L'amie de Ma Fille

Chapitre 2

Gabriela

Je l'enlève du cintre et commence à me changer. La robe s'adaptait parfaitement à mon corps, montrant que j'avais des courbes exposées. Je réalise un maquillage très doux, mettant en valeur les yeux et la bouche avec un rouge à lèvres rouge mat. Cela s'est avéré génial.

Je laisse mes cheveux détachés et je les peigne jusqu'à ce qu'ils brillent. Je les laisse en liberté. Je me suis mis un léger parfum Carolina Herrera, un déodorant roll-on neutre, pour que si je dansais, ça ne tache pas ma robe, et pour finir je choisis des sandales à brides et talons aiguilles. Pour compléter le look en beauté, j'ajoute une paire de créoles et un collier de la même couleur. Quand j'ai fini, Michelle me regardait choquée.

- Qu'est-ce que c'était ? — Je demande, sans rien comprendre.

— p****n de merde, Gabi, tu as changé très vite et tu avais l'air p****n de sexy. Écoute, si je dois changer d'équipe un jour, je voudrais sortir avec toi, mon amie – plaisante-t-elle et je ris. C'était à son tour de se changer et Michelle laissait toujours certains des vêtements qu'elle portait lorsque nous sortions. Je pousse un sifflement d'admiration.

— Fille, tu es très mignonne ! — Je dis la vérité. Michelle avait les cheveux blonds et les yeux bleus, elle était un mélange de ses parents. Une fois, elle m'a montré une photo de sa mère. Les deux ne s'entendaient pas et Michelle a décidé de vivre avec son père depuis le divorce, c'est-à-dire il y a plus de dix ans.

Quand j'ai vu la photo de Dona Lara, je l'ai trouvée belle et je n'arrêtais pas de me demander ce qui n'allait pas lors de leur mariage. J'étais très curieux, mais je me sentais simplement à l'aise.

— Heyyy, la Terre appelle ! — Michelle plaisante et je me réveille. Je revois comment mon ami détruirait le cœur des hommes. Comme moi, elle portait une robe rouge à col en V, des sandales noires à talons hauts et un maquillage plus marqué. Elle était KO.

— Je t'admirais. Comme tu es belle ! Et aujourd’hui, les hommes deviendront fous en vous voyant.

— Tu veux dire nous deux, n'est-ce pas ? — dit-elle, et je suis d'accord en regardant l'horloge. Je remarque qu'il est plus de dix heures et que Fábio n'est pas encore arrivé.

— Où est Fábio, qui n'est pas encore arrivé ? — Je demande et j'entends sonner à la porte.

— Eh bien, je pense qu'il vient d'arriver.

Nous avons récupéré nos sacs et, avant de nous diriger vers la porte, nous avons tout vérifié pour voir s'il manquait quelque chose, et nous avons continué. Quand nous l'avons ouvert, nous avons été choqués : notre ami Fábio était très savoureux, dommage qu'il aimait les mêmes fruits que nous.

— Waouh Madame ! — il siffle et nous partons en promenade. Fábio nous regarde avec admiration. — Écoute, si j'étais hétéro, j'aurais certainement les deux.

— Alors on est jolies ? — Je taquine et fais un clin d'œil avec charme.

— Les filles, vous allez rendre les hommes fous, je vous le garantis — je rougis de son compliment.

— Tu es vraiment sexy, Fábio — dit Michelle, et je suis d'accord.

— Maintenant, assez de bavardage et dansons, la nuit est jeune — dit-il, et nous sommes d'accord.

Je verrouille l'appartement et nous nous dirigeons vers le portail. Comme nous allions boire, nous n'y allions pas en voiture, il y avait un Uber qui nous attendait.

Je n'avais jamais vu cet endroit auparavant et j'ai été étonné lorsque nous sommes sortis de la voiture et que nous nous sommes tenus devant.

— Wow, quelle belle discothèque ! — Je m'exclame.

- Oui c'est vrai ! Mais pourrons-nous y entrer ? — demande Fábio, et je suis d'accord avec lui quand je vois la taille de la file d'attente.

— Oui, nous allons à la zone VIP, j'ai oublié de mentionner que ce club appartient à mon père — dit-elle, et je suis surprise, je ne savais pas qu'il avait acheté une discothèque. Michelle continue : — J'ai dit à mon père que nous venions ici et il a déjà informé les employés que nous venions et a donné un accès complet, c'est-à-dire que nous allons boire et manger sans rien payer, et le meilleur de tout est que nous allons danser, p****n – nous étions tous excités, et bientôt notre accès a été accordé.

Notre soirée serait fructueuse et aussi très bonne – je l’espérais et j’espérais rencontrer un gars vraiment sympa qui pourrait me faire oublier un certain homme sexy aux yeux bleus.

Quand nous sommes entrés dans le club, p****n de merde ! C'était très opportun et, honnêtement, j'aimerais savoir si Ricardo était là. Merde, il fallait que j'arrête de penser à cet homme ! Mais bon, parfois je me dis que mon amie ne devrait pas très bien réfléchir... J'ai envie d'oublier son père et elle m'emmène dans un établissement qui lui appartenait...