Diana se reveille en sueures et en larmes. Depuis sa periode de coma, les cauchemards étaient fréquents. Dans celui la, il y avait un comissariat secret où le commandant, William et Alex officiaient en secret pour dementeler des crimes et des trafics de drogues. Le comissaire n’était pas au courant car d’apres eux, il avait commandité plusieurs crimes… dans son cauchemard, il l’avait enlevé et sequestré plusieurs jours dans une cave sans fenetres, et surtout il voulait tuer William… William qui n’est plus dans le lit… elle regarde le telephone, deux heures trente… il ne peut pas être déjà partit. Elle descend rapidement ses escaliers et le trouve en train d’envoyer des textos sur le canapé. Elle renifle et s’installe contre lui en essuyant ses larmes. Il lui caresse les cheveux :
« un cauchemard ?
- oui… » elle renifle à nouveau :
« le comissaire m’avait enlevé et sequestré dans une cave et il voulait te tuer et il y avait un comissariat secret ! Le comissaire commandité pleins de meurtres et de trafic de drogues et de prostitutions ! Et vous vouliez l’arrêter !». Le jeune homme reste surpris quelques secondes… elle ne peut pas etre au courant… ses rêves sont parfois bizarres mais parfois realistes… il s’eclaircit la voix :
« Hum… heu… et bien… en effet sacré cauchemard… tu regardes surement trop de series policieres…
- il allait te tuer alors j’ai pleuré et j’ai ouvert les yeux…
- tu m’as sauvé alors… » elle redresse la tête, et se mord les levres… il sourit à la vue de ses cheveux mal mit. Elle est tellement mignonne… même en pleurs… la bretelle de sa chemise de nuit tombe sur son bras, devoilant un peu sa poitrine. Ils avaient déjà fait quelques preleminaires il y a quelques heures. Elle c’etait endormit quelques minutes plus tard mais lui ne trouvait pas le sommeil. Il echangeait quelques sms avec son cousin pour Pauline et son fils. Il redresse sa bretelle :
« C’est normal de faire des reves etranges apres un coma, ne t’inquietes pas pour moi, le comissaire et moi entretenons de bonnes relations et malgres ses defauts, c’est quelqu’un d’integre… » ça lui faisait mal de dire ça, mais il ne voulait pas l’inquieter :
« tu es trop mignonne avec tes cheveux en bataille… c’est sexy…
- je n’aimait deja pas beaucoup le comissaire… j’ai fait ce genre de reves plusieurs fois pendant le coma tu sais… et parfoid Alex voulait me tuer aussi.
- il tuerait plutot son pere, n’y pense plus Darling. Tu veux boire une infusion ?
- bof… je vais plutot prendre les gouttes… mais j’aimerais surtout que tu viennes dormir avec moi… j’aime pas dormir seule depuis… je me suis sentie tellement abandonnée pendant le coma que j’ai peur quand tu n’es pas avec moi…
- je viens, ne t’inquietes pas, j’envoyais un message à Alex pour demain
- d’accord, il n’est pas sortit ?
- non, il essait d’être sage depuis ton accident… pour pas que tu t’inquietes pour lui…
- il est courageux, j’espere qu’il va pas recraquer…
- il se contente d’une biere de temps en temps, en tout cas je ne l’ai pas revu ivre » elle sourit, grimpe sur lui et l’embrasse passionnement, il entrouve ses levres pour acceuillir le b****r et la langue de la jeune femme… il caresse sa nuque et le haut de son dos. Sa bouche est avide d’amour et il lui en donne volontier… mais…:
« Je te rappelle qu’on a plus de capotes…
- je me demandais… Alex a dormit ici… il a oublié un sac… peut etre qu’il y en a dedans ? Il en a toujours partout…
- ça vaut le coup de verifier… t’as qu’à aller t’installer dans le lit pendant que je fouille
- hum… ça me plaisait bien de le faire ici
- ho… je vois… comme tu preferes Darling, ne bouge pas… ». Il monte rapidement à l’étage et trouve le sac oublié. Il l’ouvre et le vide sur le lit… gateaux, chaussettes propres heureusement… briquets, clopes, et… bingo ! Il benit son cousin d’être un debauché notoire. Il le remerciera demain.
