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4018 Words
Chapitre 7 :  Sur le coup je me mets à pleurer, car je me sentais non seulement comme une m***e mais il était tard pour prendre un train pour rentrer chez moi et je n'avais aucun moyen de payer un hôtel pour la nuit et même un taxi pour m'y rendre. Ni mon téléphone pour voir si un de mes contacts connaissait quelqu'un qui pouvait m'héberger jusqu'à demain et l'idée de refaire toutes mes pièces que contenaient mon porte-monnaie, ainsi que ma carte de crédit dans les mains d'un malfrat qui avait le temps de l'utiliser etc. Ça faisait bcp sur le coup. Je m'assis sur un banc et j'ai pleuré tout en me lamentant.  Voix au dessus de moi: mademoiselle, vous allez bien ? Je bouge la tête pour dire non Lui: que vous arrive t-il ?  Je pleure encore plus J'entends des mouvements de sac puis d'un paquet et il me tendit un mouchoir  Lui: tenez Je le pris mais ne l'utilisa pas, je ne fis que pleurer  Lui: dans quelle mesure je peux vous aidez ? J'ai enfin levé ma tête et il s'agissait d'un jeune homme, le bleu de ses yeux me frappa direct car on aurait dit l'océan.  Moi(j'utilise enfin son mouchoir): je me suis faite voler portable et porte-feuille Lui(en faisant la grimace): ouch Moi; je vis sur Lyon, et je suis bloquée à Paris sans possibilité de rentrer chez moi et même de contacter l'amis que je suis voir Lui(il sortir son portable): vous avez son numéro, on va le contacter pour le prévenir que vous êtes arrivée mais que .... Moi(le coupant): il sait pas que j'arrive, c'était censé être une surprise qui se transforme en cauchemar total pour moi et pour répondre à votre question, non je ne l'ai pas mémorisé Lui: hummm c'est pas grave, vous savez où il vit ?  Je dis oui de la tête, ensuite Moi: eh merde.... Son adresse était enregistré dans mon portable ! Lui non plus je ne l'avais pas enregistré et comme je ne suis pas du coin ben pas facile. p****n ! Je suis dans la merde J'ai les larmes qui me montent encore Lui: du calme... du calme, ne vous affolez pas, il y a une solution à tout problème et de toutes les façons, je ne vais pas vous laissez tomber.  Moi: sniiiiiiffff Lui: je peux vous prendre un hôtel pour dormir cette nuit et vous prendre le prochain train pour Lyon aussi.  Son geste m'a tellement secouée que je me suis arrêtée de pleurer  Moi: vous feriez ça ? Lui: oui, bien sûr. Comme je le disais, je vais pas vous abandonner comme ça Moi: alors que vous ne me connaissez pas ? Lui: si j'étais dans votre situation j'aurais aimé qu'on me vienne en aide, alors (il hausse les épaules tout sourire- il eut des fossettes qui apparaissèrent-): dite vous simplement que je suis votre bon samaritain  Moi: vous ne connaissez même pas mon prénom Lui(en tendant sa main): Moi c'est Maxime et vous ? Maxime Milieu  Moi(tout sourire): bonsoir Elle(sèche): hum, oui, bonsoir C'est la troisième fois que je la rencontrais dans l'ascenseur mais malgré ma cordialité, elle me répondait toujours avec condescendance et parfois sans m'accorder un regard.  Mais qu'est-ce que je la trouvais jolie. Elle devait avoir dans les un mètre soixante-quinze par là, un teint ébène magnifique et une cambrure à en faire pâlir plus d'un.  Pendant les dix secondes que nous passions dans l'ascenseur, lorsque celui-ci s'ouvrait, elle se précipitait de sortir, comme ci ma présence l'indisposait pendant la montée. Son attitude ne m'offusquait pas. Lorsque je rentrais chez moi, j'étais ravie d'avoir pu la croiser et priais chaque soir en rentrant du boulot de pouvoir la revoir le lendemain.  Ce soir, arrivé dans mon 60 mètre carré, après une autre journée harassante au boulot. Je pris ma douche et direction les fourneaux. J'aimais faire la cuisine et c'était mon petit plaisir quotidien même si je rentrais chez moi épuisé. Je me cuisinais toujours quelque chose.  