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MARY
Mon corps picotait partout. Mon derrière était en feu et brulait des assauts de Parker. Il n’y avait pas été de main morte, ce n’était pas un jeu. C’était une punition, pure et simple. Pour autant, mon corps réagissait toujours, il en voulait toujours plus. J’aimais qu’ils soient sauvages. J’aimais qu’ils me donnent des fessées. J’aimais qu’ils mettent leurs doigts à l’intérieur de moi. Je n’aimais pas qu’on m’empêche de jouir. J’en avais été si proche, mais ils avaient dû le sentir et tout arrêté. Encore et encore, ils me tourmentaient en me faisant miroiter le plaisir convoité sans me le donner.
Je me sentais frénétique et désespérée, hors de contrôle et complètement frustrée. Je comprenais ce qu’ils avaient dû ressentir en découvrant que j’étais partie à Butte. Oui, ils étaie
