Pendant que le trouble menaçait Franck, de l'autre côté, on marchait sur la plage. Les grains de sables s'accrochaient à nos pieds comme s'ils en étaient fous. Le temps était chaud, mais le vent nous priait d'excuser les rayons brûlants du soleil. Il se faisait doux et caressait nos peaux comme si nous étions amis avec lui. Et je voulais tellement que ce souffle pénètre dans mon cœur afin de le nettoyer complètement. Je voulais qu'il retire toute la poussière en moi qui m'empêchait de vivre une vie saine. Hélas, ce n'était que le commencement de mes douleurs. En ces temps-là, c'était la vie qui me donnait des coups dans le ventre. J'avais l'impression de recevoir une sanction pour des crimes que les autres avaient commis. Donc, je décidais qu'il m'était préférable d'aussi devenir une