Diana avait rapidement ouvert le portable de son compagnon juste pour être sur… elle avait uniquement vu les sms d’Alexis. Un peu honteuse d’avoir douté elle l’avait vite remit en place… elle allait pas gacher ce moment… William redescend satisfait :
« tu avais raison… il lui en reste quelques une… ». Il enleve son t shirt, laissant sa compagne admirer son physique parfait… elle baisse son caleçon, pressée de l’avoir en elle… elle s’etait endormit avant de le faire jouir tout à l’heure, cette fois elle allait lui faire beaucoup de bien. Elle embrasse son ventre et sent qu’il retient son souffle quand elle approche de son sexe. Elle le fait languir un peu et le met apres quelques minutes dans sa bouche. Il gemit en sentant ses levres et sa langues sur sa verge. Il lui demande d’arrêter pour ne pas finir trop vite… il se met à genoux et remonte sa chemise de nuit… il va lui rendre chaques coups de langues… et cette fois il compte bien aller jusqu’au bout. Ils terminent sur le canapé essouflés mais comblés… :
« ça va Foxy ? Pas trop fatiguée ?
- non… je suis juste un peu essouflé mais ça va… c’était… whoua… tu m’a jamais fait ça avec ta langue ?
- j’avais envie d’innover, content que ça t’ai plu… j’espere que ça te feras passer une bonne nuit..
- ho oui… ». Ils montent se coucher, et William lui embrasse les cheveux :
« Ça ira demain ? Tu ne seras pas seule longtemps je rentrerais tôt… et le commissaire viendra t’interroger dans la journée, il sera surement avec Alexis.
- oui, en journée ça va… c’est la nuit que je me sens… bizarre » elle se blottit dans ses bras. Rassurée par ses muscles et surtout par son arme qu’il garde dans le tiroir de la table de nuit…ça lui faisait peur avant, elle n’aimait pas les armes mais depuis que Victor lui avait annoncé que Bastien était sortit de prison… ça l’a rassuré un peu. William lui avait trouvé des spray au poivre qu’elle gardait un peu partout. Dans sa table de nuit, dans un placard de la cuisine, caché derriere un livre. Alex lui avait promit que des qu’elle serat en meilleure forme, il lui apprendrait quelques techniques d’auto defense. Apaisée par son lieutenant qui lui caresse tendrement le dos, elle finit par s’endormir.
Elle sent un b****r sur sa joue, et le lit bouger. William se leve et part de tres bonne heure. Il ne se rend pas de suite au poste… sur la route pour aller en ville, il tourne à un moment pour se rendre dans une ferme. Il se gare dans la cours et se dirige vers un batiment. Il passe la porte et salut le commandant et Alex :
« Hello, alors du nouveau ? » son ami lui tend une tasse de café :
« Papa traine avec un mec fiché pour violences aggravées sur autruis… et j’ai retrouvé une ou deux de « ses nieces »…. L’une d’elle n’à que dix sept ans et a un telephone hors de prix… bien trop cher pour que se soit ses parents qui lui aient offerts…
- j’en était sur… des infos sur le type qui ressemblait à Bastien qu’on a retrouvé suicider ? » le commandant soupire :
« Non… enfin y’a juste un truc qui est bizarre, c’est que mon frere a superviser l’autopsie… ce genre de truc en general c’est pas sa tasse de thé…
- hum… en tout cas je ne sais pas ce qu’il cherche avec moi… j’ai l’impression qu’il veut me separer d’Alex…
- il veut vous avoir à sa botte… vous êtes deux tres bons elements, il pourrait avoir besoin de vous… Ne sois pas dupe Alexis, il va surement chercher à t’amadouer et te sortir le couplet pere, fils… » son neveu acquiese :
« Il commence déjà… depuis que Will était au chevet de Didi, il me demande toujours de l’accompagner partout… et veut absolument m’inviter dans sa maison de bourges… puis il tourne autour de Diana je me demande si il veut juste la mettre dans son lit ou si il veut s’en servir pour nous separer William et moi
- les deux surement… mais je fait confiance à votre petite amie lieutenant, elle saura ne pas se laisser manipuler
- elle ne l’aime pas du tout… ». Les trois hommes continuent leurs enquêtes secretes un moment et retournent separement au comissariat. Ils avaient choisit ce quartier generale car il etait eloigné de la ville, et le proprietaire était un ami d’enfance de Daniel qui n’avait jamait aimé son frere pretentieux et arrogant…
Diana se leve, et ne sachant pas quand le commissaire va debarquer, s’habille. Elle choisit une robe pas trop courte, mais qu’elle adore à cause de la matiere tres confortable.
