La famille Diamond ( Tome II )

Chapitre 10 : Jour fatidique...

Aujourd'hui était le jour fatidique pour le moi à cause du triangle...

Tout ce qui était entrain de se produire, ils étaient uniquement que de ma faute... Quand Cassandra était tombée au sol. J'avais retrouvé tout mes malheurs. J'avais peur, j'avais soif et le froid augmenta en moi. Jack qui était à cotée de moi me prit par le bras avant de courir vite vers le manoir en me tirant avec lui. Cette vitesse, cette puissance... Je ne l'avais pas ressenti depuis un bon moment déjà. Je me sentais tellement mal, j'étais triste, en colère et perdu. - Vite les paladins donnée moi du sang dans la cuisine avant qu'il ne vous dévore !, avait crier mon frère en me retenant. Mon frère avait peur que je ne puisses pas me retenir car j'étais redevenu un vampire. Il pensait que j'allais redevenir le nouveau jeune vampire d'autre fois. Celui sans expérience... Comme vous le savez tous, j'ai été transformer en vampire sans avoir voulu le devenir à l'âge de 18 ans. J'avais protéger Cassandra au péril de ma vie. Mais ma mère ne voulait pas me perdre ; par conséquent elle me transforma. Ce cadeau maudit m'avait permit de revivre. Mais j'avais due apprendre à me contrôler durant de nombreuses années afin de pouvoir me maîtriser à la faim, au soif de sang et aux odeurs des humains. Pourtant, cette fois ci, c'était différent. J'étais capable de me maîtriser. C'était comme si je n'étais jamais devenu un humain.

- J'étais qu'un gros c*n !, disais-je en pleurant.

Mes yeux étaient rouge de colère. Mon frère me donna le sang dans un calice que les paladins avaient difficilement prit dans le réfrigérateur. Cela leurs équerres les pauvres. Je les comprenaient bien. Étrangement, mon frère s'attendait à ce que je balance le sang ailleurs ...

Mais ce n'étais pas le cas.

Je l'avais bu car je devais le boire. Les paladins curieux me regardaient perdus. En se demandant : " Comment est-ce possible que j'ai pu redevenir un vampire ? ". Ils pensaient qu'un drame c'était produit au mariage et que l'on m'a transformé pour me sauver.

- Pourquoi avait-il fallu que je fasse ce pacte ?, disais-je toujours à mon frère en espérant avoir une réponse...

- Alexander, disait Jack, il faut que tu te calmes. Vient ! Entrons dans le manoir.

- Avoir des pouvoirs n'étaient pas si mal ! J'aurai pu trouver ou recourir à d'autre solution et non faire des pactes pour tout me faciliter sans pensée au conséquence après..., disais-je en délirant.

- Petit frère ? Reprend toi s'il te plaît !, me disait Jack en me secouant.

Mon frère était totalement désespérer et je pouvais bien le comprendre puisque moi aussi je l'étais. Je me sentais tellement mal que je pensais que si j'allais voir Cassandra endormi sans savoir si elle allait pouvoir se réveiller ou non. Cela n'allait pas arranger l' état pitoyable dans la quel je me trouvais à présent. Aujourd'hui qui devait-être un si beau jour, je l'avais gâcher à cause d'un stupide pacte... En entrant dans le manoir. Je pris un verre d'alcool.

Puis tout à coup.

Mes yeux c'était poser sur l'invitation de notre mariage à Cassandra et à moi qui était sur la table du salon où j'étais entrain de boire. - Pardonne moi Cassandra. Je t'en supplie pardonne moi... Réveille-toi mon amour. Pitié..., disais-je avant de disparaître. J'avais tout retrouver.

Et tout perdu aussi à la fois. J'avais retrouvé : mon grimoire, mes pouvoirs, mon diamant autant que vampire Diamond...

Tout même mon ombre bougeait de nouveau de lui-même. Mais j'allais perdre la femme de ma vie. Je ne savais pas à quel moment j'avais baisser ma garde pour qu'un truc pareil se produise. J'étais c*n et je suis un lâche.

À l'hôpital...

Cassandra était dans toujours inconsciente. Sa peau devenait pâle à chaque heure qui passaient. Ses lèvres rosée c'était transformée. Elle était devenue blanche, toute cassante et sec... Rhine et Rina avaient essayées par tout les moyens de la guérir à l'aide de la magie. Mais rien ne marchait... Au tomber de la nuit... J'étais allé en toute discrétion dans la chambre d'hôpital où était ma femme.

- Oh non, avais-je dit en voyant son visage.

J'étais tellement briser que mes larmes coulaient sans contrôle. Mes yeux étaient tellement rouge.

Des veines noirs étaient visibles sur mes mains, le contour de mes yeux. J'étais tellement en colère que ma force était entrain de se multiplier. Mon diamant n'arrivait pas à tout canalisé.

Heureusement, avant qu'un médecin ne fut son entrer dans la chambre. J'avais pu me calmer pour ne pas effrayer la personne qui allait entrée.

- Oh !, disait le docteur surpris, est-ce que vous êtes son mari ?, m'avait-il demander.

- Oui c'est bien moi monsieur, avais-je répondu.

- Elle n'arrêtait pas de vous demander avant d'entrer dans un coma profond...

Cela me rendait encore plus triste, elle m'avait chercher et moi j'ai fuit tel le lâche que je suis...

J'étais encore plus coupable de l' état de Cassandra face à cela.

- Comment va-t-elle docteur ?

- Le problème... Elle va bien, mais elle ne présente rien de particulier. C'est ce qui est étrange.

Évidement que le docteur ne pouvait pas savoir ce qui n'allait pas. Tout cela était plus haut que la science ne pouvait même pas expliquer, ni remédier.

Trois jours plus tard...

Cassandra ne c'était toujours pas réveiller. J'étais à son chevet jour et nuit. Je cherchais des solutions pour la réveiller et lever le sort lancer sur elle.

Mais c'était peine perdu... Et plus les jours passaient, plus Cassandra semble souffrir. Sa peau était tel ceux d'un vampire au sang pur en manque de sang de puis des siècles. On avait beau la mettre des injection de sérum ou d'autre. L'effet ne durait pas longtemps.

- Mon fils, me disait ma mère.

- Oui ?

- Je pense qu'il est temps qu'elle rentre à la maison avec nous...

Les docteurs ne pourront rien faire pour elle. Et je pense que Cassandra à besoin de sang. Regarde sa peau...

- Et si on rentre et que l'on l'injecte du sang et que ça ne marche pas ?, avais-je dit avec un visage plaine de doute.

- Alors on aura essayé... Et on chercha une autre solution, avait-elle répondue.

- Elle est l'une des notre, avait dit mon père, on la sauvera je te le jure.

- D'accord, je vous fait confiance, disais-je en déposant un doux petit bisou sur les mains de ma chère épouse.

Et pendant que nous nous étions préparer à partir de l'hôpital.

L'arrivée d'un autre personne allait sûrement tout changer...

Parker était en route pour revenir chez lui en Pennsylvanie...