Tu M'appartiens depuis toujours

Tu M'appartiens depuis toujours

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Blurb

pendant des années, Astrid croyait être fiancée à un mafieux italien qui était encore un inconnu pour elle jusqu'à ce que dernier la kidnappe et lui avoue qu'elle était en réalité sa soumise et que son père, Riley Miller, c'était occupé de signer son contrat de soumission.

Lorenzo Lombardi n'avait pas le sens de la patience et s'était donc promis d'avoir le gain de ce dont il avait payé en soumettant Astrid à ses volontés les plus obscures.

ce qu'elle ignorait de son côté était qu'elle allait finir par apprécier l'homme dangereux et brisé qu'était Lorenzo

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chapitre 1
Emergeant peu à peu de son sommeil après une longue période dont elle ne s’en souvenait même pas, Astrid sentit ses mains attachées de part et d’autre du lit, ses pieds aussi étaient dans la même position et elle ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. Elle avait la tête qui était douloureuse et le corps complètement paralysé. Elle essaya de tirer sur les liens, espérant se libérer mais rien n’avait changé. Prise de désespoir, elle regarda la pièce dans laquelle elle se trouvait et constata qu’elle n’était pas une prisonnière en tant que tel parce que tout était propre et très bien rangé, ce qui faisait la différence entre un geôlier qui aurait voulu la faire souffrir réellement mais elle n’était non plus rassurée parce que les psychopathes adoptaient toujours cette méthode ; faire croire que tout allait pour le bien pour mieux traumatiser. Ses souvenirs remontaient à très longtemps, après tout ce qu’elle avait subi entre les mains de son père et elle s’était promis vengeance mais seulement, ce dernier avait pris le dessus sur elle et elle ne savait plus ce qui s’était passé par la suite. Elle espérait juste ne plus être sous sa dominance parce que oui, elle regrettait le nombre d’années où elle avait passé tout son temps à croire en cet homme qui l’avait fait détester sa sœur jumelle, cet homme qui lui avait fait croire qu’ils avaient perdu leur mère par la faute de sa sœur jumelle. Asly était une bonne personne qu’elle n’avait pas arrêté de haïr et depuis le jour où elle avait su que Riley Miller était en fait le monstre de toute l’histoire, elle s’en voulait d’avoir été assez bête pendant vingt-quatre années de sa vie. Vingt-quatre ans d’ignorance et de manipulation sans cesse, elle ne savait pas ce qui s’était réellement passé mais elle comptait toujours se venger de ce père indigne qui lui avait volé sa vie en la laissant croire aux choses qui étaient fausses. Ce n’était pas en restant cloitrée sur ce lit qu’elle allait pouvoir faire des recherches sur l’homme qui l’avait soumis à une vie de misère et sans avenir. Pour qu’elle y parvienne, il fallait qu’elle soit dehors et qu’elle fasse même des recherches. Elle se mit à hurler espérant alerter quelqu’un et en espérant ne pas être dans un endroit désert. Après trois à quatre cris d’alerte, la porte qui faisait face au lit s’ouvrit brutalement, laissant ainsi entrer une femme de petite taille qui la regardait avec compassion. Ça ne présageait déjà rien de bon et cette femme ne pouvait qu’avoir un cœur de maman pour être autant compatissante, une nouvelle preuve qu’elle était dans l’antre du diable mais seulement, elle ne savait pas de quel diable il s’agissait parce qu’elle en avait assez fréquenté de diable dans sa vie. -stai facendo bene (vous allez bien) Elle n’avait rien compris de cette phrase et ça se constatait qu’elle avait quitté les Etats Unis d’Amériques ou plus précisément, la personne qui la détenait n’était pas Américaine. Cela commençait à l’inquiéter et pire encore, elle était irritée dans sa position de soumise parce que oui, ne pas pouvoir faire ce qu’elle voulait comme sortir pour découvrir était signe de soumission, ce qu’elle n’aimait pas. -je ne sais pas si vous parlez anglais mais où suis-je et qui m’a amener ici ? -le maître, répondit la femme un peu dubitative. Le maître, Astrid se renfrogna en se souvenant qu’une seule personne avait imposé cette appellation à Asly ; Riley Miller. Il n’avait jamais aimé que cette dernière l’appelle « papa » et elle était dans l’obligation de l’appeler maître. Cela la renvoyait dans un univers qu’elle croyait avoir échappé ; celui de confronter Riley en étant pas préparée et elle espérait que ce n’était pas lui ce maître dont on parlait. -qui est-il et pourquoi suis-je attachée ? -je ne peux pas répondre à vos questions mademoiselle, je crois que c’est le maître qui vous répondra s’il le veut bien évidement. Il ne pouvait que vouloir parce qu’elle se refusait de rester dans l’ignorance totale. Peu importe qui il était, il n’avait