Celui-ci n’a qu’à ouvrir aux canaris la porte de leur cage, et à leur adresser un signal d’amitié pour que ces jolis petits animaux, élevés à ravir, viennent se percher sur sa main sans la moindre crainte, gravissent ses gros doigts quand il leur dit de « faire l’échelle » et, parvenus tout en haut de cet escalier improvisé, entonnent un duo à se rompre la gorge. Ses souris blanches habitent une petite pagode de fil d’archal, peinte en vives couleurs, qu’il a lui-même dessinée et fabriquée. Elles sont presque aussi apprivoisées que les canaris, et comme eux il les met à chaque instant en liberté. Elles courent librement sur lui, se glissent sous son gilet, furètent dans ses poches, et vont s’asseoir par couples, blancs comme la neige, sur ses colossales épaules. On le dirait plus épris de