m******n, il avait trouvé dans les soldats de Yukinaga de nombreux coreligionnaires hoeï-hoeï 56 et son maître avait pu, par lui, se procurer de nombreux renseignements sur la composition de l’armée jaune de Si-Ngan. Bref, c’était un excellent serviteur, qui parut seulement au Japonais plus attaché à l’argent qu’à toute autre chose, car il revint plusieurs fois sur la question des gages énormes que lui donnait sir Georges, et il paraissait anormal, en effet, que l’Anglais se fût brusquement, sans motif, privé de ses services, au moment d’entreprendre un voyage long et pénible. — Il reviendra, conclut l’Afghan. Fan n’était pas loin d’adopter cette supposition ; mais, évidemment, l’Anglais reviendrait seul, après avoir mis la jeune Russe en lieu sûr. Aussi le fils de Yukinaga se promit-i