bc

Le diable ne peut pas avoir un cœur II

book_age18+
635
FOLLOW
2.9K
READ
opposites attract
arrogant
goodgirl
CEO
billionairess
bxg
serious
city
slice of life
brutal
like
intro-logo
Blurb

Enfermé entre les quatre murs de la prison, Altaïr essaye de tout faire pour oublier sa femme et sortir vainqueur de ses démons, le seul problème est que cette dernière lui rend visite régulièrement au point que son cœur s’apaise et accepte la situation désastreuse de la prison.

chap-preview
Free preview
1
Altaïr Un an plus tard. Je la regarde se mettre devant moi étant neutre, chaque semaine c’est comme ça, elle vient me rendre vitesse avec un grand sourire comme si la situation n’était pas désastreuse pour moi. Elle sait très bien qu’elle est, mais pourtant, son sourire est toujours là, elle est heures, il y a rien qu’à le regarder pour confirmer mes propos. Elle est vêtu d’un long trench marron avec en dessous un col roulé noir et un jean de la même couleur, avec tout ça des bottes que je n’ai encore jamais vu. Ses longs cheveux noirs sont attachés en cul de cheval, ses yeux vairons me fixent avec un petit sourire qui me détend bizarrement. Perla : Comment tu vas ? Rien. J’ai pas envie qu’elle attende ma voix, je lui ai pas adressé la parole depuis que je suis là alors qu’elle vient chaque fin de semaine me raconte comme c’était pour elle. Elle se lève et s’approche de moi, ses petites mains attrapent mon visage pour que je la regarde, elle pose des lèvres partout sur son visage pendant que mes yeux sont fermés, bien que je fais le dur avec elle, le fait qu’elle me touche à chaque fois que me donne des putains de frissonne et elle le remarque. L’effet qu’elle me donne est trop important sur moi, elle me donne des chaleurs corporelles qui font que j’ai souvent envie de la prendre sur la table. Après s’être emparé de mon visage, ses fesses se posent sur mes cuisses et ses mains prennent les miennes pour les enrouler autour de sa taille, ses mains reprennent mon visage qu’elle fixe. Perla : Est-ce que tu vas bien ? Elle sait très bien que je ne vais pas bien ici, peut-être qu’elle parle de mon mental, chaque semaine elle me demande cette question mais chaque semaine je n’ai pas de réponse. Perla : Olala d’accord tu veux pas me répondre. J’ai envie de la serrer contre moi, elle est déjà assez proche et c’est possible que je b***e après qu’elle parte mais c’est parce que je ne profite pas assez d’elle, elle reste là que 30 minutes, tu n’es pas suffisant pour moi, j’ai besoin de la voir plus souvent, bien plus qu’une fois par semaine. Perla : Si tu t’inquiètes pour l’entreprise, t’inquiète pas, ta mère je sais très bien et je suis là avec elle pour l’aider. Chaque semaine c’est la même phrase, et chaque semaine ça me rassure, je préfère qu’elle me dise ça chaque semaine, au moins moi je sais comment ça se passe là-bas, ça me fait plaisir qu’elle me disait ça. Perla : Baguera aussi va très bien, dommage que je ne peux pas le ramener ici, tu lui me manques beaucoup tu sais ? Elle enroule ses bras autour de ma taille ayant toujours son regard fixe au mien. Perla : Je sais très bien que tu ne vas bien ici, je vais te faire sortir d’ici t’inquiète pas, avec ton avocat on essaye de tout faire, patiente un peu s’il te plaît, juste un tout petit peu. Ça fait déjà un an, ça peut paraître rien, mais pour la personne qui est enfermé à l’intérieur de quatre murs, c’est comme si c’était 10 ans, la première année est la plus dure, c’est là que tu changes l’adaptation de ta vie en une adaptation complètement différente et barbare, c’est là où tu dois te réveiller à une heure précise où dormir à une précise, c’est aussi là où tu dois te toucher à une heure précise et tu t’en sortir de ta cage à 1une heure précise. Tout ça c’est