Elle descend se coiffer et se prepare un chocolat chaud, du jus d’orange et deux tranches de brioches. Elle baille encore, elle n’a pas reussit à se rendormir apres le depart de William.
Il fait beau, se serait un temps parfait pour s’occuper du terrain mais… elle avait promit de rester tranquille. Diana allume la tele et regarde un documentaire d’Histoire.
William était un ange, il s’occupait de tout… il avait même fait les poussieres… la plupart de ses exs étaient de gros degeulasses, et avaient tentés de la prendre pour leur bonniche. Angel n’était pas comme ça, il était contre le patriarcat. Sa grand mere et sa mere l’avaient bien elevé….
Elle s’endort avant la fin du documentaire et se reveille en sursant en entendant le volet claqué. Elle sent son coeur s’emballer et se maudit d’être si trouillarde. Elle sort le remettre en place et tombe sur un bouquet de roses… ça la rend soudainement tres mal à l’aise, des mauvais souvenirs reviennent la hanter… elle appelle son chat et s’enferme à double tours.
Elle envoit un message au lieutenant pour lui dire ce qu’elle a trouvé. Il l’a calme en lui disant qu’Alex serat bientôt la avec le comissaire. Bizarrement cette deuxieme partit ne la rassure pas trop… il lui demande de regarder si il y a un mot sur le bouquet mais rien… il lui dit de ne pas s’inquieter, ça peut être de n’importe qui et si c’etait bien Bastien, il ne les as surement pas livré lui même à cause du bracelet electronnique. Faisant confiance à son amoureux, elle monte dans sa chambre et met son casque anti bruit, pour ne pas paniquer au moindre bruit. Elle s’allonge et prend un bouquin qui traine sur sa table de chevet.
Elle se plonge dans son roman, le temps est toujours different quand on lit. L’impression d’être entre deux realitées.
Blake avait demandé au commissaire d’aller plus tôt que prevu chez sa compagne car elle s’inquietait du bouquet. Il avait froncé les sourcils mais il n’avait rien d’autres de prevus. Victor avait fait un signe de tête à son fils pour lui dire de le suivre et ils s’etaient mis en route. Le jeune homme conduisait vite. Il était pressé d’arriver. Son pere le questionne un peu trop à son goût:
« Dis moi… tu es juste ami avec Diana ?
- ben oui…
- je te vois souvent tres proches d’elle… ton ami n’est pas jaloux ?
- on est plus au moyen âge… aujourd’hui les hommes et les femmes peuvent se prendre dans les bras
- tu ne fait pas que la prendre dans tes bras…
- Will n’est pas jaloux, les choses sont claires entre nous
- tu devrais faire attention quand même, se serais dommage de mettre en danger votre amitié pour une femme, aussi jolie soit elle
- houla… tes conseils de daron arrivent avec une quinzaine d’années de retard… Mais merci quand même…
- j’ai un peu plus d’experiences que toi en matiere de femme, ta copine est le genre de fille pour qui on ferait n’importe quoi
- Ho mais je ferait n’importe quoi pour Diana… parceque c’est mon amie pas parcequ’elle est hyper canon…
- et elle ? Elle te considere aussi comme un ami ?
- comme un frere… pourquoi ça t’interesses tant ?
- parceque je m’interesse à toi c’est tout… tu n’as jamais pensé à te trouver une fille bien comme William ?
- Diana est une fille bien pour toi alors ? Je croyais qu’il fallait se mefier de ce genre de femme ?
