Chapitre 2

3034 Words
Hannah Je suis allé voir Luis avec Stella accrochée à moi, presque endormie et il dirigeait toujours la fête sans montrer le moindre signe de fatigue. Je l'ai piqué. – Salut Hannah, est venu demander de la musique ? Oh, super, il a rencontré mon cousin, qui lui donne déjà du travail. Je suis vraiment désolée, celle-ci pense qu'elle est forte pour boire et puis vomit comme un diable ! Comme un enfant. – Stella était évidemment plus jeune que lui, donc c'était assez compréhensible, j'avais déjà donné pt avant. – Non, ça va, mais elle doit y aller, elle ne va pas bien. – Je ne peux pas partir d'ici maintenant. Casser celui-ci pour moi et le ramener à la maison ? Elle prononce l'adresse. — D'accord, mais juste cette fois, et si elle vomit dans ma voiture, tu viendras te laver. – Merci beaucoup Hannah. Je dois me remettre au travail, bonne chance avec Stella. – Merci et au revoir. – Et j'ai emmené Stella dans ma voiture. Je l'ai assise sur la banquette arrière, mais elle s'est allongée. – Stella, quelle est ton adresse ? – J'ai demandé, en réponse un léger ronflement est venu de la banquette arrière. Elle a dormi. Ivrognes... Je pense que je paie pour mes péchés aujourd'hui. Je n'ai pas le choix, je la ramène chez moi. Je suis rentré chez moi en voiture, quand je suis entré dans le garage, Stella a commencé à babiller des mots inintelligibles pendant qu'elle dormait. Ce qui, après la p****n de peur que j'ai eu, était assez drôle. Je me suis garé, j'ai ouvert la porte arrière pour la réveiller. Il dormait si profondément et avec le visage le plus mignon que j'aie jamais vu, c'était dommage de bouger. Mais je devais la réveiller. 'Stella, réveille-toi...' dis-je, la berçant lentement d'un côté à l'autre. « Oh maman, laisse-moi dormir… » Elle se tourna sur son tabouret, en position fœtale, et prétendit qu'elle n'avait jamais été appelée. Sérieusement, je vais devoir porter cette fille. Je l'ai prise dans mes bras et wow, elle est lourde, malgré sa maigreur. Ça doit être le cul, non ? J'ai verrouillé la voiture et me suis dirigé vers l'ascenseur, ce qui n'a pas pris longtemps. J'entrai, serrai le trentième avec un peu de difficulté, terrifié à l'idée de le laisser tomber, ce qui serait une tragédie, mais il fallait s'y attendre. Je suis très maladroit. Je l'ai prise dans mes bras et elle a enroulé ses bras autour de mon cou, posant sa tête sur mon épaule. Ah, donc madame est réveillée ? J'ai regardé dans l'un des miroirs, on ressemblait à un couple. Ce ne serait pas une mauvaise idée, nous nous correspondons même visuellement, nous avons fière allure ensemble. Wow, quel idiot, il ressemble même à une vierge amoureuse. Dommage que je ne tombe pas amoureux, peu importe à quel point la fille est merveilleuse, je ne tombe plus dans ces pièges. Corne plus jamais ! J'ai secoué la tête rapidement et involontairement secoué Stella, qui s'est réveillée. Il me regarda, baissa les yeux et enfouit son visage dans le creux de mon cou, me serrant plus fort. Je frissonnai avec son souffle. Elle a remarqué, je pense. Il leva la tête et me regarda dans les yeux. En effet, c'était une belle femme en détail, et encore mieux de près. Ne vous étonnez pas de ma façon de parler, les femmes doivent être appréciées telles qu'elles sont. Pendant quelques bonnes secondes, nous sommes restés comme ça, à nous regarder jusqu'à ce qu'elle dise : – Viens ici Amanda, fais-moi un bisou, j'ai besoin de savoir ce que c'est que d'embrasser des filles. – Elle a tenu mon visage et s'est approchée. Je la repousserais pour dire que je ne suis pas Amanda, mais la douceur et le soin du bisou qu'elle m'a donné était un plaidoyer. Je devais embrasser. J'ai pris le relais, ignorant totalement le fait que je savais qu'elle pensait qu'elle embrassait Amanda, je veux dire, le pilier, je veux dire... Je ne sais même pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai embrassé, et le b****r était surréaliste. On s'emboîte instantanément, ça fait un moment que je n'ai pas embrassé une bouche qui s'adapte à la mienne de cette façon. Et il me faudrait du temps pour retrouver une