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XVII PREMIER FAUTEUIL.Et le Diable commença en ces termes : – Madame du Bergh s’appelait, il y a vingt-cinq ans, mademoiselle Nathalie Firion. Elle était la fille de monsieur Firion, fournisseur, riche d’une fortune princière, élégant, d’un parler distingué, et qui possédait au suprême degré l’art de faire accepter son argent. C’est l’homme que j’ai vu acheter le plus de femmes en leur laissant la liberté de croire qu’elles ne s’étaient pas vendues. Des magistrats, des généraux d’armée, des administrateurs, ont reçu de lui des millions qu’ils croyaient légitimement gagnés, et lui ont, en retour, rendu des services qu’ils disaient gratuits parce que le mode de payement n’avait pas été direct. C’est qu’il ne faut pas vous imaginer, mon cher Luizzi, que la corruption par l’argent soit une c