La seule fois où je mangeais des plats or que ceux cuisinés par moi-même, c'était quand j'allais au restaurant en famille ou avec des amis. Je ne me rappelle même plus la dernière fois que j'ai commandé une pizza chez un restaurateur. Ceci dit, ce soir c'est feuilleté aux anchois et olive.  Je suis Maxime Milieu, 32 ans originaire de Brest et installée en île de France depuis dix ans maintenant. Unique enfant de Charles et Cathérine Milieu, tous deux résidents en Bretagne. Je suis actuellement Supply Chain Manager à Danone  dans le 91, je travaille dans cette boîte depuis 8ans. Rentré en tant que stagiaire aujourd'hui j'ai en charge trois services afin d'assurer l'acheminent de nos produits dans différents points.  C'est un boulot qui me passionne même s'il est très prenant et m'empêche d'avoir une relation de couple sérieuse compte tenu de mes horaires et que je passe le plus claire de mon temps, y compris les week-end sur ma tablette et à être disponible en cas de pépin.  Ma dernière longue relation date de mes années universitaires. Fin de cycle de mon BTS transport et prestation logistique, il y avait une fille : Mélanie qui était mon crush depuis la première année. Après l'obtention de nos diplômes, elle m'avait fait une demande d'ami sur f*******: et tout est partie de là. Nous nous sommes mis en couple très rapidement et notre idylle est allée jusqu'en master 1.  Puis on a cassé. Je n'ai pas retrouvé l'amour au fil des ans, je n'eus que des histoires de courte et très courte durée. Quand je suis allée en Australie pour mon année sabbatique pris afin de perfectionner mon anglais professionnel, J'ai rencontré Carmen, une australienne de 4 ans ma cadette mais avec une expérience sexuelle plus avancée que la mienne.  En effet, c'est grâce à elle que j'ai découvert l'univers b**m et elle m'initia à cette pratique où elle était la dominante et moi le dominé. J'avoue que dès mon retour en France, je me suis inscrit sur des site de rencontre pour n'avoir que ce genre de relation. Au moins ça me permettait d'être actif sexuellement à défaut de ne pas avoir d'amoureuse.  Pour l'instant, j'ai mis ça de côté depuis quelque temps car je cherche activement  à passer de manager à directeur Supply Chain et cela demande des sacrifices comme se focaliser uniquement sur le travail. Pour mes besoins sexuels, je me débrouille avec ma mains devant un porno.  >>>>>  C'est vendredi, j'ai terminé de faire la vaisselle après avoir fait la cuisine et avant de m'attabler, je décide de sortir les poubelles et qui je trouve sous le palier de sa porte en sortant de chez moi ?  Dame perfection .... Nos regards se croisent, le tien est plus intense mais de dit rien. Du moins pas à moi mais à l'interlocuteur qu'elle avait au bout de fil. Je prends la gauche, appel l'ascenseur y monte. Va au « 0 » et deux minutes plus tard quand je sors de l'ascenseur qui s'ouvrit sur mon étage, j'entendis .  Elle: bonsoir  Je suis un peu surpris qu'elle s'adresse à moi du coup je ne réponds pas de suite avant de réaliser par son expression que je n'avais toujours pas répondu au bout de 5 secondes Moi: bonsoir, euh.... Désolé, j'étais entrain de me demander si vous me parliez bien à moi.  Elle(souriante): mais à qui d'autre voudriez-vous que je m'adresse ? nous ne sommes que deux présentement  Moi: je dis ça parce qu'à chaque fois que l'on se croise dans l'ascenseur vous fête une tête d'enterrement quand je vous salue Elle: ha ça... c'est surement parce que c'était un mauvais Moi: dur.... Ça du être trois mauvais jours de suite alors.  