- et bien, les deux ne sont pas incompatibles…
- l’amour c’est pas pour moi… je pourrais pas m’empecher d’aller voir ailleurs… si c’est pour faire souffir une gentille fille c’est pas la peine… » il deteste ce genre d’interrogatoires… ça sonne faux… heureusement ils arrivent devant la maison de son amie.
Tout semble calme… ils s’avancent et frappent mais pas de reponses. Alex regarde à travers la fenetre :
« Elle est pas au rez de chaussé en tout cas… elle doit être à l’étage… ». Son pere tente d’ouvrir :
« Ou elle est partit… c’est fermé…
- William m’a dit qu’elle était là… elle a du s’enfermer et monté se reposer… j’ai les clefs je vais ouvrir. » ils entrent dans la petite maison et Victor observe tout… des plantes vertes un peu partout, des livres debordant de ses etageres, beaucoup de photos… une gamelle au nom de Merlin… qui doit être le chat assit sur la table, une décoration plutôt « campagne chic » dans des tons de blanc et de gris… des fleurs sur les tables et les meubles, et un robot cuiseur. Il en apprend deja beaucoup sur la jeune femme… Le brigadier appelle son amie en vain, il caresse rapidement le felin :
« et bien, elle est où ta maitresse ? » Le fauve baille, indiquant au jeune homme qu’elle est surement à l’étage :
« Merci boule de poils… », le brigadier monte pendant que le commissaire continu d’observer les lieux. Alex ouvre doucement la porte et ce qu’il voit le fait sourire bétement… allongée sur le ventre, sa robe est remontée, laissant presque apparaitre ses fesses. Son casque anti bruit sur les oreilles et perdue dans son livre, elle fait bouger ses jambes. De temps en temps, ses mouvements lui font ecarter un peu ses cuisses…
Victor s’impatiente… il rejoint son fils et le trouve adossé au mur en train de profiter d’une vue plutot interessante…:
« Brigadier-chef ?! Je peux savoir ce que vous …
- chut ! Parle moins fort elle va avoir peur sinon … » Le commissaire soupire… mais son regard est aussi attiré par la jeune femme. Sa robe bleu claire lui va bien… elle a des jambes assez fines et musclées. Le chat leur passe entre les jambes sans les toucher, et s’installe dans le creux du dos de son humaine… Watson a ramené Dr Jeckill… cet humain ne lui inspire pas confiance… Victor parcour des yeux les courbes à peine masquées par la robe legere. C’est vrai qu’elle est terriblement sexy… sans le faire expres… c’est un de ses gros atouts… le fait qu’elle ne se rende pas compte de son charme lui donne beaucoup de sexe apeal…il l’imagine dans une robe un peu plus classe, elle serait magnifique. Il voit son fils penché legerement la tête pour tenter de voir si elle porte quelque chose dessous… le policier se mord les levres :
« Pfffou… Je retire ce que j’ai dit tout à l’heure … je veux bien sortir avec… ». Son geniteur ricane :
« Tu veux surtout te la faire… arrête de la reluquer et dis lui de descendre… on a du travail…
- parceque toi tu l’a matte pas peut être… » Victor hausse les épaules et retourne en bas. Il n’entend pas le « pervers… » chuchoté par son fils. Alex toque à la porte :
« c’est la police madame ! », elle sursaute mais sourit :
« Alexis…
- on dit brigadier- chef mais je te pardonne
- comment tu es rentré ?
- j’ai tes clefs tu te souviens ?
- ha oui… c’est vrai…
- le commissaire t’attend en bas, elle est nouvelle ta culotte ? J’aime bien…
- hé ! Espece d’obsedé ! Je l’ai depuis longtemps figure toi…tu devrais avoir honte de mater en plein service » elle lui met une petite claque et descend :
« Bonjour commissaire…
- bonjour mademoiselle, j’espere que vous êtes bien reposée car j’ai quelques questions
- hum… j’imagine… je suis suspecte ou victime aujourd’hui ? » son air de defis le fait sourire :
« Ça vous le saurez quand j’en aurais finit… » elle leve les yeux au ciel, et s’assoit sur une chaise en face du comissaire mais à côté de son ami. Elle croise ses bras sur la table et attend qu’il lui pose ses fichus questions… Victor sort un carnet :
« Bon…. Vous avez confié au lieutenant Blake, que vous n’etiez qu’en remplacement chez notre victime ?
