Chapitre 13 : Mes femmes

1023 Words
Aziz Après avoir terminé ma réunion avec Marius , je rentre chez moi , ma femme ne m'attends plus , elle est fatiguée de leur faire . Au début , elle m'appelait pendant des heures . Je n'aime pas être dérangé quand je suis en réunion ou en train de ba(i)ser l'une de mes maîtresses . Nous avons passé des mois à nous disputer pour savoir qui aurait le dernier mot . Ma femme Sandrine est une blanche , elle est française , issue d'une famille riche , elle a toujours eu ce qu'elle voulait , jusqu'à moi . Et elle a tout fait pour m'avoir alors elle va voir son père pour lui demander de passer un accord avec moi pour l'union de nos entreprises, en l' incluant elle dans la négociation . Le marché était très tentant , vu qu'elle est très belle , ça me fait plaisir . Je leur offre une contre offre . Qu'ils acceptent sans rechigner . C'est après cela que nous nous sommes mariés quelques mois plus tard . Il me fallait lui donner une autre éducation .Car elle était très très colérique et surtout elle aime commander . Et comme il ne peut pas y avoir plusieurs capitaines dans un bateau , il me fallait lui montrer que j'étais ce capitaine et pas elle . L'année qui a suivi notre mariage était la pire, car elle était toujours sur mon dos , elle voulait savoir où j'étais , avec qui ? Et en quoi faisant ? J'ai très vite mis fin à ces interrogations . Mais maintenant , ça va mieux . Elle ne se plaint plus comme avant . Ça ne veut pas dire qu'elle ne le surveille pas . Je sais qu'elle me fait suivre , et je m'en tape du moment où elle ne le casse pas les couilles avec ses jérémiades tout va bien . Moi je suis un métis franco-libanais , ce qui donne un charme fou . Je sais si je suis irrésistible ! Même sans un sou , les femmes m'ont toujours couru après . Je suis fait de muscles que j'entretiens chaque deux jours , je mesure un mètre quatre-vingt-dix , et avec les yeux bleus , je ne passe pas inaperçu . je la trouve devant la télé faisant semblant de regarder un film , pourtant je sais bien qu'elle m'attendait . Elle ne changera jamais . - Bonsoir ma chérie ! Pourquoi es-tu encore éveillée ? - Pour rien , je n'ai pas sommeil . - Tu dois te reposer pour le bébé , il faut qu'il soit en forme . - Puisque tu es là , nous allons aller nous coucher . - Oui , éteint la télé . es-tu trop fatiguée ? - Pourquoi ? - Un petit voyage dans le pays du plaisir ? Je la vois sourire , - Bien sûr que je ne suis jamais fatiguée quand il s'agit de ça . - Tu l'en vois ravie . Viens là . Je la soulève pour l'amener dans notre chambre . Une chambre qui exprime sa grande passion pour la grandeur . Cette chambre fait à elle seule mille mètres carré . Avec deux salons , elle aime tout ce qui est grand . Comme mon sexe . Je l'embrasse en marchant jusqu'au lit . Elle répond avidement à mon baisé . Je la pose délicatement sur le lit . Je dois faire attention à mon premier héritier . Je me déshabille rapidement et au moment où je veux m'installer dans le lit , elle m'arrête : - S'il te plaît mon chéri , vas prendre une douche . Cette femme aime me casser les couilles , elle voit bien que je suis prêt à exploser ! Lentement , je me redresse et j'entre dans la douche . Après avoir pris une douche rapide , je viens maintenant dans le lit et surprise , elle dort . Mais... Qu'est-ce qu'elle vient de me faire là ? Elle dort vraiment ou elle fait semblant ? - Bon , puisque c'est comme ça , je vais dormir ailleurs . Je me lève et je m'habille pour sortir de la chambre . Je prends mon véhicule pour aller à cinq cents mètres de chez moi où je loge l'une de mes maîtresses . C'est mieux que l'une soit proche pour ce genre de problème . J'ouvre électroniquement le portail et j'entre . Je monte directement dans sa chambre , elle est en train de dormir , comme d'habitude , Alicia est une très grosse paresseuse . Elle ne veut rien faire de ses mains . Elle préfère se contenter de ce que je lui verse chaque fin de mois . Selon elle , elle veut toujours être disponible pour moi . Alors , pourquoi pas ? Je me déshabille et je me colle à ses fesses . Alicia est une belle femme noir couleur ébène , sans artifices . J'aime son authenticité , et sa langue bien pendue . Je commence à lui caresser les fesses puis la poitrine . - Aziz....tu n'es pas censé être chez toi ? - Mais , je suis chez moi , non ? - Si , tu es bien chez toi . - Alors , tourne toi pour me recevoir comme il faut . Elle me fait face et Je capte ses lèvres dans un baisé dévastateur. Je la déshabille rapidement , en déchirant sa lingerie . - Toujours aussi sauvage . - Et je ne compte pas changer . J'ouvre ses cuisses et je la pénètre lentement . - Aziz...tu es toujours aussi énorme ! - Et je suis sûr que tu aimes bien ça ? - Ho oui , j'adore ça . Je bouge lentement en elle , elle est toujours aussi serrée , comme j'aime cette chatte . Elle est douce et .. elle a un goût différent . Maintenant , je change de rythme , je deviens de plus en plus , v*****t , mes coups reins la font crier . Plus je vais vite et fort , plus ses cris sont forts .
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