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ABIGAIL
Je me faisais prendre par mes deux maris. Ensemble. En même temps. Ce n’était pas Gabe dans ma bouche et Tucker dans ma chatte. Ils remplissaient ma chatte et mon cul. J’étais tellement remplie que je succombais. Ces hommes m’entouraient, me remplissaient me conquéraient. Il n’y avait plus un centimètre entre nous. Ni entre nos cœurs, ni entre nos corps.
Ils étaient miens. Et j’étais leur.
La sensation de les prendre tous les deux étaient intense. Je me sentais étirée, utilisée, mais les sensations apportées par leurs attentions en valaient la peine. Même la douce brulure d’être aussi ouverte pour eux s’ajoutait au plaisir. Même mon cul rougi s’y ajoutait. A chaque fois que gabe remuait des hanches, il rencontrait la chair tendre. Et quand Tucker empoignait mes seins pour en
