'à ce que tu le tue .
Elle se met en genoux toujours en pleurs .
- Je t'en prie mon cœur .
- Ne m'appelle plus jamais comme ça .
Et tue-le . Prendre ce couteau .
Elle se relève toujours nue , et prend le couteau dans ma main . Elle prend le couteau , et avance vers son amant . Qui commence à trembler , je pense que son sexe est bien redescendu maintenant .
- Ma chérie , s'il te plaît , ne me tue pas .
Pense à tout ce que nous avons vécu . Je t'aime et tu m'aimes aussi , tu te rappelles ?
- Tue-le ou je te tire dessus .
- Je t'en prie mon...
- Tue-le . Je compte jusqu'à cinq : 1 , 2 , 3
- Je...je vais le faire , ne tire pas , je vais le faire .
- Alors , ne me fais pas perdre mon temps . Tue-le .
Elle avance lentement vers son amant .