Là, je fus réveillé par M. Pumblechook, qui m’appelait. Il était bien loin dans la rue, et me faisait des signes expressifs de m’arrêter. Je m’arrêtai donc, et il arriva tout essoufflé. « Non, mon cher ami, dit-il, quand il eût recouvré assez d’haleine pour parler ; non, je ne puis faire autrement… Je ne laisserai pas échapper cette occasion de recevoir encore une marque de votre amitié. Permettez à un vieil ami qui veut votre bien… permettez… » Nous échangeâmes pour la centième fois une poignée de mains, et il ordonna avec la plus grande indignation à un jeune charretier qui était sur la route de me faire place et de s’ôter de mon chemin. Il me donna alors sa bénédiction et continua à me faire signe en agitant sa main, jusqu’à ce que j’eusse disparu au tournant de la route. Je me jetai