– Afin de pouvoir vous laisser une partie de sa fortune. – Il ne m’a rien laissé, monsieur, car on n’a pas trouvé de testament. – Oh ! pauvre petite, le maréchal a été surpris par l’apoplexie… Allons, espérez, madame, on doit quelque chose à la fille d’un des chevaliers Bayard de l’Empire. Madame Marneffe salua gracieusement, et fut aussi fière de son succès que le baron l’était du sien. – D’où diable vient-elle si matin ? se demanda-t-il en analysant le mouvement onduleux de la robe auquel elle imprimait une grâce peut-être exagérée. Elle a la figure trop fatiguée pour revenir du bain, et son mari l’attend. C’est inexplicable, et cela donne beaucoup à penser. Madame Marneffe une fois rentrée, le baron voulut savoir ce que faisait sa fille dans la boutique. En y entrant, comme il rega