Chapitre 21

3519 Words
Tout le monde s'endormait, Henry essayait même de dormir, s'endormait un moment, mais il se réveillait toujours après. L'anxiété était grande, l'attente aussi, après tout, il était à quelques heures peut-être de changer l'opinion de tout le monde, de démasquer le faussaire se faisant passer pour lui, qu'il croit être le motard homoncule et de mettre fin à la faction 13. Tout dépendait de ce qu'il pouvait réaliser avec le chef de 13 faction demain et comment il arriverait au chef, avec tant de gens dans le stade. Penser à des projets et s'inquiéter pour Julia. Il a passé le matin et le matin éveillé, avec quelques instants où il a réussi à s'endormir. À 9 heures du matin, il a décidé de se lever, de manger quelque chose dans le réfrigérateur de Carolina et de partir, avant que les autres ne se réveillent. La journée serait longue, peut-être qu'il ne reviendrait même pas selon ce qui se passerait et il y avait encore beaucoup à faire. Avant de partir, Henry a écrit une note à Carolina, lui disant d'aller à la réunion qu'il serait là pour l'aider, il avait juste besoin de régler les choses d'abord. Henry : Bon allons-y, il est temps que le vrai Griffon revienne sur les lieux. Tout d'abord, Henry est allé chez Lavinhu, s'est faufilé par une fenêtre, a profité de l'éducation universitaire de Lavinhu. Henry : Où est-ce... Ça doit être quelque part par ici... (regardant dans un placard) Lavinhu 2 : QUE FAIS-TU DANS MA CHAMBRE ?? Henry : ... Je viens juste... Je suis venu chercher ce pardessus... Le premier. Lavinhu 2 : (ouvrant un sac) prends cette merde (lance son pardessus sur Henry) j'étais sur le point de la jeter... Henry : (portant son pardessus) regarde... Je sais ce que tout le monde pense... C'est juste... Je vais arranger ça, promis Lavinhu 2 : De retour de la fac... Henry : Quoi ? Lavinhu 2 : Lavinhu passe toujours à moto devant la maison de Patricia et s'arrête un moment sur le chemin du retour de la fac aussi, pour la voir... Henry : (mettant les 2 cagoules et le tissu sur son visage) laisse-moi réparer ces deux, merci Lavinhu 2 : J'espère que tu dis vraiment la vérité... C'est ridicule de croire ça, mais je ne sais pas... C'est comme si je me sentais... Ah, ça a l'air cool avec deux cagoules, c'est juste Je ne sais pas comment tu supportes la chaleur Griffon : Haha merci, je ne sais pas non plus Lavinhu 2 : Il arrive un moment dans la vie de chacun où nous avons besoin d'un héros... Je ne sais pas ce qui t'est arrivé, mais je sais qui tu étais... Sois à nouveau ce héros d'avant Griffon : ... Tu peux compter dessus (sort par la fenêtre) Bon, maintenant profitons de ma " renommée " ou de mon infamie, puisque je suis au plus bas, il n'y a rien de mal à ça... Griffon est entré dans un super marché, tout le monde a commencé à courir quand ils l'ont vu, il a attrapé plusieurs courses et les a mises dans un caddie, les a emmenées à la caisse et les a mises dans des sacs. Griffon : (parlant à la caissière) merci pour la charité Sécurité : (chauve-souris en main) PAYEZ OU JE DEVRAIS VOUS ARRÊTER (effrayé) Griffon : (tenant tous les sacs dans ses mains) sérieusement ? Mec, je ne te ferai pas de mal, écarte-toi de mon chemin, j'ai plus à faire... Le garde de sécurité a tenté de frapper Griffon avec la matraque, Griffon a esquivé sur le côté, a donné un coup de pied au bras du videur avec la matraque, puis lui a donné un coup de pied dans le ventre, le faisant tomber à genoux avec ses mains sur son ventre. Griffon : Désolé mec, guéris. (sautant en partant) Dans le refuge des mendiants où se trouve Mathias. Mathias : Wow, tu ne la fermes pas, mon vieux ? Von Stokker : ...Non... (enchaîné au sol avec des chaînes) Alors quel est ton grand plan, comment vas-tu vaincre le grand patron devant des milliers de personnes dans le stade ? Mathias : Ce ne sont pas tes affaires. Von Stokker : Mais vous l'êtes, n'est-ce pas ? Mathias : ... Von Stokker : VOUS N'Y ALLEZ PAS ?? POURQUOI?? Mathias : Tais-toi mec... Von Stokker : Avez-vous peur du grand patron ? C'est compréhensible. Mathias : Non Von Stokker : Hmm... Alors c'est la peur d'autre chose, mais de quoi... Mathias : p****n, mais tu es vraiment bourré ? Pire qu'un gamin qui s'énerve... Von Stokker : Tu es parti... Et tu es habillé comme un mendiant... Tu es en fuite, n'est-ce pas ? C'est pourquoi vous ne voulez pas y aller, s'ils ne vous voyaient pas, le jeu sera diffusé dans plusieurs états du Brésil... Mathias : ...Ce n'est pas comme ça... Von Stokker : OH OUI !! Je t'ai attrapé HEHEHE, maintenant... Qu'est-ce que tu fuis ? Ou plutôt, de qui ? Mathias : (prenant une profonde inspiration) oh mon Dieu, donne-moi la force de ne pas claquer des doigts et mettre une lettre dans la gorge de cet homme... Von Stokker : Hehehe, mon charisme est vraiment énorme, je sais, je suis irrésistible hehe. Mathias : UN MOT DE PLUS ET JE JURE QUE... Griffon : Je suis arrivé. Mathias : DIEU MERCI, CET IDIOT NE SE FERME PAS... QU'EST-CE QUE C'EST QUEL SAC ? Griffon : Vous avez demandé d'apporter de la nourriture... J'ai apporté... Mathias : DAOSSE, A INTRODUIT TOUTE LA SALON Griffon : Héhé, on fait ce qu'on peut, pourquoi tu ne l'as pas effacé puisqu'il ne veut pas se taire ? Mathias : Il en a déjà très marre d'être blessé, j'avais peur qu'il s'aggrave et ne se réveille plus... Et s'il ment, on aura encore besoin de lui Griffon : Bonne réflexion... (regardant autour de lui) Mathias : Ouais, ils ont tellement peur... J'ai entendu des trucs sur Griffon... Tu sais ce que c'est Griffon : Ouais... Tu veux que je parte ? Mathias : Non, non, LES GARS !! VENEZ ICI, C'EST CORRECT. ÉCOUTEZ, JE SAIS QUE VOUS AVEZ TOUS ENTENDU DES CHOSES SUR GRIFFON, CERTAINS POURRAIENT MÊME LE VOIR, MAIS JE VOUS GARANTIT QU'IL EST NOTRE AMI ET IL EST LÀ POUR NOUS AIDER, IL A APPORTÉ DE LA NOURRITURE, DONC QUI LE VEUT PEUT L'OBTENIR... Tous les mendiants avaient peur du Griffon, mais certains se sont approchés avec une certaine appréhension, ont pris de la nourriture et les ont remerciés, puis d'autres sont allés, jusqu'à ce que tout le monde s'en aille. Mathias : Tu vois ? Griffon revient doucement... Griffon : Mieux... Je n'y ai même jamais pensé... Cette situation, tant de gens dehors, sans abri et affamés... C'est un nouveau Griffon, Griffon 2.0 Mathias : Héhé, j'ai remarqué, avec la veste, d'accord, maintenant il y a deux capuches... Je ne sais pas comment tu le supportes... Griffon : Ouais, ils n'arrêtent pas de me dire que... Mathias : Mais ce que tu dis est vrai... Je n'ai jamais réalisé que les plus nécessiteux non plus, la vérité c'est que dans la société d'aujourd'hui on est entouré de belles et bonnes choses qui nous font en vouloir, avoir de l'argent pour les acheter, et encore plus de choses apparaissent toujours, tout cela nous entoure complètement et on finit par oublier complètement qu'il y a une toute autre réalité de la société, celle des exclus, de ceux qui n'y ont pas de place. Alors qu'une personne dépense plus de mille reais pour des chaussures ou des vêtements, des milliers de personnes meurent de faim et donneraient n'importe quoi pour une simple assiette de haricots et riz... La vérité est qu'il faut toucher le fond comme eux pour pouvoir les voir... Sans cela, nous serions toujours aliénés, entourés de belles choses et de merveilleux matériaux qui nous font passer tant sur ces frivolités... . Griffon : Ouais... Von Stokker : C'est bien, parce que c'est toujours là... Je veux voir, même après avoir été témoin de tout ça, quand tu reviens au « sommet » et que tu redeviens entouré de choses belles et merveilleuses si tu es va regarder "en bas" à nouveau et aider ceux qui sont dans le besoin ou tu ne les oublieras plus... C'est la vérité tacite sur l'humanité, nous idéalisons la gentillesse, nous rêvons de réciprocité, mais la seule chose que nous exerçons quotidiennement est l'égoïsme , la vérité est que les êtres humains ne se soucient pas des autres, ils