Elle: on va dire ça comme ça. Dite c'est chez vous que ça sent aussi bon ? Moi: euh oui ? Elle: vous avez commandé quoi comme ça ? Ça sent super bon ? Moi: rien. C'est un gratin de pomme de terre et pillons de poulet fait maison by me. Elle: vous ?  vous..... avez cuisiné ?  J'acquiesce  Elle: Depuis quand les blancs savent cuisiner ? Et du poulet en plus ? Moi: gros cliché là mademoiselle mais je vais répondre ceci : depuis certainement le jour où les noires ont commencé à construire des maisons en brique et plus en terre cuites  Elle: MAIS C'EST GRAVE r*****e CE QUE VOUS VENEZ DE DIRE..... Ma phrase ne l'avait clairement pas fait rire. Moi: c'était pour vous montrez l'absurdité de votre phrase d'une part et essayer de vous faire rire avec la mienne. Elle: donc en plus d'être r*****e vous l'assumez et me manquez de respect ? Moi(bégayant): non, non.... Je ne suis pas r*****e et je ne voulais pas .... Vous ne m'avez pas.....Bon.... euh... désolé si mes propos vous ont offusquée, je suis (déposant une main sur ma poitrine) sincèrement désolé, c'était pas très judicieux comme réplique ! Ce que je voulais dire c'est que c'est pas parce qu'on est blanc qu'on ne sait pas cuisiner. Et que le poulet n'est pas réservé qu'à une communauté ! C'est d'ailleurs r*****e de penser ça. Et je ne me permettrai jamais de dénigrer quelqu'un comme vous Elle(se rapprochant de moi): quelqu'un comme moi ? Merde.... Tu t'enfonce là Maxime Moi: euh....enfin...ce que...(elle avançait toujours vers moi) ce que je veux dire... ou du moins voulait dire.....(elle était à quelque centimètre) c'est que Elle(avec une voix suave): c'est que ? Moi: c'est que le poulet c'est bon ! Et pour tout le monde.  On se regarde dans le blanc des yeux, elle plie ses lèvres puis éclate de rire et moi avec.  Elle: j'ai envie d'y goûter, ça vous dérange si je me joins à vous ce soir pour qu'on dîne ensemble ?  Moi: euh... non pas du tout ! Elle: super ! J'arrive tout de suite Sans attendre ma réponse, elle tourna les talons et rentra chez elle, je suis resté, genre quoi, 10 seconde en mode mon cerveau analysait ce qui venait de se passer puis c'est tout sourire que je suis partie de mon côté dans mon appartement en laissant la porte ouverte afin qu'elle rentre.  Je me suis dépêché de dresser la table pour deux en gardant toujours cette banane. Je dois dire que j'étais extasié à l'idée de recevoir cette déesse chez moi, un vendredi soir. Je ne me fessais pas de faux espoirs, je savais pertinemment qu'il ne se passera rien entre elle et moi ce soir, mais le fait qu'elle m'ait parler et propose de dîner avec moi était la preuve que je l'intéressais un temps soit peu.  >>>>> Elle(en califourchon sur moi dans mon canapé): t'a une bonne haleine.... Pour un blanc  Elle m'embrassa encore plus langoureusement  Moi(mains posées sur ses fesses de rêve): c'est donc bien ma veine ! Elle(contre mes lèvres): oui On s'embrassa, puis elle alla planter ses dents dans mon cou, caressant mon torse puis caressa mon pénis, ensuite mes burnes. J'aimais la façon dont elle s'emparait de moi, de mon corps, la façon dont elle me touchait et le plaisir qu'elle prenait également.  Elle: tu as des préservatifs ? Moi(surpris par sa demande): tu es sûre de vouloir aller si loin ?  Elle pouffe en ayant un sourire mutin  Elle: de un tu ne réponds pas à ma question et de deux si je ne l'étais, je ne serais pas en train de te s***r (elle mis ma verge dans sa bouche un coup puis) alors t'en a ?  Moi(grave excitée): oui Elle: ben va les chercher ! j'ai adoré la façon qu'elle m'intima d'aller les chercher. On aurait dit un ordre. Un ordre que donnerai une maîtresse à son dominé.  Je me précipite dans la chambre, les récupère et quand je reviens au salon, Jasmine était nue. Son corps était une pure merveille pour les yeux et je me faisais un plaisir de pouvoir gouter : ses seins, fesses et entrejambe.  Elle(avec autorité): tu vas continuer à t'astiquer la queue devant moi comme ça ou tu t'emmènes et me démonte comme jamais ? Moi: tout ce que vous voulez maîtresse ! Son regard s'illumina instantanément et rajouta Elle: je veux que tu rampes jusqu'ici avec.  >>>> Tout était partie de là. J'étais son dominé, elle faisait de moi ce qu'elle voulait et comme elle voulait. C'était le contrat et comme tout contrat il y avait des règles à ne pas déroger. La sienne était que je ne tombe pas amoureux et que je n'imagine pas que ce contrat se transformerai en relation amoureuse car elle ne sortirai jamais avec un blanc. Je ne compte plus le nombre de fois où elle m'avait appelé « blanc » au lieu de Maxime. Moi de mon côté, je lui permettais tout ce que bon lui semblait mais uniquement dans ce cadre, au lieu et au moment de nos ébats. En dehors, je n'étais plus son chien à tout faire mais Maxime.  Le premier mois fut difficile car en dépit du fait que je prenais bcp de plaisir avec elle parce que son rôle, elle le jouait à la perfection mais ses débordements me poussaient souvent à vouloir tout arrêté avec elle.  Jasmine avait un vrai caractère de cochon et bien trempé et quoi que je fasse et dise c'était toujours :  Maxime-le-blanc-descendant-de-colons contre Jasmine-la-noire-et-très-fière-de-l'être-descendante-d'esclave Mais voilà, Jasmine était aussi et surtout un super bon coup, une dominante hors paire, j'aimais lui f***********r, sa moiteur avant et arrière étaient exquises et jouissives, elle savait s'occuper de ma prostate comme Carmen avant elle, elle utilisait un je-ne-sais-trop-quoi et « secret de femme africaine » pour mes fellations qui m'emmenait littéralement dans une autre dimension.  Bref, Jasmine soufflait le chaud et le froid en même temps. Difficile parfois de s'y retrouver car quand elle me soûlait après une prise bec, il suffisait que je la vois nue pour tout oublié et entre ses cuisses je décompressais tellement qu'il m'était difficile de tout arrêté.  Surtout que depuis quelque temps je pense à elle en tout temps et pas que sexuellement. Cela fait maintenant huit mois que nous sommes amants et j'ai envie de la connaître plus. Mais bon, la connaissant va falloir que j'y aille avec pincette sinon c'est à mes risques et périls.  >>>>>>  Elle: tu es blanc et tu sais la haine que je vous à ton espèce. Alors oui tu es mon sextoy et oui je te le dis pour te blesser au nom de plus de 400 ans d'esclavage que tes ancêtres on fait subir aux miens. Donc ne fais pas ton dur, tu sais comment ça se passe. Tu es le dominé et moi la dominante. Je te rabaisse, t'humilie, etc et toi tu acceptes car tu aimes ça et ce soir j'ai particulièrement envie de commander vois-tu. Alors  ferme-là maintenant, prends ton rôle au sérieux comme à chaque fois et b*****s-nous vivant ! Hors de moi  Moi: STOP ! Je ne sais pas pourquoi tu es dans un état pareil et ça m'est égale mais par contre tu n'es pas bandante et je n'ai pas envie de baisé ce soir, alors bonne soirée. Rentre chez toi maintenant. Elle: seriously ? Vous vous êtes donné le mot pour me casser les ovaires ce soir ou quoi ? Moi(à bout): je ne sais pas de quoi tu parles, mais par contre, j'ai horreur que tu t'adresses à moi sur ce ton. Je ne suis pas ton chien Elle: tu es un dominé, mon dominé et c'est tout comme, tu aimes ça en plus. Elle tente de me toucher mais je stop son élan avant que sa main n'arrive sur mon visage en rajoutant Moi: quand on est dans un jeu de rôle, oui, mais là ce n'es pas le cas. Et lorsqu'on est pas entrain de b****r, je t'ai déjà dis de me parler sur un autre ton car je ne suis pas ton chien, je le répète.  Elle: à part quand je t'ordonne de bouffer ma chatte ou de me prendre par derrière hein ?! Moi(agacé): bon ça suffit comme ça, tu dégages de chez moi Elle(insistante): alleuuuu maxime ! Ça va là, cesse de jouer au sainte nitouche. Je sais que t'en a envie.  Elle était en sous-vêtement  Moi(ferme): je t'ai dis NON, alors tu ramasses tes fringues et tu fous le camp de chez moi.  Elle(jouant les têtue comme à son habitude): Je ne bouge pas d'un iota  Moi(lasse): ok, dans ce cas .... J'ai ramassé ses effets au sol, les lui ai remis Moi(énervé et à bout): est-ce que là c'est assez clair pour toi ? Elle: Maxime, tu es sérieux là ? Moi: l'accord c'était qu'on b***e quand toi et moi on en a envie et surtout pas quand tu es de mauvais poil ou quand moi j'ai sommeil et que je n'ai pas envie de te fourrer. Alors maintenant déguerpi le planché, bonne nuit ! Après l'avoir mis hors de mon salon j'ai refermé ma porte d'entrée.  Moi(me tenant l'arrêt du nez): elle n'est pas croyable cette fille vraiment pas. Je passe la main sur mon crâne,  Moi: et quand je pense que je suis amoureuse d'une dingue pareil. >>>>> un mois plus tard   J'avais rendez-vous chez mon dentiste aujourd'hui, à cause de mes horaires de travail, il dût garder son cabinet ouvert pour moi jusqu'à 22h. Pour m'y rendre je passai par la gare de Lyon, alors pour rentrer chez moi, je fis le chemin inverse mais voilà que j'aperçois une femme en détresse totale.  Moi: si j'étais dans votre situation j'aurais aimé qu'on me vienne en aide, alors (il hausse les épaules tout sourire- il eut des fossettes qui apparaissèrent-): dite vous simplement que je suis votre bon samaritain  Elle: vous ne connaissez même pas mon prénom Moi(en tendant sa main): Moi c'est Maxime et vous ? Elle regarde ma main, puis mon visage et réponds  Elle: Cydonie.... Je m'appelle Cydonie Moi: alors Cydonie, ça te va ce que je te propose ? Cydonie: ça me gêne tellement mais je n'ai pas d'autre choix que d'accepter.  Je souris simplement à sa phrase et rajoute Moi: et si on y allait ? Elle(se mouchant): ok .... Je l'aide à se lever, prends sa valise et  Moi: commençons par sortir de la gare  Ce qu'on fait et je vais sur le web pour trouver des hôtels dans les environs afin qu'elle puisse rattraper un train demain matin, mais c'est la galère et les prix des chambres que je trouve sont juste exorbitants mais en concordance avec le coin. Nous sommes dans le 12 ème avec à côté l'une des plus grande gare de Paris.   Moi: bon on va commencer par te trouver un train pour demain matin, plus judicieux.  Et là encore c'est galère, pas de trains disponibles avant 12h Elle: je peux prendre un blablacar, ça te reviendrait moins cher Moi(levant la tête de mon téléphone): sûrement mais avec ce que tu viens de vivre, je ne crois pas que prendre la route avec des inconnus qui vont vouloir taper la causette serait bien pour ton morale. Elle: Moi: Mieux vaut, un train direct. Tu arrives chez toi et à tête reposée t'occuper de .... Mais maintenant que j'y pense, on a certainement volé tes affaires dans le train Elle: c'est certain car en montant dans le train qui me conduisait ici, j'avais mon portable et mon porte-monnaie.  Moi: donc va falloir aller en agence SNCF pour connaitre les démarches à suivre lorsqu'on se fait voler dans leurs wagon Cydonie: c'est vrai Moi: après est-ce que tu le fais ici ou à Lyon ? Elle: franchement je sais rien Moi: du coup demain matin, mieux vaut te rendre en agence ici, ils répondront à cette interrogation.  Elle: oui Puis elle a baillé, s'est grattée les yeux. Elle était exténuée, ça se voyait.  Moi: bon, sans te mentir, les prix des hôtels dans le coin sont assez chers Elle: je m'en doutais un peu Moi: ça te dérange si je prends un peu loin de la gare ? Cydonie: Maxime, franchement je ne vais pas jouer la fini bouche, tu m'aides déjà bcp dans cette m***e, alors fait au mieux. On se sourit, puis je replonge le nez dans mon tel sauf que malheureusement, pour cette nuit je ne trouvais pas de chambre simple et disponible à rendre demain avant 12h en dehors des suites.... Moi: décidément ! Elle: en même temps c'est le week-end Moi: tout à fait..... bon ça commence à bien faire aussi ..... je range mon téléphone dans la poche et prends sa valise  Moi: on y va chez moi, tu dormiras dans mon appartement  Cydonie(bloquant sa valise dans mes mains): nooooN franchement non Maxime ! Là c'est trop je peux pas accepter Moi: ben, comment tu vas faire alors ? Cydonie: prends-moi même un motel au fin fond de paris, c'est pas grave ! C'est bien assez ce que tu fais, je vais pas non plus te déranger dans ton chez toi !  Moi: ça c'est à moi d'en décider et devine quoi ? c'est tout fait ! Allez viens on y vas.... Ha tient (je récupère mon téléphone dans la poche) on va rentrer en Uber.  Elle ne répondit pas et se mit à sangloter  Cydonie: sniiffff..... sniffff..... snifff..... Je l'ai prise dans mes bras et elle s'est accrochée à mon épaule comme une bouée de sauvetage. J'avais l'impression qu'elle ne pleurait pas seulement à cause de la situation mais qu'elle en avait gros sur le coeur à cause d'un autre problème peut-être. Moi: tout va s'aranger.... Elle: si seulement.... Si seulement  Moi: ne sois pas aussi pessimiste, tu sais bien qu'après la pluie le beau Elle: peut-être pas dans cette situation  Moi: tout dépend de comment tu l'abordes Elle: j'ai essayé de l'aborder au mieux afin de régler la situation voilà pourquoi je me retrouve ici à Paris mais rien ne se passe comme je l'avais imaginé. On me vole portable et porte-monnaie, impossible de retourner sur Lyon car étant bloquée à Paris Moi: mais regarde néanmoins le bon coté des choses car ça aurait pu être pire Elle: surtout si tu n'avais pas croisé mon chemin Moi: l'essentiel soit que tu dormes au chaud et rentres chez toi demain matin. Pense à ça et demain tu te soucieras du reste. >>>> Une heure plus tard.  On arrive enfin à la maison. On descend du uber, rentre dans l'immeuble puis ascenseur et enfin devant ma porte.  Moi(après l'avoir ouvert):après toi, je t'en prie  Elle rentre et alors que de mon côté je fais de même j'entends dans mon dos Jasmine: et surtout bonne nuit à vous deux ! Je me tourne, elle se tenait devant sa porte au moment où je voulais ouvrir la bouche, elle claqua sa porte. Cydonie(dans mon appartement): je veux déranger personne.... C'est ta .... Moi(la coupant): t'inquiète pas.... Vas'y installe toi  Je suis rentré à mon tour, ai fermé aussi ma porte à double tour.  Moi: j'imagine que tu as tes effets dans ta valise comme serviette, brosse à dent et pyjama ? Elle: brosse à dent et serviette oui mais pyjama non ! Moi: je te passe un t-shirt ?  Elle opine de la tête Moi: ok, je vais changer les draps de mon lit pour que tu sois le plus à l'aise possible. Ainsi je te laisse la chambre, la chance c'est que la salle de bain s'y trouve alors tu peux te laver et dormir directement ! Elle: je sais même pas quoi te dire ! Ton hospitalité est à la hauteur de ta gentillesse  Moi: merci pour tes mots.... Bon je vais te préparer la chambre.  J'y vais.... Je lui sors un de mes t-shirt avec une culotte propres. Change les draps, m'assure que la salle de douche soit propre et quand je reviens au salon je la trouva dans la même position qu'en partant. Debout à côté de la cuisine. Elle me fit de la peine ainsi. Moi(tout sourire): tu as mangé pour ce soir ?  A suivre.....
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