Quatrième coupletLe dernier esprit-2

2015 Words

Pendant qu’il faisait ainsi les honneurs de son hospitalité, la femme qui avait déjà parlé jeta son paquet à terre, et s’assit, dans une pose nonchalante, sur un tabouret, croisant ses coudes sur ses genoux, et lançant aux deux autres comme un défi hardi. « Eh bien ! quoi ? Qu’y a-t-il donc ? Qu’est-ce qu’il y a, mistress Dilber ? dit-elle. Chacun a bien le droit de songer à soi, je pense. Est-ce qu’il a fait autre chose toute sa vie, lui ? – C’est vrai, par ma foi ! fit la blanchisseuse. Personne plus que lui. – Eh bien ! alors, vous n’avez pas besoin de rester là à vous écarquiller les yeux comme si vous aviez peur, bonne femme : les loups ne se mangent pas, je suppose. – Bien sûr ! dirent en même temps mistress Dilber et le croque-mort. Nous l’espérons bien. – En ce cas, s’écria la

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