PARTIE 15 J'ai lancé un rapide bonjour à ma mère avant de me diriger vers ma chambre. J’ai jeté furieusement mes affaires sur le lit. Énervé, je l’étais depuis mon rendez-vous avec Rougui. Je me suis sentie pire que de la c****e de chien. Pendant que j’avais mal et que j’ai toujours mal de la désillusion qu’a été notre mariage, elle était heureuse de divorcer. C’est limite si elle n’avait pas le sourire jusqu’aux oreilles en signant ces foutus papiers. Cinq années de ma vie que j’ai perdues à l’aimer et elle ne ressent même pas ne serait-ce que de la tristesse en se séparant de moi. Non, madame se permet de me presser. J’avais envie de l’étrangler pour la faire regretter de s’être moqué de moi de la sorte et effacé ce bonheur que je lisais sur son visage, les femmes, toutes pareilles. Pou