Thompson remercia. – J’accepte avec reconnaissance, répondit-il. D’autant plus que votre complaisance donnera un peu de repos à M. le professeur Morgand, que j’ai l’honneur de vous présenter. Don Hygino et Robert échangèrent un salut. – Je serai donc sur le quai demain matin à huit heures, et tout à votre disposition », dit le premier, en prenant congé et en regagnant son embarcation. Don Hygino Rodrigues da Veiga fut exact au rendez-vous. En débarquant, le dimanche 21 mai, à la tête de ses passagers, Thompson le trouva sur le quai. Sous l’œil vigilant de son Administrateur Général, la colonne se mit aussitôt en marche dans un impeccable alignement. Don Hygino fut d’un précieux secours. Il pilota ses compagnons à travers Angra avec une sûreté que n’eût pu avoir Robert. Il leur fit par