When you visit our website, if you give your consent, we will use cookies to allow us to collect data for aggregated statistics to improve our service and remember your choice for future visits. Cookie Policy & Privacy Policy
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
– Très bien, interrompit l’évêque. Et il n’y a pas de raison pour que ce partage ne s’opère pas à l’amiable. – Vous avez déjà oublié nos conventions, répliqua Ernest. Nous sommes tombés d’accord que l’homme est égoïste, l’homme ordinaire, tel qu’il est. Vous vous lancez en l’air pour établir une distinction entre cet homme-là et les hommes tels qu’ils devraient être, mais qu’ils ne sont pas. Revenons sur terre ; le travailleur étant égoïste, veut avoir le plus possible dans le partage. Le capitaliste, étant égoïste, veut avoir tout ce qu’il peut prendre. Lorsqu’une chose existe en quantité limitée et que deux hommes veulent en avoir chacun le maximum, il y a conflit d’intérêts. C’est celui qui existe entre le travail et le capital, et c’est un conflit irréconciliable. Tant qu’il existera