- oui…
- depuis quand precisemment ?
- je ne sais plus… demander à ma boite… ils vous le diront, en tout cas sur ses plannings, je n’etait pas noté…
- je demanderais oui… est ce que vous savez pourquoi vous la remplaciez ?
- non… un arrêt c’est tout ce qu’on m’a dit…
- qui pouvait entrer chez elle ?
- comme pour beaucoup de personnes âgées, sa famille, les aides à domicile, les infirmieres, les porteurs de repas…
- hum… il faut avoir la clef de chez elle quand même ?
- pfff bien sur que non… je m’introduis dans n’importe quel batiment munit d’un interphone… et je peux entrer chez n’importe qui… il suffit de sonner chez quelqu’un dire qu’on est inquiet qu’un tel n’ouvre pas et hop… et chez la personne n’importe quel bobard suffit… surtout avec les personnes âgées… elles sont tellement naïves.
- et bien… et vous vous demandez pourquoi je vous trouve suspecte ? Qui faisait ses courses ?
- sa fille en general, parfois moi si il manquait quelque chose.
- ses relations avec sa famille ?
- ho… plutot bonne…
- des amies dans la residence ?
- je ne sais pas…
- aviez vous accés à ses courriers ?
- non… mais elle n’etait pas tres riches… vu qu’elle vivait au rez de chaussée
- en effet…
- peut être que le concierge en saurait plus que moi
- Blake ira l’interroger bientôt… est ce qu’elle avait malgres tout des choses de valeurs dans son appartement ?
- non…
- elle avait alzeihmer c’est bien ça ?
- oui… mais elle etait encore assez autonome…
- hum… vous qui fouinez partout vous n’avez rien decouvert ?
- pas cette fois non… » elle le fusille du regard, ses yeux noisettes deviennent presque noires, mais il en faut plus pour l’impressionner :
« Et votre collegue ? Quelqu’un pourrait lui en vouloir ?
- je ne la connait pas… mais je ne voit pas pourquoi… aide à domicile c’est pas vraiment un metier ou on se fait beaucoup d’ennemis, contrairement à commissaire par exemple…
- vous cherchez à me faire passer un message ?
- vous vous sentez viser ? » il sourit… un jour il lui fera cesser son impertinence, quand ça ne l’amusera plus :
« Vous n’avez vraiment rien vu de suspect le jour du decé ?
- je n’arrete pas de vous le dire… je ne m’en souvient pas…
- et bien il faudra travailler votre mémoire jeune fille… ça pourrait nous servir
- c’est pas en me harcelant de questions que ça me reviendra
- la prochaine fois que vous vous souvenez de quelque chose, prevenez nous directement » elle hausse les épaules. Il met fin à l’interrogatoire, il n’a plus de questions et le leger decolté de la jeune femme, le trouble plus qu’il ne le voudrait. Victor regarde avec un soupçon de jalousie, son fils la prendre dans ses bras… il l’embrasse sur la joue et elle lui chuchotte :
« Tu veux venir ce soir ?
- je ne sais pas… ça depend ce que tu proposes… tu m’envois un texto ? » elle leve ses jolies yeux au ciel et le laisse partir.
Elle aimerait bien sortir un peu… ça fait longtemps qu’elle n’est pas allée au cinema. Peut etre que William acceptera de l’enmener... elle lui envoit un message :
« ciné ce soir ?
- je vais finir plus tard que prevu, sorry Darling, pourquoi tu ne demandes pas à Alex ?
- j’aurais bien aimé sortir avec vous deux
- je me doute, mais ça vous fera du bien de vous faire une soirée entre amis
- je vais lui demander, travail bien, je t’aime
- moi aussi, à tout à l’heure Foxy ». Elle est un peu déçue… elle demande à son ami si il est partant pour un ciné…elle espere qu’il n’aura pas trop de travail lui… sa reponse est encourageante :
« Ok, mais pas un de tes truc à l’eau de rose….
