chapitre 11

1199 Words
On se lève on doit re gagner nos chambres. Arrivé à la porte il me retiens le bras et bloque la porte derrière moi « Et sav, y a autre chose que je voudrais te dire…. Il m’embrasse a nouveau et se colle a mon oreille, Je t’aime Je le regarde surprise, je ne sais pas comment réagir « Je ne te demande pas de me répondre, je ne t’en veux pas, je sais que c'est dure pour toi et tu ne seras peut-être jamais prête à me le dire, mais moi… il fallait que tu sache ok. Je l’embrasse sincèrement. On regagne chacun nos quartiers, je n'avais pas besoin de lui dire les mots en retour, dans le fond c’est à lui que je m’étais donné, c’est a lui que je me livrai, c’était mon premier ça signifier forcement quelque chose. Il le savait au fond de lui? Il le sait, pas vrai ? De retour dans ma chambre je ne peux m’empêcher de sourire. C’était la première fois, qu’on me le disait. Mon cœur va sortir de ma poitrine et je souris tellement bêtement que j’en ai mal aux joues. Je me regarde dans le miroir, je les vois, les deux fossettes comme sur la photo. Je m’empresse de la sortir de mon coussin et la colle au miroir pour comparer. J’aimais tellement cette photo, elle avait perdu un peu de sa couleur a force que je passe mes doigts dessus et était un peu froissé, mais c’était mon plus beau trésor. Je fis des petits va et vient visuels entre la photo et mon reflet. « Alors c’était bien ça maman? tu étais heureuse pas vrai… sur cette photo tu es heureuse. » je la décroche et la plaque sur ma poitrine en m’allongent sur le lit, cette idée me remplissait encore plus le cœur, je passais mes doigts sur la partie basse déchiré, qui avait t'il ici, qu’elle partit il manquait, pourquoi était-elle déchirée. Je m’endors comme ça. Je fus réveillé le lendemain par quelqu’un qui tapé à ma porte. Y a des gens qui tape à ma porte ? Sérieux? qu’est-ce qui se passe tout a coup ? « C’est ouvert…. Comme s’il pouvait en être autrement. La porte s’entrouvrit « tu es visible ? « Ça ne t’a pas dérangé hier, dis-je avec aplomb. D’où sort cette assurance matinale ? « Même au saut du lit tu gardes ta reparti. Il rit. Je peux entrer ? « Tu a du café ? dis-je en faisant la moue, il me tend une tasse sans dépasser la porte. Entre, tu n’étais pas aussi poli hier. Kyle entre dans ma chambre avec un sourire et me tend ma tasse. Je m’assoie dans mon petit fauteuil et lui se mit a califourchon sur une chaise. « J’apprends de mes erreurs. Il grimaça en posant sa bouche sur la tasse, c’est la que je remarqua la coupure sur sa lèvre. « Oh c’est moche, laisse-moi regarder, j’approche ma main de son visage, il eut un mouvement de recul. Et dire que c’est moi qu’on traite de sauvage… je souffle, attend j’ai un truc. Je fouille rapidement dans un placard et en sort un désinfectant et une pommade. Je m’approche a nouveau de lui et lui demande comment il c'est fais ça, naturellement, je sais bien que c’est will. J’imprègne un bout de mon tee-shirt et me rapproche plus près de lui. Il recule a nouveau, je lui bloc la tête avec ma main libre « Fait pas ton bébé ! je lui tapote la lèvre avec le désinfectant. J’ouvre la crème, et lui en applique légèrement avec mon petit doigt. « D’où tu sors tous ça ? « Chut ne bouge pas, je n’ai pas fini, je baisse les yeux un peu honteuse, je l’ai pique a l’infirmerie quand elle a le dos tourné. Il me regarde avec amusement. « Belle, rebelle et clepto, ses mains se posent sur mes hanches et il me rapproche de lui. Il renifle mon odeur au-dessus de mon nombril, tu a tous pour me plaire décidément. Oh m***e j’ai la gorge sèche, mais qu’est-ce qui m’arrive bordel. Je me racle la gorge et lui enlève les mains en me reculant, j'entreprends de ranger mes trésors de guerre. « Oui bin tu sais...Jasper n’est pas du genre bienveillant, alors plutôt que de crever comme une conne, de septicémie ou je ne sais quoi, j’ai décidé de me débrouiller autrement. Il arrive a ma auteur et me prend le carton des mains. Il regarde tous ce qui a dedans « C’est qu’il y a de quoi ouvrir une pharmacie là-dedans ! « je vais avoir des problème ? Il repose mon carton ou il était et me prend le visage « Non bébé, ça sera notre petit secret. Il me fais un clin d’œil, je recule d’un pas, reprends ma tasse et me remet dans mon fauteuil. Il appuis ses fesses sur ma table a mangé. « tu ne m’a pas dis, pour ta lèvre. « Hum disons que ton ‘ami’ m'a fais comprendre que je t’avais manqué de respect.. « T’avais promis de ne pas le toucher ! « Hé je n'ai pas commencé regarde ! Il montre sa lèvre et mets ses main en l’air en signe d’innocence. Tu frappes plus fort que lui. Il sourit en me faisant un clin d’œil. N'empêche, que je ne plaisantais pas, il ne doit plus me parler ainsi « peut être que tu ai trop habitué a se qu’on te brosse d’en le sens du poils. « On me respect c’est différents « La sincérité est aussi une forme de respect, tu devrais apprendre a le connaître « Voyez vous ça ? « Je sais pas … je pense juste que quelqu’un qui est capable de te remettre sur le droit chemin quand tu dépasse les bornes, sa n’a rien d’irrespectueux, je trouve que ça pousse l’autre a évolué. « évoluer hein ? Et bien … tu me soigne et m’insulte la minute d’après...que vais-je faire de toi…. Il me regarde d’un air malicieux en tapotant sa tasse du doigt. « Ok disons que j’accepte... un peu, d’honnêteté autour de moi. Il se lèche la lèvre. « Je pourrais toujours te soigner autrement, je lui fais un clin d’œil et me raproche pour lui rendre sa tasse propre. Il me bloque a nouveau la taille. « C’est une proposition ? Crois moi bébé tu frappe bien plus fort que lui « Il y a bien assez de violence ici pour ne pas en rajouter puérilement « Puérilement hein ? Ça fais deux fois que tu m’insulte. Va t’habiller t’es punit. Je sursaute lorsqu’il me fait faire demie tour sur moi-même et me pousse en me donnant une claque au fesse. « Punit ? Je glousse. Attend quoi je glousse sérieux ? « Oui punit, je vais t’apprendre a me respecter, clin d’œil, il ce rapproche et ce tien derrière moi pendant que je change de tee-shirt, il chuchote a mon oreille, n'ai pas peur on va juste courir. Il dépose un baisé léger sur l’arrière de mon crâne. Je t’attends devant les portes blanches.
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