XXVJe continue, malgré la distance plus grande, d’aller chaque jour à Diou-djen-dji. La nuit tombée, quand les quatre ménages amis du mien sont venus nous rejoindre, Yves aussi, et l’ami d’une surprenante hauteur, nous redescendons en b***e vers la ville, dégringolant aux lanternes par les escaliers et les rampes du vieux faubourg. Toujours pareille, cette promenade nocturne, avec des amusements semblables : mêmes stations devant les étalages baroques, mêmes boissons sucrées servies dans les mêmes jardinets. Mais notre b***e est souvent très augmentée ; d’abord, nous emmenons Oyouki, que ses parents nous confient ; puis deux cousines de ma femme qui sont fort mignonnes, et enfin des amies, des petites invitées de dix ou douze ans quelquefois, fillettes de notre quartier envers lesquelles