– Taisez-vous donc ! cria la sage-femme. – Ah ! quand vous l’empêcherez de se miner, par exemple ! dit Coupeau la bouche pleine. Si vous n’étiez pas là, je parie qu’elle se lèverait pour me couper mon pain... Tiens-toi donc sur le dos, grosse dinde ! Faut pas te démolir, autrement tu en as pour quinze jours à te remettre sur tes pattes... Il est très bon, ton ragoût. Madame va en manger avec moi. N’est-ce pas, madame ? La sage-femme refusa ; mais elle voulut bien boire un verre de vin, parce que ça l’avait émotionnée, disait-elle, de trouver la malheureuse femme avec le bébé sur le paillasson. Coupeau partit enfin, pour annoncer la nouvelle à la famille. Une demi-heure plus tard, il revint avec tout le monde, maman Coupeau, les Lorilleux, Mme Lerat, qu’il avait justement rencontrée chez