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– Faut-il auparavant fermer la fenêtre ? – Non ; seulement, parlez bas ! Rappelez-vous, sans plus, qu’il est dangereux, sous le toit de votre mari, de prononcer le nom d’Anne Catherick… Où l’avez-vous rencontrée d’abord ? – À l’embarcadère, Marian. J’étais sortie, vous le savez, pour chercher ma broche, et j’ai d’abord suivi le sentier qui traverse les plantations, pas à pas, regardant à terre avec soin. Je suis arrivée ainsi, après un long trajet, jusqu’à la vieille hutte au bord du lac ; et dès que j’y fus entrée, je me mis à genoux pour explorer le plancher. J’y cherchais encore, le dos tourné vers le porte, lorsque j’entendis derrière moi une voie inconnue, d’une extrême douceur : – Miss Fairlie ! disait cette voix. – Miss Fairlie ? – Oui, mon ancien nom, ce nom cher et familier qu