forme comme celle-là lors d'un premier b****r. Elle ne voulait pas que je l'embrasse, nos mouvements semblaient synchronisés. Et ils étaient lents, pour quiconque n'a jamais embrassé de fille, je dis que Stella attendait ça avec impatience. Sa bouche avait un goût de tequila avec des Halls noirs. J'ai finalement écarté nos lèvres, remerciant Dieu de ne pas avoir le goût de vomi. Et elle m'a même donné trois bisous. Oh, quel amour. Je me sentais même un peu dégoûté de moi-même de penser qu'elle avait vomi alors qu'elle était ma chérie et qu'elle voulait m'embrasser davantage. Mon étage est arrivé et Stella n'a pas fait le moindre mouvement pour se retirer de mes bras, je ne me suis pas plaint non plus. Elle m'a de nouveau étreint avec son visage dans mon cou. Ouvre la porte. Je l'ai mise sur le canapé et croyez-moi, elle dormait déjà. Ou j'ai fait semblant, je ne sais pas, je n'ai pas vérifié. J'ai allumé les lumières en cours de route, je suis retourné et j'ai porté Stella dans la salle de bain et je l'ai tirée sur ses pieds, ignorant ses protestations sur le fait de ne pas vouloir démissionner à cause de la chaleur de mes bras. Oui, elle a dit cela, et peu de temps après, elle a couru et a vomi à nouveau. Une fois de plus, je me suis retrouvé dans la situation de lui tenir les cheveux. Après quelques bonnes minutes par terre à avoir le vertige et à se plaindre, elle s'est levée, je lui ai fait se brosser les dents avec la brosse à dents de rechange et j'ai décidé de lui donner un bain dans ma suite parentale. – Stella, tu as besoin d'une douche. – Ouais, je... Ouais. - Elle acquiesça. Et puis il a souri un peu. - Se déshabille. – Je me suis déjà préparé à détourner le regard, mais... – Aidez-moi avec la fermeture éclair ? – C'est s****e. - Amende. – avec les soins de quelqu'un qui désarme une bombe, je suis allé tirer la fermeture éclair de sa robe. Tout faux mouvement pourrait être mal interprété. Elle souriait. Je respirais lourdement, parce que la gaffe que j'avais en elle n'était pas petite, mais la fille était clairement ivre et cela va à l'encontre de mes principes pour que j'en profite. Demain, elle ne s'en souviendra pas, et ce n'est pas ce que je veux. En plus, elle a déjà vomi deux fois, qui peut dire que la troisième ne viendra pas par là ? Elle a bu plusieurs choses. « Merci. » Elle se tourna et lentement la robe tomba, révélant une Stella en lingerie à deux pouces de mon corps, qui était chaud. Je ne pouvais pas empêcher mes yeux de vitrer pour garder chaque parcelle de ce corps merveilleux devant moi. Mais ils se sont concentrés sur un endroit précis. Ses yeux. Et nous avons échangé un regard. Loin. Un regard qui était censé être « couchons-nous maintenant » et qui a fini par être plusieurs autres choses, je pense que nous avons même parlé. Il y avait une communication, mais l'essence était le sexe. Alors, j'ai rompu le contact visuel, la prenant par le bras et la conduisant à la douche, même si j'étais absolument sûr que j'étais celui qui avait besoin d'une douche froide. Elle a crié quand j'ai allumé la douche et s'est plainte de la température de l'eau. Je devais sortir de là. – Prends une douche, ta serviette est là – J'ai montré la serviette suspendue – Et je vais te chercher des vêtements. Elle a juste hoché la tête et je suis parti en m'éventant toujours, encore chaud et probablement rouge. J'ai attrapé une grande chemise à moi pour elle, une nouvelle paire de boxers à moi, et suis retourné dans la salle de bain. Elle avait déjà enlevé sa lingerie et ne portait qu'une serviette. Et la température a encore augmenté. J'ai remis les vêtements, je suis passé devant elle et j'ai commencé à enlever ma robe et je me suis dirigé vers la douche sans un mot de plus avant de tout gâcher. Elle s'est habillée et est partie. Je finis ma douche glacée et sortis de la salle de bain avec seulement une serviette, pour trouver Stella endormie dans mon lit. Dans mon lit. Seulement je dors dans mon lit. Je me suis habillé et je suis allé me coucher, déterminé à la sortir de là, à dormir dans une autre pièce de la maison. Mais quand j'ai réalisé