aucun droit de la soumettre à des conditions pareille. Elle se mit à s’agiter même si elle était consciente que cela ne pouvait en rien l’aider. -je vous prie de vous calmer mademoiselle car vous venez de sortir d’un état comateux qui aurait pu vous coûter la vie selon les dires du maître et vous devez vous reposer. Vous agiter de la sorte ne vous aidera en rien croyez moi. Elle était consciente qu’elle avait été dans le coma parce que la dernière chose dont elle se souvenait était le coup qu’elle avait reçu à la tête et qui l’avait fait perdre l’équilibre ainsi que conscience. Elle avait eu la chance d’entendre les dernières souhaits de son père pour elle avant de sombrer complètement ; « tu as eu le temps de profiter de ma bonté ma chère fille et maintenant que je n’ai pas pu avoir de toi ce que je voulais, va en enfer, je récupèrerai ta sœur pour qu’elle accomplisse ce que tu n’as pas pu accomplir ». nul doute qu’il parlait ainsi d’Asly mais elle était rassurée du fait que, cette dernière était désormais sous la protection du mafieux sanguinaire de la Russie. -je dois aller au petit coin, dit-elle en regardant la petite dame de ses petits yeux. Elle espérait que cette stratégie allait enfin pouvoir marcher afin qu’elle la libère et comme ça, elle pouvait s’échapper sans aucune encombre. Elle pouvait déjà sentir la joie de la victoire pulser en elle. -je suis désolée mais c’est impossible. -impossible ? mais comment ? vous ne pouvez pas empêcher mon organisme de faire ce qu’il a décidé parce qu’il est libre. -je sais mais ce que je veux vous faire comprendre c’est que vous ne pouvez pas quitter le lit et vous pouvez vous faire dessus, vous vous nettoierez une fois que le maître aura décidé de vous libérer. C’était un cauchemar, un vrai cauchemar parce que de sa vie, elle n’avait jamais entendu une telle chose. se faire sur elle tout simplement parce qu’elle était la prisonnière d’un homme qu’elle ne connaissait même pas. C’était encore plus cruel que ce qu’elle aurait imaginé. Elle était certaine que plus cruel que ce satané maître n’existait pas. -vous pouvez me comprendre madame, je dois absolument me rendre au petit coin. Je vous promets que lorsque j’aurais terminé, je reviendrais et vous m’attacherez telle que je suis. Un sourire qui était loin d’être chaleureux se dessina sur le coin de sa lèvre et Astrid espéra qu’elle allait enfin céder même si ce genre de sourire était loin d’être le moins gentil au monde. Elle la vit avancer vers le lit et enfin, elle se disait qu’elle avait réussi. -même un bébé qui vient de naitre aujourd’hui saurait que vous vous foutez de ma gueule jeune fille et je crois que le maître vous trouvera bien plus intéressante que ce qu’il avait imaginé. Vous montrer maline ne fera qu’avancer vos jours dans l’antre du diable alors je vous souhaite bonne chance ! -c’est tout ? demanda Astrid comme si elle s’attendait à être libérée même après ses paroles. Elle ne répondit pas et se contenta de la regarder en la couvrant d’un regard chaleureux. Elle se demandait si c’était ce qu’elle voulait croire ou c’était réellement ce que cette dame essayait de lui faire voir. Elle avait échoué avec la seule arme qu’elle avait pour sortir de là et elle ne pouvait plus rien faire si ce n’était d’attendre l’homme qui détenait son destin. Les yeux cols, plongée dans l’obscurité, elle pensait à autre chose lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir. Elle ne se gêna point en se disant que c’était certainement la petite dame qui quittait sa chambre mais seulement, l’odeur neutre de la pièce qui l’aidait à réfléchir fut remplacée par une odeur masculine féroce qui créait un trouble en elle. elle ne comprenait pas comment ça pouvait être possible et ouvrit les yeux. La bouche en forme de « o », les yeux plissés, Astrid était complètement perturbée par le tableau le plus beau qu’elle avait face à elle. un homme du mètre quatre-vingt-quinze, une mâchoire carrée qui donnait une forme parfaite à son visage, la barbe soigneusement taillée et les cheveux bien coiffés, elle croyait être dans un rêve et pas un rêve des anges mais celui des démons parce que l’homme qui la regardait de ses yeux perçants était l’image parfaite de l’enfer vu ses vêtements complètement noirs qui contrastaient avec sa carrure sombre et imposante. Sa chemise boutonnée à moitié laissait son torse à sa découverte et elle se surprit à avaler difficilement sa salive tellement il était à couper le souffle. Elle sentit tout d’un coup son bas-ventre s’enflammer et pourtant ce n’était pas normal. Il était un inconnu et peut-être le maître qui détenait son destin entre ses mains désormais. Le pire était que dans ses yeux, il semblait apprécier son chef d’œuvre.

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