- toi tu veux un film bien virile je presume ?
- je choisit le film et je te laisse choisir le repas ?
- deal… tu passes me prendres ?
- par devant ou par derriere ?…
- ben par devant, j’ai qu’une entrée » il rit, elle a du mal avec les sous entendus parfois et c’est toujours drôle. Diana rougit… elle vient de comprendre :
« Imbecile…
- tu me fait rire ma jolie, je serais chez toi à dix neuf heure on mangera apres ?
- oui ça me va à tout à l’heure ». Elle prend le temps de se doucher et de se préparer. Elle met un jean et une chemise legere. Elle patiente avec une tasse de thé et un livre.
C’est un Alexis fraichement douché qui arrive chez elle. Il a troqué son uniforme contre un treillis et un sweat :
« Prete Didi ?
- oui, tu es pile à l’heure
- je suis parfait voila tout
- n’exagere pas » il l’a prend par le coup et ils partent pour le cinema. Diana est surprise qu’il ai pu venir :
« Ton pere ne t’as pas donné du travail de derniere minutes ?
- non, mais à William oui… d’ailleurs tu sais qu’il m’a conseillé de me mefier de toi ? Parceque tu risques de mettre en danger mon amitié avec Will ?
- quoi ? Mais pourquoi ?
- parceque t’es le genre de femme pour qui on ferait n’importe quoi…
- pfff… il est vraiment de la vieille ecole…genre c’est mon corps de rêve qui vous ferez faire n’importe quoi… comme si vous aviez besoin de moi pour faire n’importe quoi…
- ha ha, c’est pas faux… ». Ils arrivent en ville et se garent proche du cinema. Bras dessus bras dessous, ils entrent et choisissent le film. En attendant que l’ouvreur leur dise quand entrer dans la salle de projection, Diana jette un oeil autour d’elle, elle n’aimerait pas tomber sur un beneficiaire… elle se laisse soudain tomber sur la banquette juste devant son ami, surprit :
« Houla ma jolie… t’es sur que tu veux me faire ça ici ? Y’a des gosses… » voyant qu’elle ne repond pas à sa boutade, il s’inquiete :
« ça va ?
- il est là ! Reste devant moi !
- qui ?
- Bastien !
- t’es sur ?
- oui ! Il est sortit de prison !
- je sais… calme toi, tu veux que j’aille lui dire de partir ? Il n’a pas le droit d’etre proche de toi..
- mais tu n’es pas en service …
- j’ai toujours ma plaque… tu veux qu’on s’en aille ?
- non… tu as payé et je ne veux pas m’empecher de vivre… tu es avec moi, alors… il m’a vue ?
- je ne pense pas… attend met mon sweat ça cachera tes cheveux… vu que c’est ça qui l’excite » il enleve son haut, et lui passe. Elle l’enfile rapidement et se leve pour se lover contre son ami.… si il n’y avait pas eu Alex, elle serait partit en courant. Pourquoi William n’est pas là… le brigadier capte le regard de Bastien et montre sa plaque… il ne comprend pas de suite pourquoi ce flic lui fait signe, puis en voyant la silhouette blottit contre lui comprend… on l’avait prevenu qu’elle risquait d’être accompagnée. Il devait juste se rendre au cinema, et se tenir tranquille pour lui montrer qu’il était innofenssife… enfin pour le montrer au flic surtout… il fallait qu’elle passe pour parano. Dans l’apres midi il avait deposé un bouquet devant sa porte. Son bracelet avait été désactivé une heure, pour lui laisser le temps. Il llavait vu endormit a travers la porte sur son canapé. Il avait du se faire violence pour ne pas entrer.
Il baisse les yeux et se tient à bonne distance. Est ce qu'elle est toujours avec Blake ? Ils semblent prochent elle et se policier... il les regardent de temps à autre avec une pointe de jalousie... ses mains sur ses hanches... ils ne s'embrassent que sur les joues, ils ne sont surement pas en couple... ils les voient rentrer dans une salle de projection, il n'a pas prit le meme film... mais voyant que personne ne fait attention, il les suit. Il s'installe assez loin pour ne pas avoir d'ennuis. Sa presence la mettra surement mal à l'aise...
Diana soupire, il est toujours là... elle se colle à son ami, Alex est un tres bon policier, qui ne le laissera surement pas approcher... il l'embrasse sur les cheveux :
" detends toi ma jolie, je le surveille, profite du film" elle sourit... heureusement qu'il est là.
Elle arrive à profiter, le film est plutot bien pour un truc de mecs... le jeune homme a passé son bras autour de ses épaules. En temps normal il l'aurait taquiné, mais il est bien trop occupé à se demander pourquoi Bastien est ici ? Curieuse coincidence... il envoit un msg rapide au commandant et à William, et surveille l'agresseur de son amie.
Il est presque soulagé quand le film se termine, il decide de ne pas sortir par la sortie prevue, car il faut emprunter un couloir sombre donnant dans la rue... il prefere sortir par l'entrée... ils filent dans la voiture et Diana soupire :
" bon... j'ai peut etre paniquée pour rien, il ne me regardait même pas si souvent...
- hum... non tu as bien fait, c'est bizarre qu'il soit au meme endroit que toi à la meme heure... reste prudente... on mange où ma jolie ?
- je ne sais pas...
- j'en était sur... fast food ou restau en tête à tête ?
- on peut faire un fast food en tête à tête à la maison ? William rentrera peut etre avant minuit...
- J'espere... sinon tu devras trouver un autre prince charmant
- je prendrais Merlin, qui sait avec un b****r il se changera peut être en beau gosse" il sourit et passe au drive prendre de quoi manger. Son amie rale :
" ne roule pas si vite je vais tout renverser !
- je roule à la vitesse autorisée
- mouai... Alex ! Ne fait pas expres de devier ! Tu sais que je deteste ça !
- c'est bien pour ça que je le fait..
- tu n'es qu'un chauffard !
- ferme les yeux tu ne verras pas le danger" elle lache un gemissement plaintif comme celui d'un chaton, ce qui le fait encore plus rire. Il ralentit neanmoins un peu. Il se gare dans son terrain, Merlin les attends de pattes fermes. Diana ouvre sa porte et installe le repas sur sa table basse. Alex s'affale sur le canapé et s'étire :
" j'ai faim... tu finiras tes frites ?
- j'ai pas prit de frites mais une salade...
- quoi !? Mais, tu es toute maigrichonne tu dois te remplumer je te signale
- je sais, mais j'ai regardé c'est aussi calorique qu'un burger ce genre de salade.. et puis j'ai pris une glace au dessert
- tu comptes la finir ?
- morfale..." ils mangent en papotant, et la jeune femme laisse son ami nourrire son matou censé être au régime.
Il retrouve son côté taquin en la voyant manger sa glace comme si c'était la meilleure chose au monde. Elle ferme les yeux de plaisirs, le sucré lui fait toujours tellement de bien... elle donne une tape sur la main du beau brun au moment ou il veut approcher sa cuillere :
" bas les pattes ! Finit déjà la tienne...
- fait moi au moins goûter, je te fait goûter la mienne en echange
- hum... une cuillere c'est tout..." elle lui donne un peu de sa glace, elle ne voit pas la lueure taquine qui passe dans son regard... il plonge à son tour sa cuillere dans sa glace :
" ferme les yeux, tu vas me dire si tu reconnais le parfum..." elle s'execute sans se mefier et sent d'un coup quelque chose sur son visage :
" Alex ! T'es qu'un gamin ! Gaspiller de la chantilly !" Elle s'essuit et le fusille du regard :
" on ne joue pas avec de la nourriture !" Il pouffe de rire :
" ta tête quand je te l'ai etalé...
- j'en ai partout... et toi aussi d'ailleurs..." elle s'approche et lui essuit avec le pouce un peu de creme au coin des levres, avec autant de tendresse que possible, il prend sa main avant qu'elle l'enleve de son visage... et les deux amis se regardent... il se perd dans ses jolies yeux...