Chapitre 5 : couper les...

1014 Words
MATCHETE Je pilonne numéro 3 à volonté , p****n , que c'est bon ! Après vingt minutes , je jouis et je me repositionne devant la chatte de numéro 4 , je prends ses deux jambes que je mets sur mes épaules avant de commencer le match . Ses seins se balancent au rythme de mes coups . Elle a de très gros seins , comme je les aime . Mais mais se posent dessus pour les pincer . - Hum monsieur....oui..... - Tu la ferme , merde , je ne veux pas t'entendre . - Oui , monsieur ... Actuellement , je suis concentré à visualiser le corps de ma princesse sous moi , et je sais que ce n'est pas comme ça qu'elle va gémir , alors , je ne veux rien entendre . Je veux juste entendre ma princesse gémir dans mes oreilles . Je finis de ba(i)ser mes éléments , je m'habille , dans un polo et un jean , pour aller à cent mètres de mon habitation où j'ai installé une grange . C'est la que je reçois mes prisonniers politiques . Oui , vous avez bien lu : des prisonniers politiques . Ce soir , j'ai à ma possession monsieur le Président de la république et deux de ses ministres . - Bonsoir à vous messieurs . J'espère que vous avez été bien reçu . Anthony , apporte à boire à monsieur le président . Il nous apporte deux verres et un de mes meilleures bouteille de whisky . Je remplis les deux verres et je soulève la mienne : - À notre partenariat monsieur le Président . Vous devez vous demander pourquoi je vous ai invité chez moi ? C'est très simple : j'ai remarqué depuis un moment des campagnes de lutte contre les gangs et la vente de stupéfiants . Alors je vous ai invité pour qu'on en parle. Qu'est-ce vous en dites ? - Je ne fait pas cela contre vous . C'est la nouvelle politique demandée par les Etats Unis pour une collaboration efficace entre nos deux pays . - Je vois . Et vous qu'en pensez-vous ? - Je dois donner le change . Je me lève pour marcher un peu , lui mettant plus la pression en faisant sortir mes de petits compagnons de tous les jours . Ces deux couteaux m'accompagnent depuis des années . Ils sont mes plus proches amis . Je me confie plus à eux qu'à quelqu'un d'autre . - Comme tu le vois , j'ai convié à notre réunion deux de tes ministres . Nous allons jouer à un jeu . Un jeu très amusant . Je joue avec mes deux deux couteaux , ce qui fait un bruit assez effrayant vu le personnage . - Bon voilà le jeu : Tu tue le premier et moi j'en fait de même pour le deuxième et tout ça sera filmé pour que je puisse le garder comme preuve . Ses yeux s'agrandissent de frayeur , je suis sûr qu'il n'a jamais tué quelqu'un . Je lui tend l'un des couteaux , sa main tremble tellement que le couteau tombe par terre . Je m' abaisse pour le ramasser. - Si Tu ne le fais pas , c'est ta famille qui je vais éventrer devant toi . Alors , je te laisse deux minutes de réflexion : Tu le tue ou je tue ta famille ? - Je vais le faire . Ne faites pas de mal à ma famille . - Très bien pour te donner du courage , je vais commencer et tu verras comment faire . - D'accord monsieur . - Non , pas de monsieur entre nous . Pour toi , c'est MATCHETE répète ! - J'ai compris MATCHETE . Je prends un autre couteau dans ma poche , je le déplie et je m'avance vers la chaise à sa droite où est attachée son ministre de la sécurité . Avec le couteau , je déchire ses vêtements , une fois , qu'il se retrouve nu , je déchire lentement sa cuisse droite , il hurle de douleur . J'aime entendre ces cris , les cris de mes victimes . Leurs cris est comme une libération pour moi . C'est comme les cris que je n'ai jamais pu lâcher . Ensuite , je passe à l'autre cuisses . Je mets le couteau dans les muscles , je me demande si on peut appeler celà musclé , sa cuisse en tellement moue comme celle d'une femme . Une fois le couteau dans la chaire , j'appuie fortement , pour qu'il ressent bien le passage de mon couteau . Il hurle encore : - Haaaaa..... je vous en supplie .... pardonne-moi.... je veux vivre . Je regarde , le président , qui pleure silencieusement , il n'ose pas regarder son collaborateur en face . - Monsieur le président , vous devez m'assister , mais , vous ne regardez même pas ce que je fais . Comment voulez-vous apprendre ? Monsieur le ministre , combien d'enfants avez-vous ? - Monsieur pardon , ne me tuez pas . - Combien d'enfants avez-vous ? - Je ... j'ai....je .. vais compter . - D'accord , vous pouvez compter . Je le vois compter dans sa tête et puis , il me réponds : - j'ai sept enfants monsieur . - Ça fait beaucoup d'enfants . Ils sont de la même femme ? - Non , monsieur , trois femmes différentes . - Vous n'avez pas chômé , je dirais . Je viens d'avoir une idée , j'ai un marché à te proposer : tu peux rester en vie à cause de tes enfants à une condition : je te coupe les couilles . - Quoi ? vous.... vous.... - Vous pouvez dire le mot : couper . alors ? quel est votre décision ? Vivre ou mourir ? de toutes les manières , vous avez déjà des enfants, alors je pense que le calcul est fait . la seule chose que vous ne pouvez plus faire est de ba(i)ser .
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