ne se soucient que d'eux-mêmes et de leur propre bien-être... le plaisir, tandis que d'autres mangent dans les ordures... Le fait est que le mal est une condition humaine... Griffon : Il y en a beaucoup comme ça, beaucoup qui sont aveugles ou ne veulent pas voir, mais il y a ceux qui voient et aident... Le mal n'est pas une condition humaine, c'est une option, il ne devient une condition que lorsque vous êtes un idiot... Il n'est jamais trop tard pour bien faire Von Stokker : (souriant) tu sais... Je déteste mon père pour plusieurs raisons... Mais il y a une chose qu'il m'a apprise et que je n'ai pas oubliée jusqu'à aujourd'hui, très utile, " si tu peux marcher sur quelqu'un pour aller mieux, puis marcher dessus, parce que si c'était l'inverse, il ne réfléchirait pas une seconde avant de vous marcher dessus ». vérité absolue Griffon : Pas étonnant que tu sois un connard, avec un père comme ça... Von Stokker : Le trou du cul est la personne qui est aveuglée par l'illusion que le monde est parfait et que les gens sont bons par nature, car rien n'est parfait et les gens choisissent toujours la méchanceté plutôt que la bonté lorsque cela est possible. Je ne me fais pas d'illusions avec ces enfantillages, j'accepte le monde tel qu'il est, je traite les gens comme ils le méritent et j'agis toujours en fonction de ce que je suis, je ne suis pas hypocrite pour essayer de bien paraître, je prends juste ce que Je veux et b***e le reste Griffon : Mais tu ne la fermes pas, hein... Mathias : Je t'ai dit... Griffon : Je vais te dire un truc, il y a plein de gens comme toi, s'ils peuvent être considérés comme des gens, parce que pour moi ils sont moins que ça, tellement plus comme des vers... Mais c'est pour des gens comme ça et pour des pensées comme ça Le pays a tellement de corruption et l'humanité est tellement en décomposition, c'est comme la fin du puits de la décomposition humaine... va faire du mal à qui que ce soit, choisis toujours le moyen le plus simple... Je déteste les vers comme ça... Von Stokker : Bien parlé... Mais en fin de compte, ce sont toujours les vers qui sont au pouvoir, les vers sont toujours au top et les "Bons Samaritains" si idéalisés sont au bas de la chaîne alimentaire, étant piétinés par tout le monde les autres ci-dessus... Nous, les vers, dirigeons le monde parce que nous sommes assez courageux pour être ce que nous sommes, au lieu de perdre du temps et des opportunités en prétendant être les "bons", le monde est fait d'opportunités, soyez assez ver Griffonr arrête chacun d'eux et vous atteindrez le sommet, buvez du champagne en regardant ceux d'en bas s'entretuer pour un meilleur endroit... Griffon : Ne t'inquiète pas, parce que je vais faire tourner cette "chaîne alimentaire" et la mettre sens dessus dessous, le sommet des vers se révélera être ce qu'ils auraient toujours dû être, la terre boueuse, le site de la vers, et la base de la « chaîne alimentaire » deviendra la place de ceux qui en sont vraiment dignes, il ne restera plus un ver au pouvoir, car je chasserai chacun jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Von Stokker : HAHAHAHAHA, PENSEZ-VOUS VRAIMENT QUE VOUS POUVEZ CHANGER LE MONDE ? SAUVER LE MONDE? TUEZ OU FAITES CE QUE VOUS VOULEZ AVEC CEUX AU POUVOIR AUJOURD'HUI ET DEMAIN PLUS APPARAÎTRA, EXACTEMENT COMME LES VERS ANTÉRIEURS... PARCE QUE C'EST DANS L'ADN DE L'ÊTRE HUMAIN DE VOULOIR LE MEILLEUR ET DE DESCENDRE !!! Griffon : Tu penses que je veux changer le monde ? J'ai juste besoin de faire tourner cette "chaîne alimentaire" quelques fois, de la secouer chaleureusement, jusqu'à ce que tout le monde se rende compte qu'ils n'ont besoin de vivre sous les pieds de personne, parce que tout le monde est égal, j'ai juste besoin de donner de l'espoir et ils... Ils fera le changement, car personne ne change rien tout seul, vous ne pouvez que donner l'exemple et espérer, le reste reste avec la majorité... Et la majorité c'est le peuple, les vers profiteurs