que j'étais accroupi au pied du lit, n'osant pas interrompre le sommeil de ce petit ange. Wow, je dois être fou. La femme vient de donner un pt, quel petit ange. Sans aucune option, je l'ai recouverte d'une couverture, j'ai allumé la climatisation et je me suis allongé à côté d'elle. J'ai fermé les yeux et plusieurs images de la fête et des derniers événements m'ont envahie. Le jour commençait à poindre, la lumière voulait même entrer, mais les rideaux faisaient du bon travail. Je me tournai du côté opposé et fermai les yeux. Stella remua et s'accrocha simplement à moi, enroula ses bras autour de ma taille. J'ai essayé, en vain, de la lâcher, mais j'étais si fatigué qu'il ne m'a pas fallu longtemps pour m'abandonner au sommeil qui m'envahissait, dormant en coupe avec elle. Quand j'ai ouvert les yeux, ce qui m'a réveillé, c'est le souffle calme dans ma nuque. Je n'arrive pas à croire que j'ai couché avec le cousin de Luis. Et regarde, je n'ai même pas bu. Je me suis levé lentement pour ne pas la réveiller, car elle dormait profondément. J'imaginais même à quoi elle devait rêver. Je suis allé dans la cuisine et j'ai regardé l'heure, mon Dieu, deux heures et demie de l'après-midi ! Mais patience, je prendrai le petit déjeuner quand même. Je suis sorti pour acheter quelque chose à manger, car il n'y avait même pas de pain à la maison. Et justement à cause de ça, j'ai décidé d'aller à la boulangerie. J'ai acheté du pain frais, du pain au fromage parce que j'adore ça et du caillé pour Stella si elle veut prendre un café ou autre. En rentrant à la maison, elle dormait toujours, heureusement. J'ai fait un café très fort et je l'ai laissé sur la table. J'ai gravi les six marches qui menaient à la porte de ma chambre et j'ai vu Stella toujours endormie. Comment vous dormez! Mais encore une fois, il y a l'alcool et le mal de tête qu'il apporte. Je me suis assis dans le fauteuil que j'utilise pour m'asseoir sur mon PC et jouer parfois à la Xbox dans ma chambre et je n'arrêtais pas de penser à hier, tergiversant pour la réveiller. Comme c'est étrange, j'ai rencontré une fille au club, j'étais très intéressé, notre b****r était merveilleux, et maintenant elle est dans mon lit, et je n'ai même pas fait l'amour. Mais je n'ai pas eu de relations sexuelles parce que je suis une femme digne qui fait les bonnes choses. Et quelle rage elle a déposée sur mon lit. Oh Hannah, ne sois pas une idiote, elle était épuisée, elle s'est juste allongée sur la première chose qu'elle a vu qu'elle pouvait. Si c'était un lit de clous, elle s'y jetterait aussi. Je suis resté là, distrait dans mes pensées, jusqu'à ce qu'elle se réveille lentement. – Oh… ma tête, c'est quoi ce bordel. – J'ai ri doucement, elle n'a pas encore remarqué ma présence dans la pièce. - Bonjour. «Je lui ai fait me voir et elle a sauté du lit de peur, ce qui était hilarant. – Oh, j'ai peur, euh… Amanda ? - J'ai ri. - Manqué. Hannah, je t'ai rencontrée hier au début de la soirée, tu ne te souviens pas ? - Honnêtement non. J'aurais juré que tu t'appelais Amanda, mais ça va, Hannah est plus jolie. – Elle a souri légèrement et j'ai souri en retour. – Amanda, si je ne me trompe, c'était le nom du pilier à qui tu parlais hier avant de vomir la première fois. – Vomir plus d'une fois ne m'a pas surpris par la quantité d'alcool que j'ai bu, mais... Ai-je parlé à un pilier ? – Ouais, et il a dit qu'elle était amusante. – Ouais, cette fois, je m'en suis vraiment remis. - Donc c'est. Avez-vous faim? – Elle secoua la tête – D'accord, je sais que tu l'es, tu as juste besoin d'un analgésique, d'un café fort et ensuite tu manges, d'accord ? – D'accord, mais… je dois demander. Qu'avons-nous fait hier ? - Rien de plus. - Je ne parlerais pas du b****r, je voulais qu'elle s'en souvienne ou qu'elle tombe complètement dans l'oubli. En plus de cela, je ferais une autre opportunité pour que cela se reproduise. – Tu as dormi avant de me donner ton adresse, je t'ai amené ici, et je t'ai aidé à prendre une douche. Je jure que je ne t'ai pas vu nue, juste pour éviter l'embarras ce matin. - Elle semblait un peu insatisfaite de ce qui s'est