Chapitre 18 : je n'arrive pas à maîtriser

1025 Words
Lucia Il nous accompagne et s'arrête devant la boutique où nous rentrons pour commencer les essayages, de robes , ensuite nous sommes allés dans les boutiques de chaussures, puis les sacs pour finir avec les sous vêtements, après être passée aux produits de maquillage. Nous ressortons et, on lui donne les sacs de course qu'il s'empresse de prendre et nous suit dans la voiture . Il met tout dans le coffre et coure pour venir ouvrir la portière du véhicule . Il nous dépose à la maison . Sergio nous attend devant, quand je descends, il se précipite pour me prendre dans ses bras , il me regarde de la tête au pied. - Wahou, tu es magnifique, Sam, comment trouves-tu ma copine ? - Monsieur, vous dîtes ? - Je te demande comment tu trouves ma copine ? - Elle est très belle monsieur ! - Merci, Sam, nous allons nous reposer, met les paquets dans une des chambres. Je vais dévorer cette merveille devant moi, quelle chance j'ai ! Je le regarde, il a pratiquement les larmes aux yeux . Il baisse les yeux . Sergio m'embrasse passionnément devant lui, puis me soulève pour aller dans la chambre . - Tu aime tout ce que tu as acheté ? - Oui , tout est beau et surtout très cher. Tu n'étais pas obligé, de m'envoyer dans des boutiques aussi chères. - C'est dans ce monde que tu évolue maintenant, tu dois apprendre à être une femme de mon monde. - C'est quoi être une femme de ton monde ? - C'est une femme richissime qui ne sait pas quoi faire de son argent, une femme qui est belle, sophistiquée , bien éduquée qui peut maintenir toutes sortes de conversation. - Mais, moi je ne suis pas comme ça, je suis une personne simple, qui n'aime pas sortir, qui est heureuse avec un bon bouquin assise devant une cheminée. - Je sais tout ça, - Et moi je ne veux pas changer. - Ça aussi, je sais mais je ne veux pas te changer, juste t'améliorer . On s'embrasse tendrement puis il me conduit dans la chambre, - Mets-toi nue. - Pardon ? Je vois que son ton, son gestuel à changé, ses yeux sont devenus plus sombres, il commence à d'avancer doucement vers moi alors que moi, je recule à chaque pas qu'il fait, - Stop, pourquoi recule tu ? - Pour rien - Alors ne bouge plus, montre moi les nouveaux dessous que tu as acheté. Il prend les sacs et me les lances. - J'ai hâte de te voir là-dedans. J'attrape les sacs, et renverse tout sur le lit, je commence à me déshabiller, il observe tous mes gestes, je vois un peu à quel jeu il veut jouer, très bien, on va jouer alors, je commence à ouvrir doucement la fermeture de ma tenue, tellement doucement qu'il s'impatiente je le vois dans ses yeux, je laisse tomber ma tenu et me retrouve en sous-vêtements, je me retourne, lui donnant dos , puis j'enlève ma petite culotte en me penchant bien pour l'enlever, lui montrant par la même occasion, mon sexe bien rasé. Je l'entends jurer dans sa barbe, il veut jouer ? On va jouer. Je dur un peu avant de me relever, mais je suis surprise de le sentir collé à moi ! À quel moment est il arrivé prêt de moi ? Il m'empêche de me relever, merde, je sens son doigt caresser ma fente qui commence à palpiter, signe de son impatience, il me caresse délicatement, je prends appuie sur le lit Il se met à genoux derrière moi et je sens son souffle sur mon intimité, ho seigneur Quand sa bouche se presse contre mon entrée, je pousse un cri de surprise, c'est tellement bon, seigneur je perds la tête. Il me lèche, du haut en bas, puis prend mes fesses, pour bien faire rentrer sa langue à l'intérieur de moi, je crie, je gémis, je ne sais plus ce que je fais, ou ce que je dis, tout ce dont je me souviens C'est de sa longue queue qui me remplit l'intérieur, Ho bon Dieu, c'est le paradis sur terre . Il me cogne à sauvagement, je n'entends plus que mes cris et ses gémissements qui remplissent la chambre et même dans toute la maison, ses pénétrations s'accélèrent , deviennent plus fous, plus intensent , j'en perds mon latin, je ne tiens plus, mes genoux me lâchent . Je me retrouve à quatre pattes et lui aussi, il s'acharne sur mon postérieur, pendant les quarante cinq minutes qui passent, il me b***e comme il ne l'a jamais fait, comme un prisonnier qui de sortir de prison pour retrouver enfin sa femme après des années d'abstinence , mon ventre est en feu, ma gorge est brûlante à force de crier, nous finissons par atteindre les sommets du plaisir, quand on revient à nous nous sommes allongés par terre à un pas du lit . J'ai l'impression d'avoir courru un marathon. Mes membres sont douloureux, ma voix est cassée, mes pieds tremblent, qu'est-ce qui s'est passé ? Une sunami est passée et à tout dévastée sur son passage, je suis épuisée, je me retourne pour tomber sur son regard passionné. - C'était sublimisime, Il le dit en pressant mes seins, involontairement, mon corps commence à s'enflammer , sa bouche se pose sur mes seins jaloux d'avoir été délaissés auparavant, il les déguste à volonté jusqu'à ce que je crie, forfait, Il me regarde, je n'arrive pas à comprendre comment, je n'arrive pas à maîtriser cette envie constante que j'ai de toi, depuis le premier jour où je t'ai vu, j'ai toujours envie de toi j'ai toujours envie de te prendre dans toutes les positions inimaginable et imaginables possible tu deviens comme une drogue pour moi, je n'arrive pas à l'enlever de ma tête, de mon corps, il le dit en me caressant, sa main touche mon sexe rempli de son sperme qui coule, j'adore voir mon essence couler en toi, j'aime savoir quand tu marches que mon sperme est là, comme j'y étais Il ya quelques secondes.
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