Alors que les couloirs se vidaient, nous aussi étions en train de fuir cette meurtrière solitude.
Les cries de ces lieux nus pouvaient parfois être très dépressifs.
Et le silence n'étant pas son ami, Alexia débuta une conversation assez tranchante "Pourquoi ne te prives tu pas de le faire souffrir?" négligeant sûrement mon ressenti face à cette situation.
Alors sans même lui dédier un regard, je rétorquais "Écoutes! Trop de choses se passent actuallement dans ma vie..." mais elle m'intérompu grossièrement.
"Toi, toi, toi!" Agitant ses mains. "Toujours et encore toi."
"Tu ne sais rien."
"Ok, alors expliques moi!" Eleva t-elle la voix. "Le fais tu payer pour tes misérables souffrances?" Continuant avec ses questions déconcertantes.
Mais je me fis silencieuse, ne trouvant aucune répon
