chapitre 2

861 Words
N'importe qui peut entrer c’est no limite, a par ma capacité à encaisser… Deux molosses entrent, je commence a faire des petits saut sur place pour me dégourdir, je leur sourie histoire de les taquiner un peu.. Je me prends une droite en plein dans ma face, je l’avais pas vu venir celle là. Le goût de mon sang sur mes lèvres m’excite, et dire que je me plaignais de m’ennuyer, ça m’apprendra a ouvrir ma gueule. Ils attaquent de front pas de technique, juste des coups bien lourds qui font mal, d’autres entre derrière espérant avoir une chance de me mettre le coup de grâce, je les envoie tous au tapis, je maitrise à la perfection les prises militaires et je sais encaisser. Avoir mal c’est ce que j’ai appris en premier. Ne pas ressentir la douleur, concentrer mon énergie sur mes autres sens. C’est ce qui me donne un avantage sur les autres. Bon là je ne vais pas vous mentir sa pu. Quelqu’un a réussi à me ceinturer et un autre en profite pour me frapper. Après quelques coups bien placé j’arrive à prendre appuie avec mon pied sur son genoux et pousse un grand coup dessus. Avec mon autre jambe j’arrive à enlacer son cou entre mes cuisses et tente de l’étrangler . L’autre derrière finie par me lâcher. J’en profite pour basculer mon corps en arrière et envoyé valser le gars entre mes jambes au sol. Je le bloque et lui laisse aucune chance… l’accumulation des coups commence a me rattraper, je suis désorienté, faut que je récupère mon souffle. Putain il en reste combien encore ? Le sang coule sur mon visage j’essuie mes yeux maladroitement. Il y en a un qui vient vers moi, je l’esquive de justesse et le plaque au sol, dans ma folie je commence à lui mettre des coups de tête en plein dans sa gueule, je ne l’ai pas eu au premier mais il a cessé de bouger en tout cas. Ma vision se trouble je ne les vois pas arriver, je me retrouve projeté à terre assailli de coup de pied. Je réussi à choper quelqu’un Un coup de feu en l’air à retenti « Sa suffi stop écartez-vous !! » J’avais déjà arraché l’oreille de celui que je tenais. « Écarte toi connards » « Chef c’est trois là son mort ! » « Emmène celui-là a l’infirmerie » J’entends brièvement de l’agitation autour de moi, je me rends compte que je suis en train de rigoler, je ris tellement fort, il vient du plus profond de moi « ho p****n la branlée que je vous ai mis ! des larmes coulent sur mes joues, alors c’est sa pleurer de rire ? Je suis allongée sur le dos ma tête se tourne sur le côté entre deux gloussements pour voir ce qui ce passe. Qui a tiré ? Je ne reconnais pas cette voix, pourtant il me semble l’avoir déjà entendu, comme un souvenir lointain. Je n'oublie jamais une voix. Ma vision est trouble mais je distingue un garde qui vient vers moi. « c’est qui elle ? » « C’est Savannah monsieur » Monsieur ? Il me paraît jeune et beau… ses yeux… ses yeux… je commence a perdre connaissance. Je me réveille dans ma chambre. J’ai des bleus partout et un mal de tronche phénoménale. Je me regarde dans le miroir. « ça va je m’attendais a pire » Mère nature ma attribué la grâce d’une généreuse paire de seins que je soulève pour m’attarder sur l’étendue des dégâts. Mes yeux marrons ont quelque vaisseau éclaté mais rien d’alarmant et ma lèvre inférieure est fendu. J’ai un gros hématome au front, des souvenirs me reviennent… aux faites on est quand ? J’ouvre la porte de ma chambre et jette un œil dans le couloir. « Pst..pssst…. Hé Will ! C’est l’un des gardiens. Will n’est pas n’importe qui. Disons qu’il me distrait occasionnellement… vous voyez, a un moment on a tous des envies et il m’est interdit de fréquenter qui que ce soit… alors lui est moi on a toujours tout fait pour que sa reste un secret. Pas de sentiments que du sexe, enfin…. Lui je pense qu’il a plus qu’un faible pour moi. « Ca va ma belle ? Il paraît que tu leur as mis une sacré branlait ! (Rire) Comment tu te sens ? » « J’ai la tête en compote !! « Pas étonnant ta carrément défoncer la gueule d’un type avec ! » Il me tend une bouteille d’eau et des antalgiques. Je m’empresse de les prendre, je ne veux pas qu’il ai de problème. « Ça fait combien de temps ? J’ai raté quoi ? » « T’a dormi deux jours, 3 morts 2 grave blessés et ta arraché l’oreille d’un type » Il se tourne vers moi et entre dans ma chambre, me passe un paquet de chips et un gâteau. Il m’attrape le menton et dépose un baisé rapide sur mon œil endoloris. «je vais leur dire que tu es réveillé » Il part. Je ne peux pas lui en vouloir il faut qu’on reste discret.
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