passé et un peu méfiante. - Vous devrez me croire sur parole. - D'accord. Quels boxers je porte ? – Le mien, mais il est propre, rassurez-vous, je ne l'ai utilisé qu'une seule fois. Je jure que je n'ai pas de MST. Et encore une fois, vous allez devoir me croire sur parole. Elle rit doucement et secoua la tête. – C'est juste que je n'ai jamais porté de boxer, c'est très confortable. – Eh bien, j'en ai plusieurs, tu peux avoir celui-ci. – Ne serait-ce pas audacieux ? – Ne pensez pas comme ça, pensez comme un cadeau de mauvais ou de bon goût, cela dépend de vous. - Elle a souri. – J'avais envie de rire plus, mais j'ai très mal à la tête pour ça. Et merci pour le cadeau, de bon goût. Il tendit la main, l'ouvrit puis referma. D'accord, nous étions amis. - Amende. Je vais vous donner un peu d'intimité. Quand on veut descendre, il y a du café et du pain au fromage, même s'il est presque trois heures de l'après-midi. – Merci encore, Hannah. – Appelle-moi Hannah, d'accord ? – D'accord Hannah, j'arrive tout de suite. – J'ai hoché la tête et je suis parti. Je suis allé dans la cuisine, je me suis fait du café et j'ai pris du yaourt grec dans le réfrigérateur, j'adore le yaourt grec. Elle est descendue peu de temps après, et je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer à quel point ses jambes étaient sexy en descendant les escaliers. – Hmmm, j'adore le yaourt grec ! – Moi aussi, c'est mon préféré. Mais prends ton café. - Pourquoi? – Et revoilà le bec. Difficile de ne pas embrasser. – Parce que sinon le mal de tête ne partira pas. Prends l'analgésique puis le café, vas-y. - Elle a obéi, mais a d'abord mis un pain de fromage dans sa bouche. J'ai ri et j'en ai attrapé un aussi, maintenant en sirotant mon café – Est-ce que ton père sait que tu es là ? – Je te l'ai déjà dit, il a un peu paniqué, puis il a dit qu'il sortait et donc je ne rentrerais pas à la maison maintenant, parce que je n'ai pas de clé. Si j'y vais, je me précipiterai vers la porte. - Il haussa les épaules. – Puis-je vous abuser et rester ici un peu plus longtemps, mon ami ? Seulement si on est des amis qui s'embrassent, lol. – Oui, ça va, je vis seul. Si tu veux, tu peux même dormir à nouveau, il y a une autre chambre. – Non merci, mais alors j'ai dormi dans ta chambre ? As-tu couché avec moi ? - Dormi. Je n'abandonne pas mon lit. Et vous venez de tomber dans un profond sommeil là-bas. - Elle écarquilla les yeux et rougit. C'était marrant. – Désolé Hannah, j'ai honte... – La petite tapette est restée debout jusqu'à ce qu'elle regarde de côté. – Pas de problème, j'ai bu, j'ai fait pire. Vous voulez un exemple ? – Elle m'a regardé. - Tatouage. - Jurer? – Il vaut mieux le regarder soi-même que je ne le dis. – J'ai enlevé ma chemise rapidement, montrant le tatouage que j'ai fait, une fée, plus précisément Tinkerbell, sur le dos. Non pas que je n'aime pas Tink, je l'aime même, mais je n'avais pas besoin de l'avoir dans mon corps. – Tu l'as fait ivre ? – J'ai hoché la tête – Mais c'est beau ! – Je la regardais bizarrement. - Jurer? J'étais désolé. – Mais cette ligne est parfaite, ce design est parfait ! – Ouais, au moins le dessin est vraiment sympa. - En avez vous encore? – J'ai le symbole de la paix sur le côté de mon pied. – J'ai levé mon pied gauche et j'ai montré le petit tatouage – Et les ailes d'ange ici derrière le cou, je l'ai aussi fait saoul, mais celui-ci j'aime beaucoup. – Je me suis retourné et j'ai montré celui-ci aussi. Elle passa doucement son doigt sur mon tatouage. – Tu as vraiment trois beaux tatouages, Hannah. Et très bien fait. - Je ne suis toujours pas d'accord avec la fée, mais je suis habitué à elle. – dis-je en remettant mon chemisier. - Avez-vous des? – J'ai toujours voulu le faire, mais je n'ai jamais décidé ce que je veux que ce soit. Peut-être que j'attends quelque chose avec beaucoup de sens. – Hum, je sais ce que c'est. Je pense à en faire d'autres, mais je n'ai jamais vraiment réussi à me décider non plus. Nous continuons à dire beaucoup de bêtises et à rire tout le temps. Elle était vraiment sympa.
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