XVIIci, je suis forcé de reconnaître que, pour qui lit mon histoire, elle doit traîner beaucoup… À défaut d’intrigue et de choses tragiques, je voudrais au moins savoir y mettre un peu de la bonne odeur des jardins qui m’entourent, un peu de la chaleur douce de ce soleil, un peu de l’ombre de ces jolis arbres. À défaut d’amour, y mettre quelque chose de la tranquillité reposante de ce faubourg lointain. Y mettre aussi le son de la guitare de Chrysanthème, auquel je commence à trouver quelque charme, faute de mieux, dans le silence de ces belles soirées d’été… Tout ce temps de pleine lune de juillet qui vient de passer a été lumineux, calme, splendide. Oh ! les belles nuits claires, les belles lueurs roses sous cette lune merveilleuse, les belles ombres bleues, dans les fouillis épais de