VI. — Shakespeare, tome huit. Deux pavillons, d’époque ancienne comme le reste de l’hôtel, flanquaient, à droite et à gauche, le mur assez bas qui s’élevait entre la cour d’honneur et la place du Palais-Bourbon. Ces pavillons étaient reliés au corps de logis principal, situé dans le fond de la cour, par une série de bâtiments dont on avait fait les communs. D’un côté les remises, écurie, sellerie, garage, et au bout le pavillon des concierges. De l’autre côté les lingeries, cuisines, offices, et au bout le pavillon réservé à Mlle Levasseur. Celui-ci n’avait qu’un rez-de-chaussée, composé d’un vestibule obscur et d’une grande pièce, dont la partie la plus importante servait de salon, et dont l’autre, disposée en chambre, n’était en réalité qu’une sorte d’alcôve. Un rideau cachait le lit e