pas fait pour moi, mais je l’ai cherché, maintenant je paye juste les conséquences de mes actes et c’est mérité, je ne vais pas dire le contraire. Ça aurait dû se passer avant que je rencontre cette femme, ça aurait dû se passer avant que je demande à son père de l’épouser, c’est venu au mauvais moment parce que maintenant, elle vient s’occuper de moi 30 minutes de prendre de mes nouvelles, elle devrait pas assister à mon changement, elle devrait rentrer à la maison. Perla : Olala me regarde pas du tout comme ça, tu vas me faire craquer. Elle pose son front contre le mien. Perla : Je t’en prie, attends un peu, c’est compliqué je ne dis pas le contraire mais lâche pas, continue à avoir un bon comportement, ça va favoriser ta sortie d’ici. Comment elle fait ? Je suis dans un état complètement différent de la dernière fois où nous avons fait l’amour, je suis plus le même homme, mon corps a évolué du dans le bon sens si je peux dire ça comme ça, mon regard est devenu plus dur, ma peau est complètement gelée, mes cheveux ont dû être coupé, mon odeur corporelle doit pas être aussi cool que ça et pourtant elle est encore là assise sur moi en train d’essayer de me rassurer. Elle m’aime encore alors que si je l’avais écouté des le début, je ne serai pas là à l’heure d’aujourd’hui, toutes mes merdes se sont retournés sur moi, c’est totalement mérité je ne dis pas le contraire, mais c’est bizarre pour moi, ce n’est pas pour moi, j’aurai encore préféré avoir directement une balle dans la tête qu’être enfermés. Perla : Tu veux bien me dire un mot ? Ça fait un an que je n’ai pas entendu ta voix. Son front se redresse du mien pour qu’elle puisse me regarder dans les yeux, Elle m’avait encore jamais demandé ça avant, la première fois que je n’ai pas voulu répondre à ses questions elle a été choqué mais maintenant elle est habitué. Perla - J’ai envie d’entendre ta voix s’il te plaît, ça fait longtemps que je ne l’ai pas entendu, un an c’est beaucoup que ce soit pour moi ou même pour tout le monde, s’il te plaît, dis-moi quelque chose. Je détourne mon regard pour fuir le sien, qu’est-ce que je dois lui dire maintenant ? Je sais pas moi. Perla : Est-ce que si tu ne me parles plus c’est parce que tu n’as plus de sentiments pour moi ? Cette fois-ci je la regarde dans les yeux, elle n’est pas sérieuse quand elle me pose cette question ? C’est la seule femme que j’arrive à aimer depuis très longtemps, bien que je suis enfermé et que je ne peux pas profiter d’elle comme je le veux, mes sentiments sont toujours là, ils ne sont jamais parti j’espère qu’ils ne partiront jamais. Perla : Si c’est parce que tu n’as plus de sentiments pour moi, tu peux très bien me le dire je l’accepte mais je t’aiderai quand même à sortir d’ici, tu ne dois pas vivre ici, ce n’est pas pour toi. Je sais pas ce que je dois faire, est-ce que je dois le dire ? Ça fait un an qu’elle est derrière moi et qu’elle ne me lâche pas, elle est toujours là quand il le faut c’est pour ça que je dois lui dire tout ce que j’ai sur le cœur, elle le sait déjà parce que je lui ai déjà dit, et ça fait un an que j’ai fait taire mes sentiments pour ne pas craquer mais là elle commence à douter je n’ai pas le choix. Moi : Perla… Ses sourcils se froncent immédiatement avant que son regard s’agrandit, je savais qu’elle allait réagir comme ça, ma voix a totalement changé, on aurait pu dire que je suis un autre homme maintenant sauf qu’il y a une chose qui ne change pas depuis que je suis ici, c’est mes sentiments pour elle. Moi : Je vais bien. Des larmes ont commencés à se voir dans son regard avant qu’une coule tout au long de sa joue, je l’efface puis je la regarde. Perla : Même ta voix a changé, je pensais que j’allais retrouver celle d’avant. Moi : T’aime pas ? Elle ne