Chapitre 12 : je t'appartiens

853 Words
Lucia Il m'embrasse brusquement, ses mains tiennent ma tête de tout part. - Tu as un très beau corps, et je vais te montrer, que je peux te faire plus plaisir que ton mari. Il m'embrasse fiévreusement, ses lèvres descendent sur ma mâchoire, mon cou il fait un arrêt sur ma poitrine, puis sa bouche englobe un téton qu'il mange avec appétit, je ressens des sensations interdites . Je m'en veux : comment puis-je ressentir des sensations, du plaisir dans les attouchements d'un homme qui m'oblige à coucher avec lui. Je me concentre à penser à autre chose, je vide ma tête. - Je sais que tu refuses de ressentir du plaisir à mon touché, si tu continues ainsi, je vais te b****r tellement de fois juste pour que tu cries mon nom et me dis que je suis meilleur que ton mari. Dis-moi, combien de fois veux-tu que je te prenne ? Il recommence à m'embrasser, à contre cœur, je me laisse aller, ses mains, ses lèvres sont partout sur mon corps, il m'embrasse, les seins, les touches, les pinces, n'y tenant plus, un gémissement m'échappe . Quand sa bouche se pose sur mon centre, un cri de surprise et de chaleur m'échappe, aucune bouche n'a franchit cet espace . Il torture mes lèvres délicates ,les sépare pour s'infiltrer au coeur de mon intimité, le plaisir qui m'envahit est tellement intense, incroyable, qu'il m'emporte vers des sommets inconnus , vertigineux, je viens d'avoir un o*****e intense, tellement intense que mes larmes coulent. Il remonte sur moi, me regarde dans les yeux et me dit : - Maintenant, je vais te faire mienne, et je n'ai pas l'intention de me protéger, je sais que tu es cline, j'ai mené ma petite enquête je le suis aussi , mais il va falloir me croire sur parole. Je veux savourer cette douce chatte bien serrée . Il me le dit entendant un réponse, mais qu'est ce que je peux dire, il a toutes les cartes en main. Il se positionne à mon entrée, je sens son g***d se frotter à mes lèvres, avant de commencer à me pénétrer . Merde, il s'y prend plusieurs fois avant de rentrer en moi, il avance doucement. - Tu es tellement serrée, merde, tu me prends comme un gant. Je suis dilaté par sa présence , il me remplit de sa puissance. Il commence à bouger lentement, - hum hum hum - Oui, je veux t'entendre, dis-moi ton plaisir, ne te retiens pas. Il commence à accélérer, il frappe mon palais avec fougue , ses couilles tapent . mes fesses. Je crois que je vais me déglinguée , il y va avec tellement de force, que je plane, je monte au sommet, je vois les nuages, je suis dans un cocon. Je crie ma jouissance, avant de m 'affaler sur le lit, il me suis à la minute près, il s'agrippe à ma hanche avec force, et frappe encore avec plus de force, il s'immobilise, pousse un cri, je sens au fond de moi, sa semence qui me remplit. - Hoo, ma chérie, tu es merveilleuse. Je suis, je n'ai pas de mots, les mots me manquent pour exprimer mes émotions. J'ai les yeux fermés, redescendant de mon nuage. Il est toujours en moi, je le repousse pour qu'il me libère, mais je crois que je ne suis pas au bout de mes surprises . Il recommence à bouger, je le sens grandir en moi, j'ecarquille les yeux d'étonnement. - Tu, tu es encore... - Tu vois l'effet que tu me fais, hum, avec toi je suis insatiable. Il continue de bouger, mon corps est très réceptif, mais ma tête ne le veut pas. - Tu va t'arrêter et me libérer, espèce de gros pervers, je ne te permets pas de continuer. Je me débat, j'ai honte d'avoir éprouvé du plaisir dans ses bras, je n'ai pas envie de recommencer. - Essaie de m'en empêcher. Dit-il, en bloquant mes deux bras au-dessus de ma tête, il s'empare de mes lèvres, m'embrasse passionnément, sa poitrine est pressée contre mes seins, sa hanche presse contre ma hanche, sa bouche sur mienne, je n'ai pas d'échappatoire. Je subis ses assauts. Il me cogne férocement , je suis perdue. Mon corps en redemande, ce sal traite . Je gémis dans sa bouche, je n'ai plus de souffle, sa tempe contre la mienne, il libère ma bouche, ses yeux me scrute, sa passion est dévorante, je me perds dans ses yeux ardent. - Tu n'as pas encore compris que tu m'appartient ? hum ? Tu es à moi bordel Tu es à moi . Il le répète en me donnant des coups de reins puissants. - Tu es à, tu es à moi, tu es à moi. Répète le. Je refuse de le répéter, il redouble sa puissance, je cri. - Répète-le, Repèt-le. Il me cogne, je fais ce qu'il me demande. - Je suis à toi, je suis à toi. Cela semble le calmer. Il devient moins brutal. - À qui appartiens-tu ? - À toi, je t'appartiens. - Repèt-le. - Je t'appartiens.
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD