Partie 03/ 04 : Nouvelles connaissances ! Rencontre inattendue

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Quelques jour plus tard. Cherif, Aïcha et Mariam se fréquentent de plus en plus. On peut dire que Cherif commence à se faire des amies. Cherif : je ne vous ai pas encore remercié de m'avoir défendu l'autre jour, contre le groupe de Rama. - ce n'est pas la peine. Disent-elles à l'unisson. Aïcha, consciente que Mariam a le béguin pour Cherif reste toujours en retrait pour leur laisser un peu d'espace. Mariam : alors cherif, comment tu trouves Labe par rapport à Conakry ? Cherif : du point de vue études, je ne trouve aucune différence. Mais, je t'avoue que Conakry me manque. Surtout mes sorties avec les potes. Les journées à la plage.... . Mais bon, ainsi va la vie. Je suis là et j'ai hâte de découvrir les profondeurs de cette ville. Aïcha : dit chérif, regrettes-tu d'être là ? Cherif : bien sûr que non. J'ai eu la chance de faire connaissance avec des jolies princesses. ( fixant Mariame ). Alors, je n'ai rien à regretter. Aïcha : tant mieux, je vous laisse j'ai des trucs à faire. Mariam : d'accord, chérie à plus. Mariam et cherif continuent la route. Arrivé à un certain niveau, le téléphone de Mariam sonna, et à l'écran c'était écrit "mon amour ". Elle laisse sonner. Cherif : tu ne réponds pas ? Mariam : non, ce n'est pas urgent je le rappellerai plus tard. Cherif : d'accord, de toute façon je dois aller à la gym. Il est l'heure de prendre un peu de muscle. Ce qui fit rire mariam. Elle accepte et fais un câlin d'aurevoir à son nouvel ami. A la maison, Mariam rappelle le numéro qu'elle avait rejeté. - salut Mouctar, mon amour. Dit-elle. Mouctar : salut chérie. Pourquoi tu n'as pas répondu lorsque je t'avais écrit ou appeler ? Mariam : mon téléphone était sur silencieux. Je viens de voir ton appel manqué. Bref tu ne m'as pas appelé pour ça. Dit moi comment tu vis à Conakry ? Mouctar : oh mon amour, tu me manque tellement. Je ne pensais pas que je t'aimais à ce point. Mais, crois moi je n'arrive même pas à me concentrer sur les cours. Toutes mes idées sont orientés vers toi. J'aimerai que tout le temps tu me parles ou qu'on s'écrit. Je ne peux rester sans te parler mon cœur. Tu es si important. Mariam : mon chéri, c'est tellement triste et trop mignon. Mais surtout ne blague pas avec les études. Sache que je t'ai à l'oeil, ne pense même pas à me remplacer. Mouctar : toi-même tu sais, tu es irremplaçable dans mon cœur. Mariam : assez bavarder. Je te laisse, je dois me reposer. Bay mon joli, passe une bonne journée. Je t'aime. Mouctar : d'accord, bay bisous. Je t'aime. Aliou et Rama s'étaient donnez rendez-vous au café du quartier. Rama : alors, quel sera notre premier coup contre ses deux misérables ? Aliou : j'y ai réfléchi toute la journée. Je pense qu'elles sont un peu attachées au nouveau. Si tu faisais ton petit numéro pour le séduire. Histoire qu'il se range de notre côté. Rama : quoi ? Comment peux-tu me demander ça ? Alors, que je n'ai d'yeux que pour un seul mec. Oui un seul ( affichant un sourire ). Aliou : quoi ? Donc toi aussi tu es amoureuse ? Waouh ! Qui est l'heureux élu ? Rama : c'est une histoire ancienne. Oublie ça, de toute façon il ne sera pas à moi. Il est déjà en couple. Quand vais-je séduire ce minable ? Parceque je ne le ferai pas au lycée. ( changeant de sujet ). Aliou : j'ai déjà réfléchi à ça. Je prévois d'organiser une petite fête chez moi. Le week-end prochain, mes parents ne seront pas là. Ibra : hum, et comment comptes-tu faire, pour que cherif et ses amies acceptent de venir à ta soirée ? Aliou : ( entourant sa main sur l'épaule de son ami ), c'est là que tu entres en jeu. Ma première rencontre avec cherif, tu n'étais pas présent. Alors, demain tu vas faire en sorte qu'il soit ton pote. La suite nous verrons. Mais elle sera diaboliquement excitante. ( affichant un sourire narquois ). Que prévoit Aliou ? Que pensez de comportement de Mariam ............ Vous avez un nouveau message, sonna le téléphone de Aïcha . Elle ouvre le message. " bonjour mon amour. Bien que tu ne m'as jamais répondu, je continue à espérer. Je ne peux m'empêcher de t'écrire, tu occupes toutes mes pensées. Bref, j'espère que tu t'es bien réveillée ? Sache que, j'essaie de ne plus t'écrire mais,... mais je n'y arrive pas. C'est plus fort que moi. Quand vas tu enfin me répondre ? Je suis là et j'attends ce jour." Aïcha : encore lui. C'est pas possible. Dieu seul sais qui est-ce et comment il a eu mon numéro ? Aujourd'hui, c'est un dimanche. Après les travaux ménagers, Aicha se rend en ville pour acheter les condiments pour la cuisson. Comme c'était prévu, Ibra devait faire de Cherif son ami. Alors, après plusieurs enquêtes, il a su que ce dernier se rend régulièrement à la gym. Il décida de lui attendre là-bas. Cherif : ( rentrant dans la salle ). Alors, aujourd'hui, cette salle est pleine. Je ne peux attendre tout ce monde pour faire de l'exercice. Je vais attendre demain. Ibra qui lui observait décide d'agir. - hé mec, vient occuper mon siège. Ça fait un moment que je suis là. Entraine toi un peu toi aussi. Dit-il avec un sourire aux lèvres. Cherif : oh, vraiment merci. Moi aussi, je dois vite m'entraîner pour aller ensuite en ville. Ibra : de rien. C'est entre potes. Cherif : ben, mais je te vois pas ici souvent. Oubien tu ne viens que pendant les weekend ? Ibra : non, suis régulier ici. Peut-être qu'on ne vient pas pendant les mêmes heures. Cherif : ah je vois. Je me présente mon nom est cherif. ( tendant sa main ). Ibra : je suis Ibrahim mais tu peux m'appeler ibra. ( tendant également sa main ). Chérif : ravi de faire ta connaissance. Je viens de déménager dans cette ville et jai pas beaucoup d'amis. Je serai vraiment ravi, si on se fréquente histoire que tu me montre les coins de la ville. Ibra : d'accord pas de souci. Voici mon contact, tu peux me joindre à tout moment. Tu m'excuses je dois aller. J'attends ton appel ce soir. Cherif : d'accord ibra. On se dit à la prochaine alors. Chez la famille de mariam. Son père vient de revenir de la Chine. Toute la famille est heureuse. Son père qui n'a qu'elle comme enfant, l'aime vraiment beaucoup, et ne tolère pas qu'elle manque de quelque chose. Mariam : alors papa, quand est-ce que avec toi en Chine ? Mr hamid : tu es trop jeune d'abord ma fille. ( caressant sa tête ) concentre toi sur tes études après ça tu iras où tu veux. Mariam : mon papounet, tu m'avais vraiment manqué. ( tombant dans ses bras ). Mr hamid : toi de plus ma fille. C'est agréable d'être dans tes bras mais, là il faut que je me sauve. Je dois aller voir comment se porte l'entreprise. Mariam : d'accord papa, passe une bonne journée. A ce soir. Aïcha avait fini de faire ses courses. Elle marche seule pour retourner à la maison. Soudain, une voix retentit derrière elle, criant ainsi son nom. - hé, Aïcha ! Aïcha : ( se retournant ) toi ici ? qu'est-ce que tu fais en ville ? Cherif : comme c'est un dimanche, je voulais visiter la ville. il aperçoit le panier de Aïcha, et il le retire parceque sa saute aux yeux que Aicha est un peu fatiguée. Aïcha : tu fais quoi ? Cherif : j'aide une amie. Allons je t'accompagne, vu que n'ai pas de destination fixe et ma moto est garé un peu plus bas. Aicha : d'accord, si tu insistes. Cherif : ( riant ) ouï j'insiste. Ils marchent côte à côte jusqu'à un café. Cherif qui n'avait pas déjeuner dit précipitamment. - Aïcha, s'il te plaît allons prendre des sandwiches là-bas. J'ai trop faim. Aïcha : non, mais vas y toi. Moi je dois rentrer. Cherif : non, tu as oublié que je ne connais pas la ville. Ne me laisse pas ici tout seul ( tête boudeuse ). Et ne me dit pas que tu as mangé. Je vois bien les condiments, c'est quand tu rentres, tu prépares et tu manges. Je ne pense pas que tu pourras tenir. Allons prendre quelque chose là-bas, ça ne prendra que quelque minutes. - que vais-je dire à maman, si je prends cet argent pour acheter des sandwiches ? Il a vraiment raison, j'ai une faim de loup. Pense t'elle. Aïcha : d'accord allons y, parceque si non tu ne lâcherais pas de si tôt. Cherif : tout ce qui est bien qui fini bien. Au café. Cherif : gérant ! Envoyer nous deux sandwiches avec deux tasses de café. Gérant : tout suite Mr. Parfois le hasard fait si bien les choses. Aliou qui passait par là, les aperçoit au café avec des fou rires. Il devient rouge de colère. - comme ça elle accepte de sortir avec le nouveau. Dire que j'ai essayé pendant cinq ans, et lui il ne l'a que depuis un mois. Ça ne se passera pas comme ça. On ne touche pas à ce qui m'appartient. Tu le regretteras Cherif. Pense t'il. Il les observe un moment, et était irrité par la bonne ambiance que les deux partagent. Il finit par déguerpir. Cherif : tu as quelques choses là,... sur les lèvres. Aïcha : oh, j'ai laissé mon mouchoir à la maison. Laisse me rafraîchir je reviens. Cherif : il n'y a pas de quoi à aller au toilette. il sort son mouchoir et le lui donne pour qu'elle nettoie ses lèvres. Aïcha : merci ! ( nettoyant ses lèvres ). Ben, maintenant, ton mouchoir est sale. Je propose de te le rendre demain à l'école. Cherif : d'accord. Aïcha : maintenant, je dois rentrer. - gérant, venez prendre votre argent. Dit-elle en sortant un billet de 10000 GNF de son sac. Cherif : ( se levant ) n'y pense même pas. Je t'ai invité, donc je m'occupe de l'addition. Aïcha : mais non, je ne peux faire ça. Chacun s'occupe alors de ce qu'il a mangé. Cherif : je t'avoue que j'ai un défaut. Celui d'être têtue comme une mule. Donc ne discute pas. Il sort son argent et paye le gérant. Ensuite, il prend le panier de Aïcha et sort l'attendre au-dehors. N'ayant pas le choix elle sort le rejoindre. Cherif : les sandwichs sont vraiment délicieux. Aicha : oui tu as raison. Ils arrivent au lieu où Chérif a garé sa moto. Étant donné que la maison de Aicha est un peu éloigné. Il propose de la ramener. Difficilement, elle accepte. Aicha : c'est là, merci de m'avoir ramener. Cherif : ça me fait plaisir. ( l'offrant son plus beau sourire ). Aicha : bay. Cherif : wesh, on se voit demain à l'école. Que prenez-vous du caractère de Cherif envers Aïcha ?
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