Chapitre 9 : c'est toi que je veux.

893 Words
Lucia Il raccroche, le s****d, le psychopathe. À ma place, que feriez-vous ? Je reste pensive, pendant longtemps. Je finis par me lever et faire le repas. De toute les manières, Sam ne sera pas là ce midi. Car ce psychopathe lui interdit de venir me voir les midis, il ne veut voir mon mari près de moi, ce n'est pas normal. Mon chéri ne doit pas me faire l'amour parce que le s****d ne le veux pas. Les cinq jours viennent de s'achever, et j'ai peur, peur de l'avenir, peur de voir mon mari aller en prison. Et s'il blefait , si ce n'était que du pipo ? Je vais prendre mon courage à deux mains et attendre pour voir ce qui va se passer . J'ai passé une nuit abominable, je n'ai pas fermé les yeux, je guette le levé du jour avec appréhension. À 6 h pile on frappe à notre porte, la brutalité des coups me fait battu le cœur Je transpire, abondamment, j'ai peur. Sam, va ouvrir la porte, la police rentre, - Monsieur Sam Marigot vous êtes en état d'arrestation pour vole et évasion fiscale, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Je vois qu'ils sont en train de le menoter - Attendez, vous ne pouvez pas l'emmener comme ça, quelles sont les preuves que vous avez contre lui ? Attendez. - Poussez -vous, madame . Une plainte a été déposée contre lui par son patron, vous devez nous suivre au poste si vous voulez plus de détails. Sam essaie de se débattre, mais les policiers l'immobilisent rapidement. - Je n'ai rien fais, je suis innocent . - Vous direz tout ça au poste monsieur. Je m'habille rapidement et les suis avec notre voiture au poste. Sur le chemin j'essaie de joindre le psychopathe, mais il ne décroche pas, le s****d . Je continue de l'appeler, jusqu'au poste de police. Nous sommes reçus par le commissaire lui-même, c'est dire comment cette histoire est grave. Il le mettent directement en cellule après son interpellation. Le commissaire me montre des preuves que lui a donné celui qui a porté la plainte. Il n'a pas fait ça ? Il a vraiment volé son patron ? On est foutu. Je lance encore l'appel. Il finit par décrocher. - Bonjour, ma chérie, que me vaut l'honneur de votre appel. l'imbécile, s****d, psychopathe, il doit être très heureux que je l'appelle. Il pourrira en enfer à vouloir coucher avec la femme des autres. - Ils ont arrêté mon mari. - Que voulez-vous que ça me fasse. - Libérez-le , s'il vous plaît. - Qui vous dit que c'est moi qui l'a fait arrêter. Et il se moque de moi ma parole. - Ce que vous avez dit est arrivé, donc ça ne peut être que vous, aidez-moi, je ferez ce que vous voulez . Mais ne le laissez pas aller en prison. - Je ne veux pas vous forcer à faire quelques chose que vous ne voulez pas. Alors je suis au regret de dire non à votre proposition. - Je vous en prie, aidez-moi. - Je ne vous promets rien, mais vous pouvez me convaincre en venant chez moin, vous venez ou pas. - Je viens. - Sortez du poste de police, il y a une voiture qui vous attend devant. Je sors et trouve la voiture, le chauffeur vient m'ouvrir la portière, je monte à l'arrière, il démarre. Nous arrivons rapidement chez lui, le s****d, il vit bien, quand on a de l'argent on ne se prive de rien . On vole la femme des honnêtes citoyens. Il arrive à ma rencontre. - Sois la bienvenue, chez moi. Je sais que tu n'as pas eu le temps de manger ce matin, j'ai préparé un petit déjeuner pour toi . - Merci, mais je n'ai pas faim. - Tant que tu ne mangeras pas, il n'y aura pas de discussion. Résignée, Je le laisses m'installer à la table à manger. Je me force à manger un peu , bois un jus, et attend qu'il finisse de manger à son tour. Je vois bien qu'il prend son temps pour faire attendre. Après un long moment, il se lève me demande de le suivre. Nous allons au salon, il me demande de m'asseoir. - Dis-moi, qu'est-ce que je t'ai dit à notre dernière conversation ? Je ne réponds pas, je suis en colère, mais je ne peux pas me perte en colère actuellement . Je dois la jouer fine. - Je vous demande pardon, monsieur, s'il vous plaît aidez-moi. - Pour commencer, il va falloir que tu arrêtes avec tes vous monsieur . Nous allons être des amants, je trouve très mal vu que tu continues de me vourvoyer. - Que me veux-tu au juste ? - C'est déjà un bon début, tu sais déjà ce que je veux. Il s'approche de moi, me fait me lever, nous sommes arrêtés, l'un en face de l'autre , je ne savais pas qu'il était aussi grand , il se rapproche plus se penche vers moi, ses doigts entre en contact avec ma peau, me faisant frissonner. - C'est Toi que je veux , ta peau est douce comme dans mon souvenir. - Vous pouvez libérer mon mari ? - Oui, mais, je ne ferai pas.
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