seront écrasés par les géants endormis jusque-là... Von Stokker : (souriant)... Tellement innocent... Griffon : Donc pas d'arguments... Mathias : Hey Griffon, comment tu vas faire là dans le stade ? Griffon : J'y ai beaucoup réfléchi... Puis j'ai réalisé que je faisais mieux quand je ne prévoyais rien, j'improvise avec la situation. Mathias : Ok, bonne chance, merci pour l'aide avec la nourriture et pour avoir fait taire cet idiot. Griffon : Héhé, de rien (sautant en partant) Griffon est allé à l'université et a attendu que les gens abandonnent pour qu'il puisse voir. Julia. Elle a l'air... si triste... Griffon : Merde... Je vais arranger les choses mon amour... Ne pleure plus s'il te plaît... Lavinhu, réglons ta situation maintenant... (sautant) Griffon se rendit chez Patricia, l'amoureuse de Lavinhu, et attendit qu'il passe sur sa moto devant la maison. Lavinhu : (arrête le vélo) Patricia... Patricia a quitté la maison et a vu Lavinhu, les deux se sont regardés pendant un moment, puis Griffon est tombé sur Patricia et a menacé de la tuer, Lavinhu est descendu du vélo et est parti, Griffon a sauté par-dessus Lavinhu et l'a attrapé par la tête le jetant au sol, Lavinhu se leva et chargea vers le Griffon avec colère, Griffon esquiva et pointa ses griffes sur les deux. Lavinhu : (devant Patricia, la protégeant) QU'EST-CE QUE TU FAIS TU FILS D'ENFANT ?? Griffon : Vous n'avez aucune chance de me battre, alors pourquoi vous battre ? Lavinhu : PARCE QUE LES CHOSES QUE VOUS AIMEZ valent la peine d'être combattues... JE NE VOUS LAISSE PAS LA TOUCHER !!! Patricia : ... (regardant Lavinhu) Griffon : (Griffes rétractées) C'est... C'est l'esprit de la chose... Il t'aime, alors raccroche-toi et rendez-vous vite (sautant) Lavinhu : Mais qu'est-ce que c'était ?? ... (regardant Patricia) Lavinhu et Patricia : Je t'aime... Hahaha... (s'approchant) Lavinhu et Patricia ont donné un de ces baisers inoubliables de retrouvailles à couper le souffle, leur amour était comme un feu que même tous les océans de la planète ne pourraient pas éteindre, une flamme qui resterait allumée pour l'éternité, un amour fait pour durer l'éternité, et toujours pas se dégrader, continuer avec la même intensité qu'au début, renouveler chaque jour, à chaque regard. Peu importe à quel point ils ont lutté, ils étaient faits l'un pour l'autre, faits l'un pour l'autre, comme de véritables âmes sœurs. Les jours de capture de Lavinhu étaient vraiment terminés, il avait trouvé sa bien-aimée, son âme gémissait, il était en paix avec lui-même et son cœur, car c'est ce que le véritable amour apporte, la tranquillité d'esprit. Lavinhu : Je ne peux pas croire que nous ayons attendu si longtemps pour faire ça... (caressant le visage de Patrícia) Patricia : Moi non plus... (embrassant Lavinhu) Griffon : (regardant la scène au-dessus de la maison) c'est de l'amour... Allez, mission Cupidon, deuxième partie (sautant) Chez Daniele. Griffon : Allez ! Daniele : QU'EST-CE QUE TU FAIS ICI ??? Griffon : (portant Daniele sur son dos) allons-y (sautant) Daniele : LAISSE MOI !!!! AAAAAHHHHHH AIDE !!! OOOOO !!! Griffon : (en haut d'une maison) regarde, arrête le drame, je vais pas te faire de mal, dis-moi où vit ce petit gars que tu aimais Daniele : Pourquoi tu veux savoir ?? Griffon : Pour réparer la merde qui a été faite. Daniele lui a dit où il habitait et Griffon l'a emmenée là-bas, quand ils sont arrivés là-bas, Griffon lui a expliqué que ce n'était pas sa faute, il était un idiot et pour eux de se tirer d'affaire et de s'embrasser bientôt, et ils se sont embrassés. Griffon : Maintenant ouais... Maintenant c'est la mission finale de Cupidon. (sautant) Au centre commercial Paço Alfândega, centre de Cashvill. Carolina : Henry... où es-tu frère... Homme : Caroline ? Caroline : ... salut... (embarrassée) Homme : Ça va ? Caroline : ... Oui, oui... Et avec toi ? Homme : Mieux maintenant, hehe Caroline : (embarrassée) haha. Homme : Alors... Caroline : Alors... Haha. Homme : Alors, d'accord... Haha. Carolina : Ouais... Alors... Mon ami n'est pas encore arrivé... Homme : Votre ami ? Carolina : Oui, celle qui a discuté avec toi hier. Homme : Oh oui, je sais. (regardant dans les yeux de Caroline) Carolina : Ouais... (le regardant dans les yeux) Les mains de quelqu'un rapprochèrent leurs têtes et ils s'embrassèrent. Griffon : Enfin, quel dommage... Carolina : Haha, feli... (se retournant) GRIFFON ?? Griffon : (souriant) Ouais... Homme : (protégeant Carolina) ATTENTION, FUYEZ-VOUS !! Griffon : (souriant et s'éloignant)... Bon, rôle rempli... Maintenant... Juste une dernière chose... « Julia, il n'y a pas assez de mots ou de gestes dans cette vie qui peuvent décrire mon amour pour toi, je sais ce que tu penses que j'ai fait, ou plutôt ce que tu es sûr que j'ai fait, je ne peux pas défaire ce c'était fait et même pas te faire croire en moi... Non sans preuve, je n'attends pas avec cette lettre que tu croies en moi, je voulais juste te dire que toutes les folies du monde ne suffiraient pas à décrire comme je suis fou amoureux de toi, pas mille échelles de Richter ne suffiraient pour classer le tremblement de terre causé par mon battement de coeur quand je pense à toi, rien au monde n'a plus d'importance que de te voir bien et heureux, je t'aime et je t'aimerai Je t'aime toujours, je n'aimerai jamais personne d'autre que toi, le véritable amour ne vient qu'une fois dans une vie, j'ai eu le mien, c'était toi, Julia. Je ne me lasserai jamais de dire : je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime... Je t'aime, et pendant mille ans je t'aimerai encore, pour toute l'éternité s'il le faut, car je ne fais que t'aimer. PS je t'aime." Près de la maison de Julia. Griffon : Et c'est pourquoi... Je ne peux pas te donner cette lettre... (regardant Julia) Je t'ai déjà fait de la peine et de la souffrance... Même si ce n'était pas de ma faute... Il y aura toujours être quelque chose comme ça... (froissant la lettre) et je t'aime trop pour te faire souffrir directement ou indirectement... (pleurant) ce sera plus facile pour toi de m'oublier si tu penses que je n'étais qu'un autre s****d. .. (jetant la lettre froissée sur le sol et essuyant les larmes) au revoir... (s'éloignant) Dans le refuge pour sans-abri où se trouvait Mathias. Griffon : J'ai apporté plus de nourriture personnelle. Mathias : Merci mec... T'es un peu déprimé, je sais pas... Il s'est passé quelque chose ? Griffon : ... Peu importe, allons chercher ce s****d de la faction 13. Mathias : D'accord, alors c'est quoi le plan ? Griffon : Je vais exposer ce s****d, devant tout le stade. Mathias : D'accord, mais comment ? Griffon : C'est notre petit ami qui va répondre... Où est la "base" de la faction ? Von Stokker : Pourquoi veux-tu y aller ? Griffon : Il doit y avoir un document ou quelque chose qui relie le gars à la faction, non ? Von Stokker : Charles tu dis... Griffon : Ouais ce fils de pute Von Stokker : ...Peut-être, mais s'il y en a, c'est seulement dans son bureau... Sans compter que c'est inutile, qu'est-ce que tu veux ? le remettre aux autorités ? La police est à sa solde... Il les a tous dans sa poche, officiers de haut rang, de rang intermédiaire et de rang inférieur, tous corrompus. Griffon : Merde, mais il doit encore y en avoir qui sont assez bons, et je parie que le plus... Si je pouvais démystifier ce stratagème... J'ai juste besoin de trouver cette paie... Ça devrait le faire. Von Stokker : Si vous avez de la chance... Oui Mathias : Pourquoi es-tu si coopératif maintenant, em ? Von Stokker : (souriant) J'ai mes raisons... Griffon : Alors où est la base ? Von Stokker : Je peux t'y emmener... Mathias : (regardant le Griffon) C'est pas une bonne idée... Griffon : Ouais, mais à ce stade... C'est le meilleur que nous ayons, allons-y alors. Stokker Mathias : Je pense que je vais rester... Griffon : D'accord, je comprends (portant Von Stokker)
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