dit rien pendant quelques secondes. Perla : C’est pas ça je t’assure, mais pour moi je pensais que tu allais garder l’autre fois, je savais même pas qu’on pouvait changer de voix en étant dans une situation désastreuse. Elle embrasse mon front. Perla : Quoi qu’il en soit tu restes toujours mon bébé, je reviendrai toujours te voir même si tu changes complètement, de toute façon tu as déjà changé, mais ça me déplaît pas t’inquiète pas. *elle pose ses mains sur mes cheveux* T’es toujours aussi beau qu’avant, même si tu as perdu tes cheveux parce qu’on te les a rasé, tu es beau tu resteras toujours beau. Elle caresse mes cheveux en souriant. Perla : Tu dois en avoir marre d’être enfermé, comme je te l’ai dit je vais essayer de tout faire, je peux pas te promettre de réussir maintenant mais je vais réussir, heureusement que je fait du droit quand j’étais au Mexique, enfin ce n’est pas du tout pareil qu’ici et tu n’es pas un innocent mais ça va le faire t’inquiète pas. Je suis là pour toi quoi qu’il arrive, ne t’en fais pas. Elle pose ses lèvres sur les miennes sans que je réponde à son baisé, j’ai envie mais je sais très bien que je vais craquer si je ne peux pas la voir entièrement. Quand ses lèvres se décolle, elle me fait un grand sourire. Perla : Je t’avais dit la semaine dernière qu’il y avait des nouveaux employés, et voilà il y en a, il y en a deux, un homme et une femme. Ils sont mariés et avant ils géraient leur propre entreprise sauf qu’ils ont eu un petit problème ce qu’il a fait couler leur entreprise, ils ont à peu près ton âge, ta mère a été ravi de les accepter. Elle touche à mes cernes en même temps que que je regarde ses seins, ils sont cachés mais j’ai vraiment envie de les voir, j’ai besoin de les voir, c’est ma femme et je ne peux même pas profiter d’elle comme j’en ai envie. Je pose juste ma tête dessus et je ferme les yeux, ça prend un certain moment avant qu’elle ne pose sa main sur ma tête pour caresser mes cheveux, elle a raison, je suis complètement son bébé et j’assume. Perla : Je suis désolée de ne pas te donner assez d’amour, je peux pas faire plus que ce que je vais maintenant. On est déjà bien chanceux d’être dans une salle où il n’y a pas un gardien et où on est n’est pas surveillé, je ne suis pas attaché non plus et cette dernière peut me toucher à sa guise, je peux le faire aussi, mais je me retiens beaucoup plus qu’elle. Moi : J’ai besoin de toi, ne me quitte pas. Je ne sais même pas pourquoi et c’est ça qui est sorti de mes lèvres, enfin si, en entrant j’avais peur de la perdre, j’ai toujours peur d’ailleurs, mais je fais du mieux que je peux pour ne pas penser au mal. Perla : T’inquiète pas, je t’abandonne pas je suis là. La porte s’ouvre sur le gardien, je la renifle pour ne pas oublier son odeur corporelle avant qu’elle embrasse le front et se lève de mes jambes. Perla : À la semaine prochaine. Elle me fait un clin d’œil avant de partir, le gardien me regarde en souriant. Gardien : T’as de la chance ça se voit. Moi mon ex ne venait même pas me voir, elle préférait aller b****r des mecs. Moi : C’est une s****e c’est tout. Il me met les menottes en souriant. Gardien : Je sens que tu vas bientôt sortir, c’est obligé. Je lui fais un petit signe de la tête avant qu’il m’amène dans ma cellule, il a peut-être raison, peut-être que je vais bientôt sortir. Altaïr.

editor-pick
Dreame-Editor's pick

bc

La mariée de substitution [Complété]

read
5.6K
bc

Un bébé pour Mia

read
36.9K
bc

Par amour pour toi ( Le destin de Camila et de Juliano)

read
2.8K
bc

Mon garde du corps ( Un peu trop sexy)

read
15.1K
bc

Le contrat

read
35.4K
bc

Proche de L'ennemi

read
4.6K
bc

marié malgré moi

read
6.3K

Scan code to download app

download_iosApp Store
google icon
Google Play
Facebook